Ils ont été passés en revue par l’Ambassadeur de France Christophe Guilhou lors de l’audience que lui a accardée le ministre des Travaux publics, Emmanuel NGANOU DJOUMESSI, ce 24 novembre 2021 dans son cabinet.
Au menu des échanges, a confié le diplomate français à la presse, l’apport des entreprises françaises qui sont implantées au Cameroun dans le secteur des infrastructures routières, et surtout comment prolonger le développement de ce pays en construction.
Le ministre a présenté à son hôte l’ensemble des projets en cours et exécutés par des entreprises françaises et mis en avant des projets à venir, qui pourraient intéresser les entreprises françaises pour les années à venir.
Christophe Guilhou sur ce sujet, a laissé entendre qu’il « revient aux entreprises françaises de négocier avec les autorités camerounaises compétentes et que ses préoccupations sont davantage liées à la coopération bilatérale entre les deux pays« .
En ce moment au Cameroun, l’on note la présence des entreprises telles que Sogea-Satom mobilisée sur deux importants chantiers routiers l’un sur les lot 5 et 6 de la Nationale N°15, Lena -Sengbé-Tibati-Ngatt d’un linéaire de 167,29 km et l’autre sur la Nationale N°22 Olama-Bingambo de la route Olama Kribi longue de 105 km et d’un coût global de 88 milliards de FCFA.
Razel, autre entreprise française réputée et installée au Cameroun, a livré très récemment le lot 1 de la nationale N°15 Batchenga-Ntui avec la construction du pont bipoutre à sept travées continue d’une longueur de 400ml sur le fleuve Sanaga. Elle est actuellement mobilisée entre le Yagoua et Bongor au Tchad pour la construction d’un pont frontalier.