Par le Comité de libération des prisonniers politiques du Cameroun (CL2P)
Y compris lorsque l’on milite contre les atteintes graves et répétées aux droits de l’Homme dans un État comme le Cameroun, la rigueur d’analyse n’autorise pas de relayer un rapport, fut-il d’Amnesty International, à l’évidence « bâclé » sur la partie qui traite de ce pays.
En effet les affirmations de l’ONG internationale semblent un peu trop généralistes, vagues, voire approximatives sur les auteurs, les lieux, et la nature des exactions mentionnés.
La première des conclusions qui vient immédiatement à l’esprit, est que cette organisation n’a visiblement pas jugé nécessaire de dépêcher ses enquêteurs au Cameroun, et s’est donc contentée de rédiger ses observations sur la base d’informations insuffisamment vérifiées; précisément à un moment pourtant sensible où l’armée du Cameroun combattait (encore) seule le groupe terroriste Boko Haram dans le Septentrion.
Dommage!

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