S’exprimant au nom de la Confédération africaine d’athlétisme, il est revenu sur les défauts organisationnelles de la compétition, qui se déroule au stade Japoma de Douala.
« Les résultats sont spontanés, seulement nous avons du personnel trouvé sur place non expérimenté. Nous sommes en train de prendre toutes les dispositions pour régler ce problème. A la fin de la compétition, le Cameroun sera à mesure d’organiser des grandes compétitions d’athlétisme
Vis à vis de tous ceux-là, toute la grande famille de la Confédération africaine d’Athlétismeprésente toutes nos excuses. Tout ceci est indépendant de notre volonté, il faut que vous le compreniez. Notre but est de vous mettre dans de bonnes conditions de compétition. Il faut aussi savoir que ce ne sont que quelques athlètes qui ont subi des préjudices, pas tous. Beaucoup sont repartis après la première journée très heureux. Moi, j’ai vu des athlètes repartis très heureux. Il y a quand même une bonne ambiance. Il faut que nos grandes stars comprennent qu’il y a des difficultés en Afrique. Les standards auxquels ils sont habitués en occident ne sont pas pareils ici. Il faut aussi qu’ils viennent participer aux compétitions organisées par la CAA ». Aziz Daouda, directeur technique du Championnats d’Afrique d’Athlétisme
Quatre athlètes africains ont déjà quitté la compétition: Marie Josée Ta Lou (Côte d’Ivoire), Favour Ofili (Nigéria), Rosemary Chukwuma (Nigéria) et Shaun Maswanganyu (Afrique du Sud).