Une sortie de Stanislas Désiré Tchoua, publiée par le ministère de la Santé publique.
Un étrange bruissement est alimenté au ministère de la Santé publique. Alors que le personnel est résolument appliqué au travail sous la houlette du ministre Dr Manaouda Malachie, des apprentis-sorciers organisent souterrainement des campagnes de dénigrement et d’intoxication. Motif: semer le doute et la confusion dans cet environnement névralgique du MINSANTE. Conséquence: ces déçus organisent des campagnes cabalistiques dans l’espoir de distraire l’opinion en prêchant le faux. Et toc !*
Depuis l’arrivée Dr Manaouda Malachie, les violons s’accordent, le dynamisme se réinstaure, les résultats suivent et impactent sur le regain de vitalité en cours. Le Minsanté et ses collaborateurs ont monté d’un cran le rythme du travail avec effet direct sur les résultats. Ce qui justifie d’ailleurs les bons points de l’annotation de la très récente mission de l’Organisation mondiale de la Santé, dont le séjour au ministère de la Santé publique a accroché bien d’attentions.
En tout état de cause, l’expertise du Minsanté, en sa qualité d’expert en des questions y relatives, a aguiché autant que son allant a permis de défendre la politique sanitaire du Cameroun. Surtout en ce moment où la croissance économique préoccupe et que la concrétisation des grands projets engagés par le gouvernement urge. Tous ces grands traits captivent le ministre de la Santé publique, qui n’a en réalité pas le temps à perdre avec des cancans délectés par des oisifs et autres chasseurs de postes, qui s’abritent derrière une presse alimentaire pour espérer déteindre l’image Dr Manaouda Malachie. Peut-être, pensent-ils qu’ils sont dans l’anonymat, alors qu’ils jouent malencontreusement au jeu de l’autruche.
Leur désespoir trahit la qualité d’information qu’ils mettent à la disposition de cette presse commanditée pour la basse manœuvre. Il suffit de regarder attentivement autour du Minsanté, pour dénicher ces esprits retors qui organisent des messes de minuit pour célébrer les obsèques de celui qui fait actuellement ombrage à leur nauséeux dessein. Les contradicteurs du Dr Manaouda Malachie ne viennent pas de loin. D’ailleurs, ce sont eux qui, il n’y a pas longtemps ont épuisé leur abjecte séduction auprès des réseaux établis à la Présidence de la République et à la Primature, à coups de plusieurs millions de francs, dans l’optique d’être nommé à ce sensible poste.
Ce sont aussi les mêmes qui, de sources crédibles, écument actuellement les couloirs du cabinet du Premier ministre pour obtenir le scalp du Dr Manaouda Malachie qui n’est à ce poste que depuis quelque temps avec des résultats louables et palpables. Quid de ses performances. A tout prendre, et en bon bantou que nous sommes, une sagesse éclaire fort à propos que: si un cadavre est couvert de furoncles, c’est qu’une parenté en est l’assassin. Suivez mon regard !
*JUSQU’OU IRONT LES CABALISTES?*
Un mois seulement après sa nomination à la tête du ministère de la Santé publique, Dr Manaouda Malachie était déjà dans le collimateur de cette presse à gages. Alors qu’il s’imprégnait encore des dossiers, il faisait au grand étonnement, l’objet de procès en sorcellerie. Recoupements faits, nos fins limiers sont tombés à-pic sur le cerveau commanditaire de la cabale. Et là, point de doute, il ne s’agit pas de la lutte de positionnement dans son Adamaoua natal, qui par ailleurs salue malgré quelques jaloux aux yeux larmoyants, cette reconnaissance du Chef de l’Etat en nommant l’un de ses dignes fils à ce poste convoité.
Mais a contrario, il s’agit d’une odieuse orchestration de certains aigris et éternels insatisfaits tapis au ministère de la Santé Publique, qui arrondissent des yeux globuleux sur ce qu’ils n’ont pas le mérite d’hériter. Pour d’aucuns, ils auraient amassé de colossales sommes d’argent dans d’autres postes juteux, pour d’autres ils sont rongés par l’impatience avec pour dénominateur commun de faire tomber Dr Manaouda Malachie. Lors de notre dernière publication, nous apprêtions déjà l’opinion à être témoin de la sale besogne que les ennemis du progrès organisent, pour tirer par le bas l’effort de croissance économique en cours. Pourtant, tout cet argent injecté dans la campagne de délation dans la presse contre le valeureux Ministre de la Santé publique peut aider à construire quelques points d’eau dans les villages des commanditaires de la cabale, ainsi seront-ils utiles à la nation.
Que de s’acharner injustement contre un citoyen qualifié à la tâche que le destin et le mérite ont porté, sans forcer, à la tête du MINSANTE. Maintenant que nous avons posé les premiers jalons de la dénonciation d’une telle manœuvre, il ne serait pas superflu de dévoiler dans les prochaines éditions les noms, prénoms, situation sociale si nécessaire des organisateurs de la campagne de désinformation entretenu à coups de millions dans la presse. Doit-on accorder du crédit à l’information tissée au fil blanc concernant les contours du coût de l’investissement relatif aux réfections en cours dans les bâtiments du ministère de la Santé publique? Perte de temps inutile. Car, il ne s’agit là encore que des élucubrations à jeter dans la poubelle. Mais pour ne pas laisser des naïfs s’enfoncer dans la bêtise…
Acte1 By Stanislas Désiré Tchoua ( Le Dernier des Mohicans).