Selon des témoignages, un homme en tenue a ouvert le feu ce 14 octobre 2021, tuant une fillette sur le chemin de l’école.
La scène s’est produite ce matin à Buea, précisément au quartier Molyko. Une fillette a été tuée par balle lorsqu’elle se rendait à l’école à bord du véhicule de sa mère.
La mort de la gamine provoque une clameur de protestation. Un mouvement collectif d’indignation aboutit au lynchage de l’homme en tenue, présenté comme un gendarme.
La population en colère transporte le corps sans vie de la fillette dans les services du gouverneur de la région du Sud-Ouest, Bernard Okalia Bilai, pour demander justice.
L’attaque attribuée aux séparatistes s’est produite au cours d’un culte de l’Eglise presbytérienne du Cameroun à Bali dans le Nord-Ouest.
Une attaque armée s’est produite dimanche dans une église à Ntangfoan à Bali, dans la région du Nord-Ouest. Le premier bilan fait état d’un mort (une femme) et de nombreux blessés dont le pasteur fusillé en plein culte.
Les blessés ont été transportés dans un hôpital privé non loin du lieu du drame et placés sous soins intensifs.
La zone de Bali se révèle être le nouveau foyer des crimes. Car en juillet dernier, les combattants séparatistes y ont tué cinq policiers.
Quatre ans que dure le conflit pour la partition du Cameroun. La guerre entre l’armée et les groupes séparatistes a déjà causé plus de 3000 morts et autant de déplacés. Aucune sortie de crise définitive ne pointe l’horizon.
Un échange de coup de feu ce mercredi 30 octobre 2019, dans le campus de l’université de Bamenda, a entrainé la mort d’un étudiant.
Une fusillade entre les forces armées et les combattants séparatistes est survenue ce mercredi 30 octobre 2019, au sein de l’Université de Bamenda, causant la mort d’un étudiant, et plusieurs blessés. Cette fusillade a causé également plusieurs dégâts matériels dans le campus.
Les étudiants de l’Université de Bamenda, qui se trouvaient sur les lieux, étaient pris de panique, face à la situation. Certains courraient dans tous les sens et le pire s’est produit. L’un d’entre eux a été touché.
Quelques semaines après le grand dialogue national, qui s’est tenu du 30 septembre au 04 octobre 2019, au cours de laquelle a été traitée la question de la crise anglophone, on s’attendait à un retour au calme dans les régions du Nord-Ouest et Sud-Ouest. Si certains sécessionnistes ont décidé de déposer les armes, ce n’est pas le cas de tous.
Des coups de feu ont été entendus lundi matin, à 15 minutes du début des épreuves.
Les candidats à la session 2018 des GCE-O level (équivalent du BEPC dans le sous-système francophone) et GCE-A (équivalent du BEPC dans le sous-système francophone) level de Muyuka ne composent pas dans leur ville de résidence. C’est à Buea (à 24 km de Muyuka) qu’ils affrontent les épreuves dudit examen depuis ce matin.
Cette délocalisation a été décidée après une fusillade survenue lundi vers 7h45 aux environs du lycée bilingue Muyuka (centre unique des examens), soit 15 minutes avant la toute première épreuve. « Nous étions déjà assis dans les différentes salles d’examen vers 7h45. Les officiers militaires étaient partout pour assurer la sécurité. Lorsque le sous-préfet de Muyuka est arrivé sur notre campus pour assister au début de l’examen, nous avons entendu des coups de feu. Les forces de sécurité ont riposté. La fusillade a duré plus de trois heures. Personne n’a été blessé lors de l’attaque. La première épreuve, qui devait commencer à 8h00, n’a commencé que vers 11h00. Nous avons fini bouclé la journée vers 17h00 », raconte un candidat inscrit au centre d’examen du lycée bilingue de Muyuka.
Après cet incident, les autorités administratives ont décidé de transférer les candidats de Muyuka à Buea, pour des raisons de sécurité. Ils devraient avoir commencé cette journée dans les différents centres d’examen de la capitale du Sud-Ouest.
A la suite de l’incident survenu de mercredi à jeudi au camp de la gendarmerie de Mboppi, le ministre de la Défense fait une mise au point à travers une note lue sur à la radio nationale
A la suite de l’incident survenu dans la soirée de mercredi à jeudi au camp de la gendarmerie de Mboppi à Douala, la métropole économique camerounaise, le ministre délégué à la Présidence, chargé de la Défense, Joseph Beti Assomo, a fait le point de la situation à travers une note lue ce 16 juin 2016 sur les antennes de la radio nationale.
L’intégralité communiqué du Mindef :
Dans la soirée du 15 juin 2016, un individu âgé de 25 ans, est interpellé par la gendarmerie nationale, pris en flagrant délit de vol au marché Mboppi à Douala aux environs de 19h30. Conduit immédiatement à la Bridage de Mboppi, il est gardé à vue. Au moment de son identification, il s’empare d’une arme de guerre et sous la menace de tirs, tente de s’évader.
C’est alors qu’une poursuite est immédiatement organisée par les éléments de garde qui obligent le malfrat à se réfugier dans le plafond d’un bâtiment du camp. Il ne va répondre à aucune interpellation des éléments l’invitant à se rendre sinon qu’il va riposter par des tirs sporadiques représentant un danger potentiel pour les gendarmes et la population du marché.
Des négociations vont se tenir sans succès toute la nuit sous la supervision du colonel commandant de la Légion de gendarmerie du Littoral.
L’individu n’a daigné se rendre malgré l’utilisation des moyens non létaux notamment les gaz naturels qui n’ont eu que pour résultat de l’exciter un peu plus à tirer. Le groupement polyvalent d’intervention de la gendarmerie nationale est appelé en renfort à 07h30 ce jour (jeudi 16 juin 2016, Ndlr) essuyant à son tour des tirs du forcené.
Devant les risques que présentait la portée des tirs pour la population, les éléments d’intervention vont neutraliser le malfrat après une ultime tentative de négociations. Le bilan ne fait état d’aucune autre victime. Le général de brigade Elokobi Daniel, directeur central de coordination, a été tout de suite dépêché pour une évaluation de la situation.
Le Père Gilbert Dasna est décédé le 09 mai dernier, trois ans jour pour jour après son arrivée dans la province de l’Alberta, à l’ouest du Canada
« S.Exc. Mgr Paul Terrio, Evêque de Saint Paul en Alberta et la communauté catholique de Saint Paul pleurent la mort prématurée et violente du Père Gilbert Dasna, de la Congrégation des Fils de Marie, Mère de la Miséricorde (SMMM), Vicaire de la Paroisse cathédrale de Saint Paul » : c’est ce que l’on peut lire dans la note envoyée à l’Agence Fides par des sources locales. Le Diocèse attend le rapport complet de la police avant de commenter les circonstances de la mort du prêtre.
Selon une première reconstruction des faits réalisée par des journalistes du cru, au soir du 9 mai, un criminel avait été bloqué par deux voitures de la police à un carrefour de la ville. Ce dernier a ouvert le feu sur les agents de police et éperonné l’une des voitures de patrouille, blessant grièvement ses deux occupants. La police a répondu au feu et tué le malfaiteur. Le Père Gilbert Dasna, qui se trouvait dans les parages, a été touché par les coups de feu.
La mort du Père Gilbert Dasna a bouleversé non seulement la communauté catholique mais aussi l’ensemble de la ville canadienne (moins de 6.000 habitants). On s’en souvient comme d’un prêtre bon et généreux qui rayonnait la joie et la paix. Né le 28 février 1982 au Cameroun, il avait été ordonné prêtre le 11 juillet 2009 et a été Vicaire de la Cathédrale de Saint Paul du 19 mai 2011 à sa mort. Il est retourné à la Maison du Père le 9 mai 2014, le jour anniversaire de son arrivée au Canada (9 mai 2011).
Le père Gilbert Dasna est décédé trois années après son arrivée au CanadaFacebook)/n
Ils étaient allés effectuer leurs courses au marché de Gambaru, localité nigériane frontalière à la ville de Fotokol, dans le Logone et Chari, à 105Km de Kousseri. La piste Boko Haram évoquée
Le 05 mai dernier, alors que le gouverneur de la région de l’Est annonçait la libération de 18 otages enlevés par des assaillants centrafricains à Yokossiré (localité située sur l’axe Bertoua – Garoua Boulaï), d’autres compatriotes vivaient un drame à Gambaru, localité nigériane frontalière avec l’Extrême-Nord du Cameroun. Rendus au traditionnel marché périodique du lundi dans cette zone nigériane frontalière à la localité camerounaise de Fotokol, à 105 Km de Kousséri, de nombreuses personnes ont été surprises par un raid mené par des assaillants armés à bord de véhicules tout-terrain tirant sur la foule sans sommation. La débandade a été totale du côté nigérian comme du côté camerounais. Quatre Camerounais ont trouvé la mort sur le champ.
Plus de 3000 Nigérians sont rentrés en territoire camerounais, à Fotokol, après ces frappes qui ont été attribuées à la secte islamiste Boko-Haram. La liste des victimes pourrait s’allonger, puisque de nombreux blessés ont été dénombrés. Un blessé nigérian a rendu l’âme au cours des transferts, d’après la radio publique nationale camerounaise. Le gouverneur de la région de l’Extrême-Nord, Awa Fonka Augustine, a d’ores et déjà appelé les populations à l’extrême vigilance. C’est la deuxième fois que Boko Haram fait des victimes camerounaises en l’espace de quatre jours, après l’attaque contre une brigade de gendarmerie à Kousseri, dans la nuit du 04 au 05 mai 2014. Attaque qui a fait deux morts, dont un adjudant-chef.
Les victimes s’étaient rendus comme d’ordinaire au marché périodique du lundi à GambaruAFP)/n
Le président américain a participé dimanche soir à une cérémonie cuménique en hommage aux victimes de la fusillade de vendredi 14 décembre, qui a coûté la vie à 26 personnes
Barack Obama est arrivé vers 17H20 (22H20 GMT) dans la petite ville du Connecticut. Il a dans un premier temps rencontré des proches des victimes et des membres des services d’urgence, avant de prononcer une allocution lors d’une cérémonie religieuse cuménique en début de soirée. Le président américain s’est montré très ému lors ce dimanche soir lorsqu’il a égrené les noms des enfants tués dans l’école primaire de Sandy Hook à Newtown dans le Connecticut. Obama a promis d’engager dans les prochaines semaines tous les pouvoirs que lui confère son mandat pour engager le Congrès à agir contre cette violence. Notre seule et unique responsabilité, c’est de nous assurer du bien-être et de la sécurité de nos enfants et à la question nous acquittons-nous de cette responsabilité ?, nous devons reconnaître que la réponse est non. Il faut que cela change, a martelé Barack Obama.
Pendant les dix huit minutes qu’à durer son discours Barack Obama n’a pas précisé de quelle manière la société américaine devait changer. Il n’a pas non plus évoqué une éventuelle réforme de la loi sur les armes. Il n’a pas prononcé une seule fois le mot armes. Le porte-parole de la police, Paul Vance, lors d’une conférence de presse a confirmé que le tireur avait auparavant tué sa mère à son domicile. Comme les 26 autres victimes, celle-ci est décédée après avoir été criblée de plusieurs balles. Il a réaffirmé qu’Adam Lanza le tueur avait utilisé principalement un fusil d’assaut Bushmaster 223 pour commettre ces crimes. Le tireur avait également deux armes de poing, dont il s’est servi pour se suicider, et plusieurs chargeurs pleins à disposition pour chacune des armes. Une quatrième arme, un fusil, a été retrouvée dans le coffre de sa voiture garée à l’extérieur de l’école.
Barack Obama ému face au drameradio-canada.ca)/n
A titre de rappel des faits, Vingt-sept personnes, dont vingt enfants, ont été tuées lors d’une fusillade dans une école primaire du Connecticut, dans le nord-est des Etats-Unis. Le corps du tueur a été retrouvé dans une salle de classe. La fusillade s’est produite vendredi matin 14 décembre 2012 à l’école Sandy Hook de la petite ville de Newtown, à 128 kilomètres de New York. Emu, Barack Obama a également ordonné que les drapeaux soient mis en berne pendant quatre jours sur les édifices publics. Toutes les écoles des alentours ont été bouclées, ont annoncé les autorités scolaires de cette ville de 27 000 habitants. Sur le site internet des écoles publiques du district de Newtown, un message informe que «les garderies après l’école sont annulées aujourd’hui». Il s’agit de la fusillade la plus meurtrière de l’année. En juillet, un homme armé avait ouvert le feu dans un cinéma proche de Denver, en pleine projection du dernier Batman, faisant douze morts et 58 blessés.
Des pompiers se recueillant sur un espace créé en la mémoire des victimes devant l’écolechallenges.fr)/n