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Volker Finke n’était «plus l’homme de la situation», selon Tombi à Roko

Le président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) justifiait ainsi le limogeage vendredi dernier du sélectionneur de l'équipe national,…

Le président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) justifiait ainsi le limogeage vendredi dernier du sélectionneur de l’équipe national, l’Allemand Volker Finke

Le président nouvellement élu de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), Tombi à Roko Sidiki, a justifié le limogeage vendredi dernier du sélectionneur, l’Allemand Volker Finke, par le fait qu’il «n’est plus l’homme de la situation».

Face à la presse, il a aussi invoqué l’impopularité du technicien ainsi que son manque de créativité: «Il y avait un rejet populaire, et nous avons constaté que son jeu était devenu stéréotypé, sans inspiration des joueurs qu’il aligne et sans stratégie devant nous amener à gagner.»

Pour Tombi à Roko Sidiki, le départ de Volker Finke est de nature à redonner confiance aux «Lions indomptables» qui regorgent de talents.

Nommé en fin mai 2013 pour un contrat de 2 ans, les résultats de l’ex-sélectionneur, qui est remplacé à titre intérimaire par ses deux adjoints camerounais que sont Alexandre Belinga et Bonaventure Djonkep, étaient jugés médiocres à la fois par ses employeurs et par une bonne partie de l’opinion publique nationale.

Actuellement engagé en éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2017, le Cameroun, avec 6 points, occupe la 1ère place du groupe M devant la Mauritanie (3 pts), l’Afrique du Sud (1 pt) et la Gambie (1 pt).

Tombi à Roko Sidiki, président de la Fécafoot.
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