ONG et enquêteurs dénoncent les risques encourus par des milliers de mineurs ukrainiens déportés de force vers la Russie. Une pratique mise en place par le régime de Poutine et dont l’ampleur relève, selon les rapporteurs, de génocide et de crimes contre l’humanité. Ils appellent à des enquêtes et poursuites.
Dans les conflits, ils restent les plus vulnérables. La guerre en Ukraine pourrait également faire d’eux des invisibles et des oubliés. Sinon un «butin de guerre», comme l’a évoqué le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Khan la semaine dernière.