La 7ème édition de cette cérémonie de récompense des journalistes de la presse camerounaise a été officiellement lancée à Douala par le Club Médiation
Le club médiation dirigé par Marion Obam Mahel a officiellement lancé l’édition 2014 du concours médiations press trophies jeudi 13 mars à Douala. Cette 7ème édition est marquées par de nombreuses innovations. Cette année les journalistes pourraient présenter des travaux dans deux catégories et les travaux en compétition devraient être publiés dans la période allant de mars 2013 à mars 2014. Les catégories en compétitions ont aussi été réaménagées. les candidats aux Médiations press trophies vont donc concourir dans six catégories. Notamment, la meilleure enquête (presse écrite), meilleur reportage (presse écrite, radio, télé et web), meilleur magazine (radio et télévision), meilleur journal en ligne, meilleur dessin de presse, meilleur photographie de presse et le Prix sixties (hors compétition), qui rend hommage à un aîné de la profession.
La date limite du dépôt des dossiers de candidature est fixée au 5 mai 2014, afin d’accorder le temps nécessaire au jury de mieux apprécier les travaux. Les points de collecte des dossiers sont, Yaoundé (au siège de Journal Mutations et Kalak Fm), Douala (Siège de Jade Syfia), Bafoussam (siège de l’Association des journalistes de Media Ouest), Ngaoundéré (Chez Saibou Arlequin où siège de l’association des journalistes du Septentrion), Garoua (Chez Moussa Marangata) et Bertoua (chez Sébastien Chi).
Selon le règlement des Médiations Press Trophies, le concours est ouvert aux journalistes des deux sexes, d’expression anglophone et francophone exerçant au Cameroun. Sans frais d’inscription. Aussi, les candidats doivent présenter la version publiée ou diffusée de leurs travaux. Tout comme ils doivent présenter 02 copies de leurs travaux sur support CD (audio) ou VCD (vidéo). Par ailleurs, les candidats de la presse écrite accompagneront leurs offres d’une copie tapuscrit. Chaque candidature doit comprendre le nom de l’auteur, la dénomination de l’employeur et la catégorie pour laquelle il concourt.
