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Athlétisme: le Cameroun au championnat d’Afrique junior à l’île Maurice

Plus de 30 pays prennent part à la compétition depuis le jeudi, 30 juillet 2009 Remporter autant de médailles possibles,…

Plus de 30 pays prennent part à la compétition depuis le jeudi, 30 juillet 2009

Remporter autant de médailles possibles, voilà l’objectif que se fixe le Cameroun qui depuis le 30 juillet, participe à la 9e édition du championnat d’Afrique junior d’athlétisme. Avant de mettre le cap sur Maurice, les athlètes camerounais affichaient une bonne confiance après leur préparation. Mais la compétition à Maurice n’est pas gagnée d’avance, au vu des athlètes rivaux et parfois mieux préparés. Outre le Cameroun, près d’une trentaine d’autres nations juniors sont également présentes. Il s’agit de l’Algérie, de l’Angola, du Bénin, du Botswana, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Congo, des Comores, de l’Ethiopie, de l’Egypte, du Kenya, du Lesotho, de Maurice, de Madagascar, de la Namibie, du Nigeria, de la République d’Afrique du Sud, du Sénégal, des Seychelles et du Soudan pour ne citer que ces pays. L’île Maurice non seulement a le mérite de regrouper autant de pays, mais aussi d’organiser une telle compétition en l’espace de trois mois, ceci au lendemain du désistement inattendu des Seychelles et de la Guinée Equatoriale. D’ailleurs, le colonel Hamad Kalkaba Malboum, président du comité national olympique et par ailleurs président de la confédération africaine d’athlétisme (CAA) lors de la tenue de la réunion technique, faisait part de sa satisfaction quant à la qualité de l’organisation. Dans la foulée, le camerounais a adressé ses félicitations au Gouvernement mauricien ainsi qu’à l’Association Mauricienne d’Athlétisme pour leur implication sans limite dans l’organisation de ce grand rendez-vous continental.

Renforcement du contrôle anti dopage au cours de la compétition
D’après le colonel, plus qu’une compétition, le championnat de Maurice revêt une importance capitale pour l’avenir de l’athlétisme en Afrique, à savoir celle d’être une plate former d’expression des jeunes comme ce fut le cas l’année dernière où l’athlète Jelimo Pamela de nationalité kenyane, avait crée la sensation. A côté de cela, les organisateurs entendent user de tous les moyens pour que la compétition ne soit ternie pas aucun scandale. D’où les contrôles anti dopage qui seront effectués sur les athlètes. Des contrôles qui seront de manière inopinée, selon les médecins du comité d’organisation.


Jean Jacques Ewong)/n