Par Frontline Fighter’s for Citizen’s Interest (FFCI)
Tout en se gardant d’empiéter sur vos prérogatives, le FFCI (Frontline Fighter’s for Citizen’s Interest), organisation ordonnée à la défense et à la promotion des droits de humains, a l’honneur, par la présente correspondance, d’attirer votre illustre attention sur les faits suivants, qui sont propres à aider à réparer un éventuel oubli.
Entré dans le corps de sûreté nationale le 11 novembre 1983, vingt-neuf ans (29) après, M. Biake André, matricule : 357696X, tel : 670891284, en service au commissariat de sécurité Publique de Bangangté, n’est encore que inspecteur de police principal de 4ème échelon et cela depuis 2012. Or aucun grief n’a été formulé contre sa manière de servir, au long de sa carrière pourtant riche en expérience des lieux et des hommes différents.
Voici, Monsieur le Délégué, un bref aperçu de ses états de service :
.06 avril 1984 : il est détaché au CIAP de Mutenguené pour le service spécial de Sécurité et à Yaoundé sous le commandant du commissaire divisionnaire Patcha Boniface.
.1986 : affectation au commissariat spécial sise chemin de fer à Douala.
.1987 : affectation au commissariat spécial de Dibombari sous le commissaire spécial SARA à Gouife.
.1990 : affectation au GMI/2 de Douala sous le Commandant Asse Bole Martin.
.1992 : détaché du GMI/2 de Douala pour le service spécial du commandement opérationnel.
.Affectation au commissariat spécial de douala 2eme sous le commandement du Commissaire spécial Mvomomo Philippe.
.1999 : détaché au commissariat central des renseignements généraux pour le service spécial commandé par le général PAÏ.
.2003 : affectation au commissariat de sécurité publique d’Edéa.
.2005 : affectation au commissariat de sécurité publique de Bangangté.
A ce jour, Monsieur le Délégué, les promotionnaires de M. Biake dont il a même été l’encadreur d’un certain nombre dont la plupart, sont des officiers de police ayant gravi des échelons sans accroc.
Dans l’espoir que vous saurez Monsieur le Délégué, rétablir M. Biake André dans ses droits nous vous prions d’agréer l’expression de notre parfaite collaboration.

Droits réservés)/n