C’est l’initiative que vient de mettre sur pied le Ministère de la Jeunesse et de l’Education Civique en marge de la fête de la jeunesse.
Le Cameroun passe ces dernières années par le chaud et le froid. Entre des problèmes de mœurs chez les jeunes et d’autres défis sécuritaires, le pays est, selon plusieurs spécialistes, sur des braises. C’est sur cette base que le ministère en charge de la jeunesse et de l’éducation civique a par exemple instituer ce qu’il a appelé le réarmement moral.
Dans cet élan, le ministère vient de mettre en place un concours baptisé Civic Action. Le concours est ouvert à tous les camerounais sans distinction d’âge et de sexe. Dans le communiqué du Minjec qui organise le concours, il est souligné que les candidats intéressés ont jusqu’au 8 février pour envoyer leurs œuvres artistiques (vidéos, photos, peintures, dessins, slams), qui seront publiées sur la page Facebook Appel au civisme au Cameroun pour le vote en ligne. « Le jury mis en place primera l’œuvre ayant eu plus de partages et de likes », peut-on lire.
Le ministre Mounouna Foutsou précise dans la foulée que ce concours s’inscrit dans le cadre de la E-campagne sur la lutte contre l’incivisme. Cette campagne vise à promouvoir des comportements civiques et patriotiques en ligne, en encourageant notamment les populations à l’acceptation de l’autre et à la tolérance dans un contexte de recrudescence de discours haineux à caractère tribal sur les réseaux sociaux.
Le porteur du projet Clinic Home a répondu aux questions de Journal du Cameroun concernant la médecine à domicile.
Vous avez rencontré le ministre de la Jeunesse ce 08 décembre avec votre projet Clinic Home. Quel type d’appui espérez-vous du gouvernement ? Et avec quelles promesses êtes-vous sorti de cette audience ?
A la suite de notre rencontre avec le ministre de la jeunesse, nous attendons du gouvernement une insertion de notre projet dans le système sanitaire camerounais, un accompagnement dans la mise en conformité de notre solution et l’accès à des financements pour le déploiement de la solution à travers tout le pays. le ministre qui est le « Médecin de famille » de la jeunesse a promis de nous accompagner dans cette insertion, par la valorisation sur le plan patriotique des fondateurs à travers le service civique par des activités d’intérêt général, l’accompagnement à la structuration par les équipes du ministère en charge de l’incubation des startups et enfin il facilitera l’accès aux autres ministères qui interviennent inéluctablement dans la mise en place d’un projet de cette envergure entre autres le ministère de la santé et celui des postes et télécommunication. Nous avons également convenu avec le ministre pour les jeunes détenteurs de la carte jeune de la mise à disposition des cartes de santé de famille qui leurs permettront de bénéficier de nos soins médicaux à cout réduit mais également de l’accompagnement d’un médecin de famille.
En quoi le gouvernement peut vous permettre d’acquérir davantage de parts de marché dans le secteur de l’E-santé au Cameroun ?
Le gouvernement en apportant la légitimé à notre projet, et en l’insérant dans le système sanitaire facilitera l’acceptation de nos services auprès des populations camerounaises, mais également auprès des partenaires et bailleurs de fonds.
Quelle description faites-vous du service Clinic Home et que représente-t-il sur le marché de la santé au Cameroun ?
Clinic Home est un hôpital virtuel dédié à la médecine à domicile. Qui est accessible via le site internet « www.clinichome.cm » ou via appli mobile ou par appel direct ou whatsapp. Les services disponibles sont : les consultations médicales à domicile, le prélèvement d’examens de laboratoire à domicile, les soins infirmiers à domicile, la livraison de médicaments et les téléconsultations médicales. Elle compte un effectif de plus de 200 médecins et infirmiers dans les villes de Douala et Yaoundé, et permet par ses services de désengorger les hôpitaux, améliorer la prise en charge médicale et participer à l’emploi médical et paramédical. A cette date, d’après Google Analytics nous comptons depuis le lancement de l’application près de 6500 utilisateurs actifs sur la plateforme web.
En termes d’ambitions quelles sont les perspectives de votre start-up ?
Notre ambition est de fournir à cahute famille camerounaise un médecin de famille pour développer et faire accepter la médecine préventive comme premier recours en travaillant avec les pouvoirs publics et positionner la médecine à domicile comme une véritable option de soins au Cameroun. Après les villes de Douala et Yaoundé nous allons nous étendre dans les 10 régions du Cameroun, ensuite dans la sous-région Afrique centrale et Ouest. Nous voulons également résoudre le problème des déserts médicaux en proposant des services de télémédecine adaptés aux zones rurales.
En termes d’obstacles, qu’est-ce qui freine votre déploiement et quelles sont à votre avis les solutions adaptées pour y remédier ?
Sur le plan de la médecine à domicile le plus grand obstacle que nous avons rencontré c’est l’enclavement des routes, certains patients habitent dans des zones difficiles d’accès et il n’est pas évident d’y faire entrer une ambulance ou une voiture. Comme solution nous avons acquis une flotte de motos qui permet de faciliter l’accès à ces endroits-là.
Sur le plan de la télémédecine, le principal obstacle c’est l’accès internet qui n’est pas toujours stable ce qui rend difficile les consultations en ligne qui nécessitent un flux assez stable surtout lorsque nous faisons intervenir des appareils médicaux. Comme solution nous sommes en train de développer des solutions qui fonctionnent sans internet, et nous permettons déjà à nos patients d’avoir accès à nos services de médecine à domicile simplement en appelant notre standard.
Le ministère en charge de la Jeunesse et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) ont regroupé 60 entrepreneurs à Douala pour un atelier de renforcement des capacités en gestion, marketing et financement de projets.
L’un des objectifs prioritaires du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) est de faciliter la croissance et offrir un cadre d’accompagnement aux jeunes entrepreneurs. Un point de vue partagé par le ministère camerounais chargé de la Jeunesse. Les deux entités ont organisé la semaine dernière une session de formation, YouthConnekt Bootcamp et Award.
Il vise à améliorer les compétences des jeunes lorsqu’il s’agit d’innovation et de la création de réseau avec d’autres entrepreneurs. Plus de 60 jeunes entrepreneurs venant de la région du Sud-Ouest et de la région du Littoral du pays ont pris part à cette initiative. Selon les organisateurs, il est important de donner des conseils entrepreneuriaux qui aideront les jeunes à s’épanouir tant au niveau national qu’international. Mais aussi, pour qu’ils soient compétitifs et s’emparent des avantages apportés par la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF).
Dans ce sillage, on leur a présenté des solutions aidant à prendre des décisions intelligentes et rapides et des facilités de mise en réseau.
Clôturant cette session de formation, le représentant résident du PNUD s’est dit enthousiasmé par l’intelligence des entrepreneurs, Alassane Ba « J’ai ressenti un fort engagement de la part des jeunes entrepreneurs qui nous ont montré de quoi ils étaient capables. On sent qu’il y a de l’innovation, et il y a de la détermination. Et nous au niveau du PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) en partenariat avec le ministère de la Jeunesse poursuivrons nos efforts pour soutenir ses initiatives jeunesse… »
Une signature de convention a eu lieu ce 07 juillet 2022 entre le ministère de la Jeunesse et l’entreprise de Télécommunications jaune.
Mounouna Foutsou au nom de l’Etat du Cameroun à travers le Ministère de la Jeunesse et de l’Education Civique a signé ce jour un partenariat avec MTN. « Le partenariat que nous venons de signer nous semble mutuellement bénéfique à deux niveaux. Notamment l’accompagnement des jeunes et la gouvernance numérique », a indiqué le membre du gouvernement.
La convention est constituée de 15 articles regroupés dans 03 chapitres. Cet accord entre les deux parties a pour objet entre autres, la mise en place des solutions numériques innovantes en vue de l’insertion socioéconomique des jeunes.
D’une durée de trois (03) ans renouvelables, le partenariat porte sur les domaines de collaboration qui ont trait à l’insertion sociale et économique des jeunes, la sensibilisation des jeunes pour la lutte contre les fléaux sociaux, la promotion de la Carte Jeune Biométrique comme levier d’autonomisation de la jeunesse, l’interconnexion des services centraux et déconcentrés du Minjec.
Aussi, la mise en place des solutions et des moyens de communication innovants en faveur des jeunes et acteurs intervenant dans le secteur jeunesse, la promotion du volontariat et la communication sociale. Les bénéficiaires des fruits de cette convention de partenariat étant les jeunes âgés de 15 à 35 ans détenteurs de la carte jeune Biométrique mais également les services et personnels des services centraux, déconcentrés, rattachés et sous-tutelle du MINJEC.
« S’agissant de l’accompagnement des jeunes, nous n’avons pas de doute que les innovations développées par MTN CAMEROON en faveur de la population camerounaise en général et des jeunes en particulier leur permettront de mettre leur génie créateur au service du développement du Cameroun », a indiqué le ministre de la Jeunesse à l’occasion de ctte signature de convention.
« Cet accompagnement devra permettre à notre département ministériel d’atteindre les objectifs qui sont les siens, tant au niveau de la promotion des valeurs civiques, morales et éthiques, du volontariat, de la promotion de l’insertion socioéconomique des jeunes, que du vivre ensemble et de la participation de ces derniers au développement intégral du Cameroun », a-t-il ajouté.
La cérémonie de lancement officiel se déroule dans la localité de Moumekeng, département du Moungo, région du Littoral. C’est sous la présidence du ministre de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec) Mounouna Foutsou.
Dans une semaine, le Cameroun va célébrer la 50è édition de la fête nationale, marquant l’avènement de l’Etat unitaire du 20 mai 1972. Cette édition qui représente le jubilé d’or de l’unité nationale est placée sur le thème « Forces de Défense et de Sécurité, au service du peuple pour la préservation de la paix sociale et de la cohésion nationale, gage de l’émergence du Cameroun».
A sept jours de l’événement, le ministre de la Jeunesse et de l’éducation civique, coordonnateur des activités civiles de la fête de l’unité lance ces activités. Mounouna Foutsou a saisi l’occasion pour donner le coup d’envoi des manifestations civiles. Cette action a été précédée d’un carrefour du vivre ensemble entre les communautés sœur du Sud-Ouest et du Littoral, installées sur les de part et d’autre du Moungo.
A l’occasion de cette cérémonie, le Minjec installe le tout premier conseil municipal jeune de la commune de Manjo. Il remet des appuis aux bénéficiaires du Plan triennal spécial jeune aux jeunes en difficulté, aux groupes organisés, aux populations vulnérables et aux conducteurs de mototaxis de la localité.
Après la cérémonie de lancement, le programme prévoit plusieurs activités civiles durant les sept prochains jours. Il s’agit entre autres de la visite de certaines réalisations des jeunes, en particulier les bénéficiaires du Plan triennal jeune, des success stories, des après-midis jeunesse. Les jeunes en difficulté et les populations vulnérables recevront des appuis de la part du gouvernement, explique le Minjec.
Mounouna Foutsou précise que le programme national harmonisé prévoit aussi des activités civilo-militaires. Ce sont en effet des activités sportives, des activités de volontariat effectuées à la fois par les populations civiles et les forces de défense et de sécurité. Dans cette optique, il est prévue la nuit de réarment morale civil et patriotique en casernement à la Base navale de Douala.
Ces activités qui se déroulent jusqu’à jeudi prochain, seront couronnées par le défilé vendredi 20 mai 2022 sur l’ensemble du territoire camerounais.
Hier 27 avril 2022 le comité de pilotage de cette initiative s’est réuni à Yaoundé.
Valider le plan de travail annuel 2022 de ce programme conjoint gouvernement-ONU. Tel est l’objectif de la rencontre d’hier coprésidée par le ministre de la Jeunesse Mounouna Foutsou et Alassane BA, représentant résident du Pnud.
Pour l’année 2022, le budget du plan de travail annuel est évalué à 1,308 millions de dollars, soit environ 800 millions de F.
« En 2021, nous avons contribué à l’insertion ou la mise en place de presque 3000 jeunes au Cameroun », a déclaré Alassane BA.
Pour mémoire, YouthConnekt est un programme d’autonomisation des jeunes qui a été lancé au Rwanda en 2012 et qui est actuellement déployé dans toute l’Afrique.
Avant d’acquérir une dimension continentale en 2017, YouthConnekt a été lancé par le Gouvernement du Rwanda par l’intermédiaire du Ministère de la jeunesse et des technologies de l’information et de la communication en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) en tant qu’initiative à multiples facettes visant à fournir une réponse globale aux nombreux défis auxquels les jeunes sont confrontés.
Il vise à mettre les jeunes en contact avec leurs pairs et avec des
modèles, à développer leurs compétences et à leur donner accès au financement et à l’entrepreneuriat. Au Cameroun, ce projet a été lancé en 2019 par le ministère de la Jeunesse.
Les festivités autour du 11 février 2022 seront marquées par des nouveautés telles que la mise en œuvre des conseils municipaux jeunes et la création d’une chambre des sénateurs juniors.
A un mois de la célébration de la 56è édition de la fête de la jeunesse au Cameroun, le ministère de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec) accélère les préparatifs. Au cours de la deuxième réunion préparatoire à cet événement tenue le 11 janvier à Yaoundé, Mounouna Foutsou et ses collaborateurs ont dévoilé la panoplie des innovations liées à la célébration.
D’abord, ces nouveautés sont d’ordre pratique. Elles concernent à cet effet la parade du 11 février dans l’hypothèse où le défilé est autorisé. Ainsi, pour cette édition, le nombre de carrés des défilants est en réduction, passant de 144 à 49. Le nombre de personnes aussi sera de 49 au lieu de 121 comme par le passé.
Ensuite, le ministre envisage lancer le projet national d’éducation civique de réarmement moral (Pronec-Reamorce). Cette initiative vise à lutter contre l’incivisme dans tous les secteurs de la vie. Pour sa mise en œuvre, l’option des « Aprèm-jeun » a été retenue pour les jeunes. Elle servira de plateforme d’échange entre les jeunes et les responsables du Minjec autour des thématiques variées. Il s’agit de l’éducation civique, le volontariat, la vie associative, l’innovation, l’insertion socio-économique, etc.
Enfin, sur le plan de la représentation au sein des institutions républicaines, le Minjec entend opérationnaliser les Conseils municipaux jeunes en 2022. De plus, Mounouna Foutsou veut parachever la mise sur pied du Parlement junior. Le ministre envisage la création d’une chambre des sénateurs juniors. Ce projet fera du Parlement jeune le reflet du pouvoir législatif, selon la configuration constitutionnelle.
Par ailleurs, les chants patriotiques retenus ont été dévoilés au cours de la rencontre, les messages et les cadences aussi. Les élèves du secondaire et les étudiants prendront part au défilé. Cependant, au regard de la persistance de la pandémie à coronavirus, l’incertitude plane sur la tenue ou non du défilé. Et dans la première hypothèse, la participation des élèves du primaire et de la maternelle est en étude.
L’annonce est du directeur de l’UNESCO Afrique centrale à l’occasion de la Journée mondiale de la paix qui se célèbre ce 21 septembre 2021. Pour cette organisation, personne mieux que les jeunes, sont les principaux dépositaires d’une paix durable.
Célébrée le 21 septembre tous les ans, la journée internationale de la paix a pour thème cette année « se relever, pour un monde plus équitable et durable ». La cérémonie de ce jour, a connu la présence du ministre de la jeunesse et de l’éducation civique Mounouna Foutsou, du Directeur du Bureau Régional de l’Unesco pour l’Afrique Centrale, monsieur Salah Khaled et des représentants des droits de l’homme au Cameroun. Dans le cadre de la semaine d’activités organisée à Yaoundé conjointement avec le MINJEC.
L’UNESCO a utilisé l’art et le sport pour sensibiliser les jeunes sur la nécessité de barrer la route à la haine et à la violence. Elle annonce qu’elle va former 1800 jeunes du Cameroun, du Tchad et le Gabon à la résolution des conflits transfrontaliers.
Par ailleurs, en cette période de prévalence de la pandémie de Covid-19, les réflexions ont porté sur les voies et moyens de soutenir les peuples à mieux se porter, à devenir plus résilient et à transformer ce monde en un havre sain, justice, d’égalité et de paix. C’est dans ce sens que l’UNESCO a choisi cette année, de s’appuyer sur l’art et le sport chez les jeunes.
Toujours sur le plan de la santé, le Minjec et l’Unesco dénoncent l’usage de drogue. Substance qui détourne un bon nombre de jeunes dans nos communautés. Les jeunes s’ouvrent à l’extrémisme violent, aux discours de haine dans les réseaux –sociaux, pourtant leur contribution dans le chantier de la reconstruction nationale de la paix est primordiale.
La célébration de la Journée internationale de la paix aura égaiement été marquée par une formation des pensionnaires de l’Académie nationale de football, suivi d’un match de football. Autant d’activités porteuses d’espoir pour la jeunesse.
Un communiqué du ministre de la Jeunesse, président du Comité National d’organisation de la Fête de la Jeunesse, indique que seules les activités du Village Jeunesse à mobilisation réduite vont se dérouler en partie en présentiel, dans le strict respect des mesures barrières.
Il n’y aura pas de parade du 11 février cette année. Décision de Mounouna Foutsou, ministre de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec) qui fait savoir dans un communiqué publié ce jour que le souci est d’éviter la propagation du coronavirus et de préserver la santé des populations, notamment des jeunes.
« Seules les activités du Village Jeunesse à mobilisation réduite continueront à se dérouler en partie en présentiel, dans le strict respect des mesures barrières. Toutes les autres activités de la Onzaine de la Jeunesse se tiendront essentiellement en mode virtuel tel que prévu dans le Programme National Harmonisé », écrit le membre du gouvernement.
Le Minjec appelle les jeunes au civisme et à continuer à participer activement aux activités de célébration disponibles sur les plateformes virtuelles créées pour la circonstance, notamment à l’adresse www.villagejeunesse.cm.
A noter que la célébration de la fête de la jeunesse cette année sera rendue à sa 55ème édition.
Le gouvernement a procédé lundi au lancement de YouthConnekt, une plateforme destinée à stimuler l’entrepreneuriat jeune, la création d’emplois et la cohésion sociale.
Selon le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique Mounouna Foutso, cette initiative mettra en relation les jeunes Camerounais entre eux mais surtout elle leur permettra d’acquérir des compétences et savoirs faire divers leur permettant de participer pleinement au développement du pays.
« Nous avons réalisé que de nombreux jeunes camerounais ne sont pas connectés. Nous leur offrons maintenant cette plate-forme pour se connecter aux opportunités où qu’ils se trouvent » a révélé le ministre de la Jeunesse.
Plus de 5 000 jeunes, ont pris part à cet événement qui s’est tenu au Palais polyvalent des sports de Yaoundé en présence de plusieurs invités de marque parmi lesquels, Samuel Eto’o, l’ambassadeur de cet événement.
Il faut préciser que le YouthConnekt est une initiative conjointe ONU-Gouvernement qui cherche à connecter les jeunes à diverses opportunités socio-économiques et politiques afin d’optimiser leur autonomisation et de faciliter leur participation au développement.
L’initiative qui a été lancée en 2012 au Rwanda est désormais présente dans 12 pays africains.
Bien avant le lancement officiel qui s’est tenu à Yaoundé, le ministère de la jeunesse a fait le tour du Cameroun afin de recueillir les avis, les propositions et les attentes de tous les acteurs œuvrant en faveur de la promotion de la jeunesse sur le contenu souhaité pour le Youth Connekt Cameroun.
A son tour, le chef de l’Etat Paul Biya, a encouragé les jeunes Camerounais à saisir les opportunités qui leur sont offerte par cette initiative.
« J’encourage chaque jeune Camerounais à saisir les opportunités offertes par YouthConnekt suite au lancement de l’initiative au Cameroun. Notre cher et beau pays sera construit en paix avec les jeunes », a tweeté Paul Biya quelques minutes après la cérémonie de lancement.
Plusieurs ordinateurs et autres matériels ont été emportés par les malfrats dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre 2019.
Le Centre multifonctionnel de promotion de jeunes (Cmpj) départemental du Mayo Tsanaga (région de l’Extrême-Nord) a été cambriolé.
Les malfrats ont forcé la porte du bureau du chef de centre. Ils ont emporté plusieurs ordinateurs et d’autres matériels didactiques. Le Cmpj départemental est logé dans un bâtiment d’emprunt qui abrite plusieurs autres services. Ce n’est pas la première fois que des bandits pénètrent par effraction dans ces locaux. Une enquête a été ouverte par les forces de l’ordre.
Les Cmpj créés à la faveur d’un décret du Premier ministre du 07 mai 2010, sont des services rattachés du ministère de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec) avec comme missions: l’encadrement et l’accompagnement extrascolaires de la jeunesse en vue de son épanouissement.
Le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique procède ce jour au lancement officiel des activités de la fête nationale à Kobdombo dans la région du Centre.
Des autorités sont au chevet des malades de la lèpre ce jour. La visite de la léproserie d’Ayos et remise des dons aux lépreux (denrées alimentaires, sacs de couchage) est l’activité phare marquant le lancement officiel par le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec), Mounouna Foutsou, de la fête de l’Unité.
C’est la localité de Kobdombo, arrondissement de Nyakokombo, département du Nyong et Mfoumou dans la région du Centre qui a été choisi pour l’évènement. Gilbert Belinga, représentant des personnes souffrant de lèpre, tout en remerciant les autorités présentes pour leur sollicitude, à exhorter les membres du gouvernement davantage d’actions pour cette couche sociale «ne nous donné pas du poisson chaque jour mais apprenez-nous à pêcher». Une sollicitation qui, selon le Minjec devrait trouver réponse dans «le plan triennal spécial jeunes».
Comme autres articulations de l’évènement, la cérémonie de valorisation du drapeau et des emblèmes nationaux à Efoufoup et celle relative au lancement des manifestations civiles de la fête nationale à la place des fêtes de Kobdombo.
Le thème choisi pour la 47ème édition de l’Unité est «Unité dans la diversité, atout majeur du peuple camerounais dans sa marche résolue vers l’émergence».
C’est l’une des paroles prononcées par le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique, dans son adresse au Réseau parlementaire Espérance jeunesse. Le groupe des députés jeunes était rassemblé ce 8 février à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la semaine à eux consacrée.
Le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique (MINJEC), Mounouna Foutsou, s’est voulu encourageant et rassurant, dans son adresse au parterre de jeunes rassemblés à l’hémicycle de Ngoa-Ekelle ce jour.
Le ministre a basé son discours sur le thème de la 53ème édition de la fête de la jeunesse: «Développement de l’entrepreneuriat et des opportunités d’emploi jeunes».
Un thème qui comprend deux volets d’après lui: «le renforcement des capacités des jeunes déjà engagés dans l’entrepreneuriat» et «l’encadrement, l’accompagnement des microprojets jeunes». La réalisation de ces objectifs, précise-t-il, passe par la promotion de l’entrepreneuriat jeune.
Les jeunes, invités à oser
La mise en place du Plan triennal spécial jeunes est une preuve que les pouvoirs publics sont déterminés à accompagner les jeunes dans leur quête d’un mieux-être.
Une détermination qui est appuyée par le septennat actuel, celui des grandes opportunités. Cependant, elle ne peut être effective que si les jeunes osent comme «l’a réitéré le président Paul Biya, dans son allocution à la jeunesse le 10 février 2017», affirme Mounouna Foutsou.
Enfin, le ministre fait appel à la solidarité gouvernementale et au soutien des partenaires au développement, dans le but d’obtenir les résultats escomptés au bout des actions menées en faveur des jeunes.
L’institution a récompensé douze jeunes ayant participé au concours Chat online du « Vivre ensemble » organisé en marge de la célébration de la fête nationale. La remise solennelle des prix a eu lieu mercredi à Yaoundé.
Mounouna Foutsou, le ministre camerounais de la Jeunesse et de l’Education civique, a présidé, le mercredi 23 mai 2018, la cérémonie de récompense des lauréats du concours Chat online du « Vivre ensemble camerounais ». Douze jeunes ont reçu des prix dans quatre différentes catégories : slam et poésie, message vidéo et reportage, dessin et peinture et photographie. Ils ont été sélectionnés sur plusieurs critères, notamment la qualité du message, le bilinguisme et la créativité.
Le concours a été initié par le ministère de la Jeunesse et de l’Education civique pour renforcer le sentiment d’unité auprès de jeunes camerounais à travers le monde. Le contexte de la célébration de la fête nationale a servi de prétexte à l’institution pour lancer le concept, à travers des plate-formes Facebook, Twitter et Instagram. « Pendant la semaine de l’Unité, on a enregistré près de 180.000 vues, 11.000 réactions, 103 jeunes inscrits aux différents concours et 22 participants », a déclaré Thierry Nomo, le chef de la cellule informatique du Minjec, lors de la cérémonie de mercredi.
Un engouement salué par le chef de ce département ministériel, qui en a profité pour annoncer une autre vague de compétitions sur les plate-formes (réseaux sociaux) déjà créées. « Les lauréats de cette deuxième édition recevront leurs récompenses le 12 août 2018 à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la Jeunesse », a promis Mounouna Foutsou dans son allocution de circonstance.
Au-delà du volet compétition, le Chat online du « Vivre ensemble camerounais » était surtout un espace de réflexion sur les notions de paix, de patriotisme, de cohésion sociale et de sensibilisation sur l’acceptation des différences, entre les jeunes camerounais d’ici et d’ailleurs. Les débats engagés sur les plate-formes créées à cet effet ont permis de recueillir l’analyse des uns et des autres sur les forces, les faiblesses et les solutions éventuelles pour un vivre ensemble plus harmonieux.
Le concours Chat online du « vivre ensemble » a été une articulation des « Journées du vivre ensemble camerounais».
Dans une récente circulaire, le ministre de la Jeunesse interdit aux fonctionnaires sous sa tutelle d’employer l’expression « région anglophone ». Il recommande l’emploi des expressions ressortissants du Sud-Ouest ou du Nord-Ouest.
L’emploi des expressions régions ou zones anglophones embarrasse le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique, Mounouna Foutsou. Celui-ci a, par conséquent, décidé d’en interdire l’usage au sein des services centraux, déconcentrés, des structures rattachées et des cellules de coordination des programmes de son département ministériel.
«Je vous rappelle que les expressions autorisées pour parler de ces localités restent et demeurent régions du Sud-Ouest et Nord-Ouest», a écrit le Minjec dans une circulaire datée du 28 juillet 2017.
La décision de Mounouna Foutsou survient à la suite de la crise sociopolitique débutée en octobre 2016. Les populations d’expression anglaise y décriaient une attitude de marginalisation que leur impose le régime de Yaoundé. Ils s’opposaient spécifiquement à l’insuffisance des infrastructures de développement dans leurs régions et à la suprématie du système francophone sur leur culture anglosaxonne.
La crise dite anglophone n’est touours pas résolue au Nord-Ouest et au Sud-Ouest, quoique depuis près de trois mois, une situation d’accalmie y est observée.
L’injonction du Minjec a pour conséquence de rétablir la dénomination officielle de ces deux régions du pays. D’un autre côté, cependant, elle semble vouloir taire une réalité qui est celle d’une population anglophone majoritaire dans ces zones. En effet, ces deux régions constituent ce qui était appelé, en 1961, le «southern Cameroon», un territoire jadis sous mandat britannique. D’où l’expression familière de régions ou de zones anglophones.
le premier ministre Philémon Yang a lancé mercredi ledit programme doté d’un financement de 102 milliards de F pour l’insertion socio-économique des jeunes et renforcer leur sens civique
Doté d’un montant de 102 milliards de Fcfa , le plan triennal Spécial Jeunes est lancé ce mercredi 11 janvier 2017 au palais polyvalent des Sports de Yaoundé par le premier ministre camerounais, Philémon Yang.
C’est une initiative du président de la République du Cameroun, Paul Biya qui vise à faciliter l’insertion socio-économique des jeunes et renforcer leur sens civique. Le Plan triennal Spécial Jeunes a été annoncé par le président de la République lors de son discours à la jeunesse camerounaise, le 10 février 2016.
Selon les informations recueillies auprès du ministère de la Jeunesse et de l’Éducation civique (Minjec), cette décision présidentielle concerne les jeunes des deux sexes âgés de 15 à 35 ans à la recherche ou en attente d’une activité génératrice des revenus décents.
Ce plan privilégie deux groupes de jeunes à savoir les plus vulnérables et ceux au potentiel entrepreneurial le plus porteur. Au total, 1,5 million de jeunes sont concernés par ce Plan qui s’étalera sur trois ans.
Le volet socio-économique de cette opération concerne la formation technique et entrepreneuriale de quelques 600 000 jeunes sur trois ans, soit 200 000 par an, sera scruté avec attention, au même titre que les 500 000, soit environ 160 000 par an qui recevront des financements en vue de leur auto-emploi dans des filières porteuses.
Le document y relatif a été signé mardi à Yaoundé entre le ministère de la Jeunesse et de l’Education civique et la Caisse nationale de prévoyance sociale
Le ministère camerounais de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec) et la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS) ont signé, mardi à Yaoundé, une convention portant sur la mise en place d’une plateforme de facilitation de l’affiliation au régime de l’assurance volontaire des bénéficiaires des divers projets, programmes et appuis destinés à l’insertion sociale et professionnelle des personnes inscrites à l’Observatoire national de la jeunesse (ONJ).
A travers ledit contrat, d’une durée de trois ans renouvelable par tacite reconduction, le département ministériel devra intéresser et orienter vers le guichet de l’assureur les jeunes du terroir et ceux de la diaspora détenteurs d’une «Carte jeune», veiller au versement des cotisations sociales, prendre en charge ledit versement à hauteur de 100% la 1ère année, 50% la 2ème année et 25% la 3ème année.
Le Minjec mettra aussi à disposition ses différentes structures pour l’exécution des activités prévues, sensibilisera les jeunes sur le bien-fondé de la protection sociale, veillera à leur affiliation, informera le partenaire des cas de suspension ou de retrait de financement de projets/programmes.
La CNPS, pour sa part, affiliera tout détenteur de la «Carte jeune», à qui il fournira un relevé d’identité bancaire, versera à l’affilié ou à ses ayants droit toutes les prestations sociales, et lui délivrera un document d’informations sur le service.
En début août dernier, la CNPS avait indiqué avoir déjà enregistré quelque 110.000 souscriptions à ce service.
Consacré aux technologies et usages du virtuel en Afrique, l’évènement se tiendra du 08 au 09 février 2017
Premier salon africain des technologies et usages du virtuel, Laval Virtual Africa aura lieu au Cameroun, du 08 au 09 février 2017.
En prélude à cet évènement, le directeur général du salon Laval Virtual international, Laurent Chrétien, a été reçu en audience le 03 novembre 2016 par le ministre camerounais de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec), Mounouna Foutsou.
Depuis Yagoua, chef-lieu du département du Mayo-Danay à l’Extrême-Nord du Cameroun, Mounouna Foutsou s’est entretenu par visioconférence avec Laurent Chrétien, en compagnie d’Armand Claude Abanda, représentant résident de l’IAI Cameroun, tous deux reçus dans les locaux du Minjec.
Au menu des discussions, les opportunités de la réalité virtuelle pour la jeune camerounaise en particulier et celle africaine en général. Présent dans le cadre de la préparation du Laval Virtual Africa, Laurent Chrétien a indiqué qu’il s’agissait « d’une occasion pour inspirer les jeunes, qu’ils soient étudiants ou opérateurs économiques, pour qu’ils commencent à explorer les bienfaits de la réalité virtuelle. On envisage aussi des formations pour les jeunes camerounais dans nos structures en France. Des formations qui peuvent aboutir à un recrutement ».
Pour le Minjec, « ce salon sera une occasion pour montrer que le Cameroun est bien engagé dans la promotion des Technologies de l’information et la communication auprès de la jeunesse ».
150 médiateurs communautaires ont été mobilisé pour encadrer et accompagner les activités des jeunes pendant les vacances scolaires. Objectif, lutter contre l’incivisme
Le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique, (Minjec), Mounouna Foutsou, a procédé le mardi 26 juillet 2016, au lancement de la caravane d’éducation civique et d’intégration régionale, «Vacances citoyennes» . Laquelle est composée de 150 jeunes qui participeront, pour la période des vacances scolaires, à la lutte contre l’incivisme.
«Ils vont aller dans les communautés, les quartiers, les villages, les regroupements de jeunes pendant ces vacances pour sensibiliser leurs pairs aux valeurs patriotiques, morales et à la probité morale. Leur donner des astuces pour lutter contre les actes inciviques, les fléaux sociaux qui guettent les jeunes en cette période très délicate», a indiqué Mounouna Foutsou dans une interview publiée dans la presse publique ce mercredi.
La Caravane «Vacances citoyennes» s’inscrit dans la continuité de la campagne nationale d’éducation civique lancée en septembre 2015 par le Premier ministre, Philémon Yang, afin a pour principal objectif la sensibilisation de tous au respect de l’Etat et des institutions républicaines. Ceci, afin de barrer la voie à la corruption, la dégradation des m urs, les intolérances de tous ordres, notamment sur les plans politique, religieux et ethnique, le développement du banditisme et de la délinquance juvénile.
«Cette mobilisation est destinée à faire réculer l’incivisme et ses corollaires au moyen d’une éducation de masse. L’indicateur sera le nombre de jeunes sensibilisés ou le nombre de clubs d’éducation civique et d’intégration nationale créées au bout du processus. Tous ces indicateurs devraient nous permettre à terme d’avoir une masse critique des jeunes modèles, des populations modèles», a souligné le Minjec.
Ces institutions viennent de signer deux conventions relatives à la formation et au transfert des compétences ainsi qu’à l’insertion socio-économique des jeunes par la création d’entreprises
L’ingénierie numérique, de l’éducation civique et de l’intégration nationale ainsi que les technologies de l’information et de la communication (TIC), seront les domaines clés du Plan triennal «Spécial jeunes» (PTS-Jeunes) du gouvernement camerounais doté d’une enveloppe totale de plus de 102 milliards de FCFA, a-t-on appris de source officielle.
En vue de sa mise en uvre, le ministère de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec) vient ainsi de signer deux conventions-cadre avec les Organisations Agro-PME Fondation, une association à but non lucratif couvrant tous les domaines de l’accompagnement entrepreneurial, et le Centre de gestion agréée Confédération des petites et moyennes entreprises (Cga CoPme) spécialisé dans la mise en place des incubateurs et pépinières d’entreprises au sein des Centres multifonctionnels de promotion des jeunes (CMPJ).
Le premier volet desdites conventions visera l’insertion socio-économique des jeunes par la création d’entreprises et l’auto-emploi, l’auto-entrepreneuriat ainsi que l’amélioration des écosystèmes favorables à la réussite de startups.
Le second module consistera en la formation et au transfert des compétences d’encadrement et d’accompagnement au gouvernement dans les domaines de la gestion des pépinières d’entreprises.
Selon les services compétents du Minjec, quelque 5000 espaces de travail partagés pour la création des entreprises numériques seront mis sur pied d’ici 2030, précédés d’une phase pilote de 100 jours avant leur incubation gratuite, pendant 24 mois au terme desquels des entreprises formelles verront le jour
Le ministère camerounais de la Jeunesse et de l’Education civique (MINJEC) a dévoilé, samedi, les grandes lignes du Plan triennal spécial jeunes (PTS-Jeunes) d’un montant de plus 102 milliards de FCFA annoncé le 10 février au soir par le chef de l’Etat Paul Biya.
Annoncé le 10 février dernier par le président Paul Biya, le PTS-Jeunes consacrera plus de 1,3 milliard de FCFA à la mise en place de l’Observatoire national de la jeunesse (ONJ), quelque 75 millions pour la spécialisation et le renforcement des programmes et environ 26 millions de FCFA au développement des infrastructures et équipements socio-éducatifs.
Intervenant dans un contexte marqué par la pauvreté et le dés uvrement des jeunes, la radicalisation et le recrutement de certains par des sectes terroristes ainsi que l’exode rural vers les grandes agglomérations et les migrations clandestines vers d’autres cieux, ledit plan ambitionne de combattre la vulnérabilité des jeunes particulièrement dans les zones d’insécurité, la lutte contre la montée fulgurante de l’incivisme et de la crise des valeurs sociales essentielles de paix, de travail, de solidarité et de tolérance.
Ce programme se consacrera aussi à la lutte contre l’insécurité générée par la secte Boko Haram, ayant pour corollaires l’enrôlement et l’instrumentalisation des jeunes ainsi qu’à l’accélération d’une croissance inclusive, permettant de générer les ressources et de réduire considérablement la pauvreté.
Le PTS-Jeunes est destiné à palier la faiblesse des niveaux d’exécution des documents de stratégies, à mieux cibler et renforcer les capacités d’action, à donner aux jeunes l’assurance que leurs aspirations sont suffisamment prises en compte.
Selon le gouvernement camerounais, «l’une des faiblesses du dispositif gouvernemental actuel réside dans l’absence d’une communication véritablement orientée vers les jeunes avec l’objectif de mieux cerner leurs besoins et de les associer aux opportunités offertes par le gouvernement et les partenaires au développement».
Un accord gagnant-gagnant relatif à l’insertion professionnelle des jeunes dans le domaine des TIC a été signé, mardi 09 février 2016, à Yaoundé
Dans le cadre de l’opération MIJEF 2035, les jeunes formés à l’IAI-Cameroun bénéficieront d’un suivi des employés du Minjec spécialisés dans l’insertion socio-économique des jeunes, l’éducation civique et l’intégration nationale. Par ailleurs, ils seront initiés aux notions de base de l’informatique, aux applications courantes, et à l’internet. Objectif, permettre à ces derniers d’effectuer plus tard des stages académiques dans les services du ministère de la Jeunesse et de l’Education civique.
Ces décisions sont la résultante d’un accord de partenariat signé entre le ministre de la Jeunesse et de l’Education Civique (Minjec), Moumouna Foutso et le représentant-résident au Cameroun de l’Institut africain d’informatique (IAI), Armand Claude Abanda. Un projet qui vise l’initiation des jeunes aux notions de base de l’informatique à l’heure où l’on parle d’économie numérique.
Au cours de ladite cérémonie, 300 jeunes issus des centres multi-professionnels des jeunes des quartiers Mimboman et Madagascar ont reçu leurs attestations de fin de formation.
Un pas de plus vers l’insertion numérique des jeunes.Droits réservés)/n
La ville de Tiko a abrité lundi, les cérémonies menées par le Minjec, pour le lancement des activités liées à la célébration de la fête de la Jeunesse
Le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec), Mounouna Foutsou, donne Le coup d’envoi des activités marquant le cinquantenaire de la fête de la jeunesse ce lundi, 01er février 2016. Les cérémonies y relatives se dérouleront dans deux villes. Il s’agit respectivement de Tiko, située dans la région du Sud-Ouest, et de Yoko dans le Centre.
« Le lancement des activités se fait dans deux localités pour permettre aux jeunes de ces lieux d’avoir le sentiment d’être pris en compte», a indiqué Mounouna Foutsou, cité dans le quotidien national édition du lundi, 01er février 2016.
Concernant la célébration de la fête de la jeunesse 2016, le Minjec a indiqué jeudi, 28 janvier 2016, qu’elle se tiendra sous le thème « Jeunesse, citoyenneté et lutte contre l’insécurité pour l’avènement d’un Cameroun émergent », un thème relatif à la campagne nationale d’éducation civique et d’intégration nationale en cours au Cameroun.
Des innovations ont été apportées à la célébration du cinquantenaire de la fête de la jeunesse. Il s’agit notamment de la construction de monuments commémoratifs ; la conception d’un logo de la jeunesse ; la composition de l’hymne de la jeunesse et des chants patriotiques et la réalisation d’une fresque historique.
Le port d’un pagne non obligatoire a aussi été adopté. « ce pagne est le fruit de l’initiative et de l’ingéniosité des jeunes eux-mêmes, sous l’égide du Conseil national de la Jeunesse. 100 000 pièces seulement ont été produites à titre expérimental », a indiqué le Minjec.
De nombreuses activités sont prévues en attendant la date buttoir du 11 février. Le 5 février est consacrée aux activités d’intérêts communautaires sur le territoire national. Suivra ensuite Le carnaval de la jeunesse]. Les 8 et 9 février sont consacrés à la foire des initiatives et de la créativité des jeunes, etc.
Le Minjec, Mounouna Foutsou, devant la presse vendredi, 28 janvier 2016Droits réservés)/n
Arrivé au terme d’une tournée y relative dans le Mfoundi, Mounouna Foutsou a constaté que les jeunes se livrent à l’ivrognerie, à la prostitution et à toute autre forme d’incivisme
La jeunesse de Yaoundé, capitale politique du Cameroun, est indisciplinée et ne respecte pas les emblèmes de la République. C’est le constat qu’à récemment fait le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec), Mounouna Foutsou. C’était au cours d’une tournée effectuée dans le Mfoundi, en vue d’évaluer l’impact de la campagne nationale d’éducation civique sur la jeunesse de cette circonscription.
L’exercice mené par le Minjec a permis de relever d’autres maux qui minent la jeunesse camerounaise. « l’indécence vestimentaire, la consommation des stupéfiants, le banditisme, le vandalisme, l’irrespect envers les ainés, la prostitution, le proxénétisme, etc », a indiqué Mounouna Foutsou dans une interview publiée dans le quotidien national édition du mercredi, 20 janvier 2016.
Toutes choses qui ont conduit le Minjec à mettre en place des clubs d’Education civiques dans les zones fréquentées par les jeunes. Notamment, les quartiers, les établissements scolaires, universitaires et de formation et les villages. Objectif Optimiser les effets de la campagne de sensibilisation qui s’étend désormais sur les réseaux sociaux.
« Chaque semaine il y a des thématiques qui sont lancées en débat. Les réactions sont récoltées et réorientées pour que les jeunes sachent identifier les défis et les maux qui minent notre jeunesse », a indiqué le Minjec.
Ladite campagne vise également les adultes. Selon Mounouna Foutsou il est question de sensibiliser tout le monde en demandant aux adultes de servie de modèles de vertus aux plus jeunes, et à ces derniers de ne pas suivre les mauvais exemples.
Les 6.000 jeunes appelés et 9.000 volontaires de cette cuvée du programme de formation ont été invités mardi, à Garoua dans le Nord, à être des remparts face à la secte islamiste nigériane
La cérémonie de lancement national du programme de formation «service civique» pour le compte de l’année 2015 s’est tenue mardi, 18 août 2015, à la cour de l’école publique de Roumde Adjia à Garoua, chef-lieu de la région du Nord, en présence du délégué du gouvernement auprès la Communauté urbaine de la ville. Ont pris part à la cérémonie, le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec), Bidoung Mkpatt, le ministre de la Communication (Mincom), Issa Tchiroma Bakary.
Au total, 6.000 appelés et 9.000 volontaires font partis de la cuvée 2015 du service civique. Selon Bidoung Mkpatt, par ailleurs, président du conseil d’administration (PCA) de l’Agence du service civique national de participation au développement (ASCNPD), après 60 jours de formation, ces jeunes devront [«jouer leur rôle d’agents civiques dans leurs communautés respectives et représenter un des maillons essentiels pour barrer la route au mouvement obscurantiste de Boko Haram»] en véhiculant «les messages de développement et de sensibilisation contre les dangers qui nous guettent», a souligné le Minjec.
Issa Tchiroma Bakary a également exhorté la jeunesse à barrer la voie à «cet ennemi de la République et de la démocratie», en faisant «de la lutte contre Boko Haram, un engagement de tous les instants».
Pour le directeur général de l’ASCNPD, M. Taossi, «l’activité de la secte islamiste invite le pays à accentuer sa sensibilisation de masse en direction des jeunes». Il s’agit donc pour lui d’encourager les nouveaux venus à «aller en guerre contre ce fléau destructif de la jeunesse».
L’Agence du service civique national envisage d’étendre ses formations, dès 2016, dans les structures des forces de défense et de sécurité en liaison avec les administrations partenaires, et inaugurer les premiers «villages de volontaires» qui consistent à réunir ces derniers autours de projets communs.
Les jeunes du service civique appelés à s’investir dans la lutte contre Boko Haram. Droits réservés)/n
Selon le ministre Bidoung Kpwatt, les activités établies dans le cadre de la célébration du 20 mai devront respecter le calendrier approuvé par la hiérarchie
Le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec), Bidoung Kpwatt, a présidé jeudi 23 avril 2015 à Yaoundé, la deuxième réunion préparatoire de la 43ème fête nationale de l’Unité.
Cette rencontre du Minjec, avec les présidents des commissions techniques chargés de l’organisation de cette célébration, avait pour but de communiquer le programme de la fête nationale du 20 mai, édition 2015.
Programme de la célébration
Le lancement officiel des manifestations aura lieu du 09 au 13 mai 2015 à Maroua dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun. Cette localité a été choisie pour «réaffirmer, entre autres, la solidarité de tous les citoyens de l’ensemble de la communauté nationale à l’égard des populations de cette région, victimes des exactions de la secte Boko Haram», a indiqué le Minjec.
Le 15 mai, auront lieu dans les dix régions du pays, des travaux d’intérêt communautaire consacrés à la promotion des valeurs telles que la «solidarité» et le «vivre-ensemble».
Le lendemain, 16 mai, aura lieu la marche de l’Unité et de l’intégration nationale dans toutes les circonscriptions administratives du territoire camerounais. Ces marches s’achèveront par des prières inter-religieuses. Et puis, viendra la retraite aux flambeaux le 19 mai.
La parade, elle, se tiendra comme de coutume le 20 mai 2015, jour de la célébration. Les répétitions des mouvements d’ensemble démarrent lundi prochain. Innovation au défilé civil cette année: le passage devant le chef de l’Etat d’un carré spécial regroupant les ressortissants de toutes les dix régions du Cameroun.
«Les activités programmées devront strictement respecter le calendrier approuvé par la hiérarchie», a précisé le Minjec, au cours des travaux d’évaluation des préparatifs hier, jeudi.
Quelques images du défilé au boulevard du 20 mai (Photo illustration)Droits réservés)/n
Le président national de l’Ong France Volontaires est venu requérir l’accord du ministre de la Jeunesse et de l’Education civique pour le patronage dudit salon prévu en octobre prochain à Yaoundé
Le représentant national de l’Ong France volontaires, Cheick Diallo a été reçu, mercredi 22 avril 2015, par le ministère de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec), Bidoung Mkpatt.
Cheick Diallo est venu demander l’accord du Minjec pour le patronage du Salon international du volontariat et de la solidarité prévu en octobre prochain à Yaoundé.
Au cours des échanges, le représentant national de l’Ong France volontaires a précisé l’enjeu de ce salon: «promouvoir le concept de volontariat». Il constituera également un espace d’exposition de la politique gouvernementale en matière de volontariat.
Trois pôles d’échanges meubleront ce salon, a expliqué Cheick Diallo, cité dans le quotidien national ce jeudi. Il s’agit du «volontariat et développement durable», «volontariat et action humanitaire», et «volontariat et le monde des entreprises».
L’initiative a été approuvée par le Minjec qui a donné son accord de principe en invitant ses collaborateurs à «tout mettre en uvre pour la réussite de cet évènement»
Le directeur du cabinet de la secrétaire générale de l’OIF a rencontré le ministre de la Jeunesse, mercredi dernier, à Yaoundé, dans le cadre de la préparation de ce séjour consacré à la jeunessee
La secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (Oif) souhaite rencontrer des représentants des associations des jeunes uvrant dans le développement. C’est la principale raison de sa visite éventuelle au Cameroun prévue au mois d’avril 2015. L’annonce a été faite par son directeur de cabinet, Jean-Louis Atangana Amougou, qui a conduit à cet effet une délégation chez le ministre de la Jeunesse et de l’Education civique, mercredi 11 mars 2015 à Yaoundé. Cette rencontre rentre dans le cadre de la préparation d’un «possible» séjour de Michaelle Jean au Cameroun.
En fonction depuis le 05 janvier 2015 à la tête de l’Oif, Michaelle Jean, dans le cadre de son mandat, met un accent particulier sur la jeunesse.
En son nom, la délégation présente au Cameroun a pour mission d’écouter les doléances des responsables du Minjec et de noter les domaines dans lesquels ceux-ci souhaitent obtenir un appui de l’institution.
Plusieurs domaines ont été présentés par le ministre Bidoung Nkpwatt et ses collaborateurs. Il s’agit entre autres, de la mise en uvre de la stratégie nationale du volontariat validée en décembre dernier, des voyages d’études pour l’insertion des jeunes volontaires, de la formation des formateurs et de l’implémentation du cadre juridique.
Le don, en matériel et équipement, du Fonds des Nations Unies pour la population a été remis lundi au ministère de la Jeunesse
Le Fonds des Nations-Unies pour la population (UNFPA) a remis lundi, 27 octobre, au ministère de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec), un don en matériel et équipements d’une valeur de 136.000 dollars (68 millions de F CFA), rapporte l’institution onusienne dans un communiqué. Ce don a été effectué en vue de «soutenir l’encadrement et l’éducation des jeunes», explique l’UNFPA.
«Le matériel remis sera affecté aux Centres Multifonctionnels de Promotion de la Jeunesse dans les dix régions. Il est constitué essentiellement d’une part, d’équipement informatique et de sensibilisation (ordinateurs portables, vidéoprojecteurs, imprimante, photocopieur) pour permettre aux jeunes de s’informer afin d’adopter des comportements sains et d’autre part d’unités d’apprentissage pour appuyer l’autonomisation des jeunes à travers les activités génératrices de revenus», détaille l’institution que dirige au Cameroun Barbara Sow.
Selon les données présentées par l’UNFPA, les jeunes de 10 à 24 ans constituent 34,1% de la population Camerounaise. Près de 50% des filles et un peu plus de la moitié des garçons de 15-19 ans ont déjà eu des rapports sexuels. Face aux «problèmes complexes» auxquels ils font face, tels les IST, les grossesses précoces, le VIH-SIDA, ils ont besoin d’ «encadrement». Direction dans laquelle l’UNFPA dit inscrire son action à travers le don remis au Minjec.
Barbara Sow, Représentante de l’Unfpa au Cameroun, le 27 octobre 2014 lors de la remise du don au Minjeccountryoffice.unfpa.org/cameroun)/n
La ville de Kye-Ossi dans le Sud du Cameroun a abrité hier, à une semaine de l’événement, le lancement des activités marquant la 42ème édition de la fête nationale de l’Unité du Cameroun
Pour la fête de l’Unité du Cameroun, célébrée chaque 20 mai, et encore appelée « fête des armées », il a été dévolu au ministre de la Jeunesse et de l’Education civique (Minjec), et non au ministre de la Défense, le lancement en continu des activités marquant la 42ème édition de cet événement. C’était hier, lundi 12 mai 2014, à Kye-Ossi, dans le département de la Vallée du Ntem, région du sud Cameroun. Bindoung Mkpatt a présidé la cérémonie en compagnie d’autres personnalités à l’instar du gouverneur de la région du Sud, Jules Marcellin Ndjaga ; du secrétaire général des Services du Premier ministre, Louis-Paul Motaze ; du ministre délégué auprès du ministre de l’Administration territoriale chargé des collectivités locales, Jules-Doret Ndongo et du ministre de l’Enseignement supérieur, Jacques Fame Ndongo.
La visite du Minjec dans la ville des trois frontières (car, permettant de rallier la Guinée Equatoriale ou le Gabon) a été le prélude à aux autres déplacements que Bidoung Mkpatt poursuit ces jours dans les régions du Sud-Ouest et du littoral. La 42ème fête nationale de l’Unité du Cameroun sera célébrée ce 20 mai 2014 sous le thème : « Armée et nation, en synergie pour la préservation de la paix et de la sécurité, gage de l’intégration, de la stabilité et du développement économique ». Elle donne toujours lieu à une grande parade militaire, à laquelle assiste le président de la République.
Défilé militaire au boulevard du 20 mai à Yaoundérdpcpdm.cm)/n
Bidoung Mpaktt a présidé une réunion ce mardi afin de tout peaufiner et faire les réajustements nécessaires
Le ministre de la Jeunesse et de l’éducation civique (MINJEC) Bidoung Mpkatt présidé ce 15 avril 2014 une réunion préparatoire au 20 mai. La rencontre a permis d’évaluer l’état d’avancement des travaux de toutes les commissions. Les questions relatives à l’implication des jeunes, la publication des listes des établissements défilants et la coordination des mouvements ont été soulevées durant la concertation. On est aussi revenu sur les volets communication, sécurité et santé. Et en ce qui concerne la commission communication, il a été révélé que les cartons d’invitation au défilé civil ainsi que 500 exemplaires de l’hymne nationale ont déjà été imprimés et attendent d’être distribués.
Cette année les activités seront lancées les 12, 14, 15 mai prochain respectivement à Kyé-Ossi dans le Sud, Kumba et Manoka dans le Sud-ouest. Le programme prévoit entre autres activités, une marche de l’Unité, le 15 mai dès 7h à travers 10 itinéraires dans la ville de Yaoundé, l’investissement humain, des remises de dons aux personnes défavorisées, la retraite au flambeau.
Les préparatifs du 20 mai 2014 vont bon trainpanafricain.com)/n