Yaoundé: plus de 280 personnes vulnérables reçoivent des dons du Cerac

Ladite organisation a remis, mercredi, des équipements informatiques, médicaments, aliments, produits hygiéniques, fournitures scolaires, etc, pour des personnes en détresse du Mfoundi

Les femmes du Cercle des amis du Cameroun (Cerac) ont procédé mercredi, 25 janvier 2017, à la remise des dons en faveur de 280 enfants en détresse, des jeunes et des personnes vulnérables du département du Mfoundi.

Les dons remis à l’esplanade de la mairie de Yaoundé IV à Ekounou étaient constitués, entre autres : des équipements informatiques, médicaments, aliments, produits hygiéniques, fournitures scolaires, matériels de cuisine, agricole, avicole, vêtements.

Au total, 280 enfants défavorisés issus de sept centres d’encadrement sociales ont reçu ces appuis. Ces centres bénéficiaires sont notamment l’Association des personnes handicapées «moteur» du Cameroun, l’Association Healthy Enveroment for Living, le foyer Saint Augustin de la communauté des filles et soeurs de Marie, l’Association l’éternel est mon berger, le foyer des soeurs Saint Dominique de Messamedongo, le foyer «les enfants du soleil» et celui des démunis de l’internat Saint Jean Bosco de la communauté des filles et soeurs de Marie de Nsimalen.

Aux bénéficiaires, madame Marguerite Mbella Mbella a indiqué que «Madame Chantal Biya m’a chargée de vous dire l’importance qu’elle accorde à votre bien-être et à votre épanouissement. Elle vous a envoyé ces dons pour augmenter vos chances, de pouvoir saisir les opportunités d’amélioration de vos conditions de vie.» Un geste salué par tous.

Le Cerac effectue ainsi sa première escale dans le Mfoundi pour le compte de l’année 2017. Madame Chantal Biya à travers le Cerac démontre une fois de plus sa générosité vis-à-vis des personnes en détresse. Ce don entre dans le volet diplomatique qui regroupe les épouses des Ambassadeurs et Hauts commissaires accrédités au Cameroun.

La cérémonie de remise de dons était présidée par madame Marguerite Mbella Mbella, coordonnatrice générale adjointe chargée du volet diplomatique du Cerac, représentante personnelle de madame Chantal Biya, première dame du Cameroun.

Le Cerac est une initiative lancée par la première Dame, Chantal Biya, présidente fondatrice du Cerac, ambassadrice de bonne volonté de l’Unesco, pour participer activement au développement du Cameroun en apportant des aides majeures aux populations les plus démunies.

Photo d’illustration
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Sérail: l’opération épervier divise le Cérac

L’épouse du chef de l’Etat face aux suppliques des épouses des prisonniers de l’opération épervier

Paris, 16 avril 2016. Lily, Faycal et Aïssatou, les trois enfants de Marafa Hamidou Yaya (incarcéré pour détournement de deniers publics) initient une campagne ayant pour objectif de faire pression sur le régime de Yaoundé pour la libération de leur père. La fratrie distribue des tracts aux passants, Place du Châtelet. Les documents (sortis par milliers des presses d’une imprimerie située au 67, Rue Dubois à Paris), traitent de l’injustice subie par leur géniteur. Une phrase du texte promet « un déballage sans fard » sur les démarches de leur mère auprès de la présidente fondatrice du Cercle des Amis du Cameroun (Cerac). Deux jours plus tard, Aïssatou (la deuxième fille de l’ex-secrétaire général à la présidence de la République) tonne sur les ondes d’une radio parisienne. « Notre mère a, depuis le 16 avril 2012 (date de la présentation de Marafa Hamidou Yaya à un juge d’instruction du Tribunal criminel spécial de Yaoundé) sollicité Chantal Biya pour dénoncer l’arbitraire qui entoure l’arrestation de mon père. Chantal Biya a choisi de s’éloigner des suppliques de notre mère. Vous comprenez pourquoi cette dernière, désabusée, est sortie du Cerac ! », Avoue-t-elle. Plus loin, elle lâche : « Ce silence de Chantal Biya a signé un appel en faveur des multiples démissions silencieuses enregistrées dans le Cerac ! »

Coups de pressions
A prendre les mots et leur sens, l’organisation que coiffe l’épouse du chef de l’Etat n’a pas joué le « bon rôle » dans le tourbillon judiciaire qui emporte quelques dignitaires de la République. « Malgré son poids, le Cerac ne parvient pas à articuler un discours convaincant, en lien avec les situations dans lesquelles se trouvent nos maris.Ce carburant manque cruellement au Cerac ! », affirmait Jeannette Marafa, le 27 juin 2015 sur le plateau de TV5 Afrique.

Du coup, le sentiment se fait jour que les départs constatés de Gladys Inoni (épouse de l’ex-Premier ministre Ephraïm Inoni), Marie-Brigitte Atangana Mebara (épouse de l’ex- secrétaire général à la présidence de la République), Rose Olanguena Awono(compagne de l’ex-ministre de la Santé Publique), Germaine Mendo Ze (épouse de l’ex-directeur général de la Cameroon Radio Television et auteur de ‘Mbamba Esaè’ dédié à Chantal Biya) insinuent le manque d’offre attractive du Cerac par rapport aux tourments de leurs maris, actuels des prisonniers de l’Epervier. Selon nos informations, le lobbying infructueux de ces dames auprès de Chantal Biya les a poussées volontairement vers la porte de sortie du Cerac. Et rendez-vous dans les cénacles privés. Où sont épinglés aussi bien les statuts que l’effroyable difficulté à bénéficier de certaines largesses.

A ce sujet, des indiscrétions soulignent qu’au moins deux parmi ces dernières auraient approché la première dame plus d’une fois tant à Yaoundé qu’à Mvomeka’a (ville natal du chef de l’Etat). A chaque fois, l’épouse de Paul Biya aurait répondu selon un axe classique : « Le Cerac n’est pas l’antichambre de la justice ». « C’est la vérité contenue dans cette phrase, glisse sous anonymat une figure tutélaire du Cerac à Yaoundé, qui a alimenté rancunes, ranc urs et désespoirs. Là, on peut croire que nos camarades d’hier se trompent de colère en démissionnant. Même si on peut les comprendre, cela ne craquelle pas le verni de l’union entre celles qui restent ».L’on rapporte que les requérantes venaient la main sur le c ur, la larmichette au coin de l’ il. A chaque fois qu’elles avaient la possibilité de soumettre leur « cas » à « Madame », elles corrigeaient çà et là une phrase maladroite prononcée lors d’une précédente entrevue.

Silence !
D’un point de vue factuel, ce « courant défait» ne quitte pas le « club des grandes dames du pays » après d’assourdissantes déflagrations. « Le Cerac vous prend quand vous venez et laisse quand vous décidez de partir pour une raison ou une autre. Un départ ne saurait s’inscrire sur le fronton d’une grande association. C’est ce que ces camarades ne comprennent pas », ironise une femme politique de la capitale. A comprendre ici qu’au sein du Cerac, tout l’enjeu consiste à ne pas faire du bruit sur des départs prévisibles. « Le tapis vers la porte de sortie est soigneusement déroulé en amont par nos textes », insiste une autre adhérente de l’organisation humanitaire. Reste qu’à un moment ou à un autre, certaines cadres dont les époux sont aujourd’hui emprisonnés ont bien tenté de faire monter une mobilisation en parallèle du cercle. A en croire un membre, l’opération Epervier a constitué une belle occasion pour cristalliser un vieux débat qui traverse chaque jour le Cerac.

Ce débat, apprend-on, porte sur la proximité ou non de l’association avec la sphère politique égard au profil de ses membres (selon Beatrix Verhoeven, auteure de « Chantal Biya, la passion de l’humanitaire, paru en 2008 aux éditions Khartala, « le Cerac est composé de femmes privilégiées : épouses des diplomates accrédités au Cameroun, femmes membres du gouvernement, épouses de membres du gouvernement, directrices générales de sociétés publiques et parapubliques, députées, secrétaires générales de ministères, juristes, médecins, éducatrices, femmes d’affaires»). « Beaucoup pensent que c’est un tremplin politique. C’est justement là l’origine du glissement entre la politique et la justice », assume une adhérente influente qui brandit le « caractère apolitique » du Cerac.


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Un nouveau bureau exécutif pour le Cercle des amis du Cameroun

Le bureau désigné a été installé mardi à Yaoundé sous la présidence de la coordinatrice générale, Linda Yang

Le nouveau bureau du Cercle des amis du Cameroun (Cerac) a pris fonction mardi, 29 décembre 2015, à Yaoundé à la suite d’une cérémonie d’installation que présidait la coordinatrice générale de l’association Linda Yang.

Ledit bureau est composé entre autres du cabinet de la présidente-fondatrice, Chantal Biya; des vices présidentes Marcie Niat, Fadimatou Cavaye, Françoise Amadou Ali; de la coordinatrice générale Linda Yang et ses adjointes; des membres d’honneur à savoir Gladys Inoni et Pierrette Hayatou ; de la secrétaire générale, Aïssa Motaze et ses adjointes et de la trésorière générale Nathalie Moudiki ; etc.

La cérémonie de mardi a été l’occasion pour Linda Yang de rappeler à tous les idéaux du Cerac, notamment l’amitié, la solidarité, l’engagement pour les plus démunis. Elle a par ailleurs invité les nouveaux responsables de l’association citée à prendre la pleine mesure des responsabilités qui leur sont confiées.


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Le Cerac offre des dons aux orphelins et personnes vulnérables

Quatre structures d’accueil et d’encadrement de ces personnes ont bénéficié des présents du Cercle des amis du Cameroun remis le mardi 12 mai 2015 à Yaoundé

Le Cerac a procédé mardi à une remise des dons à quatre structures d’accueil et d’encadrement de personnes vulnérables. Il s’agit notamment du Centre communautaire de l’enfance qui encadre des orphelins, enfants abandonnés ou en difficulté depuis 35 ans. 150 élèves y sont actuellement scolarisés, de la maternelle à la classe de terminale; du Centre des arts et métiers, sports pour handicapés créé depuis 1999; de l’Orphelinat Notre Dame de la miséricorde; et du Foyer-école colonel Daniel de Rouffignac pour aveugles, malvoyants et abandonnés qui uvre aux côtés de ces déshérités depuis 45 ans.

Cette cérémonie de remise de dons s’est tenue à l’hôtel de ville de Yaoundé sous la présidence de la coordinatrice générale adjoint chargée du volet diplomatique au Cerac, Michèle Moukoko Mbonjo, représentante de la première dame, Chantal Biya, présidente fondatrice de l’association.

Lits, matelas, draps, couvertures, téléviseurs, ordinateurs complets, réfrigérateurs, congélateurs, chaises, téléphones, cuisinières, moustiquaires, médicaments et autres produits alimentaires ont été offerts aux structures suscitées.

«Vous qui souffrez parfois de la stigmatisation à cause d’un handicap ou de votre statut social, sachez que vous bénéficiez du soutien de la première dame qui vous a envoyé des dons pour augmenter vos chances de réussir dans la vie», a déclaré Michèle Moukoko Mbonjo, à l’intention des orphelins et personnes vulnérables.

Au-delà des paquets remis par le volet diplomatique, Chantal Biya a offert un don spécial constitué d’une photocopieuse, d’un réfrigérateur et de deux congélateurs.

Dons du Cerac (Photo illustration)
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Ngaoundéré: Le Cerac sensibilise les jeunes sur le Vih/Sida, le choléra…

Le cercle des amis du Cameroun a rencontré les jeunes de la région il y a quelques jours. C’est Mme Aboubakar Aïssatou qui portait le message de la Première Dame

Sensibiliser les jeunes de l’Adamaoua sur le Vih/Sida, le choléra, le paludisme et la protection de l’environnement, tel est l’objectif du Cercle des Amis du Cameroun qui a séjourné dans la ville de Ngaoundéré. Le 08 février dernier, Mme Aboubakar Aïssatou, représentante personnelle de la première dame du Cameroun, Mme Chantal Biya, a présidé une séance des causeries éducatives avec les jeunes de la ville, et particulièrement les élèves du Lycée Classique et moderne de Ngaoundéré qui a abrité la rencontre. Dans son allocution à l’ouverture de la phase protocolaire des échanges, Ahmadou Dawa, Délégué du Gouvernement auprès de la communauté urbaine de Ngaoundéré n’a pas manqué de souligner l’importance de ce genre de rencontres, eu égard de la pauvreté et surtout de l’ignorance qui n’épargne pas cette région. Il se félicite et remercie la première dame du Cameroun pour cette initiative louable car selon lui « les initiatives de telles natures se distinguent par leur rareté dans cette partie du Cameroun ».

Les jeunes, principaux concernés, ont su apprécier ces assises de par leur participation et leurs interventions parfois tranchées. C’est le cas du discours tenu par la représentante des élèves qui s’est voulu directe à l’égard des responsables administratifs, et surtout de la représentante de Chantal Biyaet sa suite. La jeune fille a martelé la nécessité de permettre à cette jeunesse de prendre la relève et de lui offrir une éducation de qualité car estime t-elle, « éduquer l’enfant, c’est assurer l’avenir d’une nation ». Il est évident que les difficultés existent dans le domaine de l’éducation, et aussi de la sensibilisation sur les maux qui gangrènent cette couche sociale fragile en quête d’un avenir prometteur, mais face à tout cela, elle a également des responsabilités qui parfois sont sources de nombreux écarts sociaux. Le Délégué régional des enseignements secondaires pour l’Adamaoua Hama Adama Djarafou a interpellé non seulement les jeunes mais aussi, toute la société, à plus d’implication dans l’édification d’une nation saine. Il condamne les cas de déperdition scolaire, de violence et la consommation des stupéfiants dans les établissements. Selon le Délégué régional MINSEC-Adamaoua, la contamination des jeunes par les IST/SIDA découle du manque d’une éducation familiale de base. C’est à cet effet, que l’Unesco a procédé l’an dernier à la mise sur pied d’un programme d’assistance scolaire dans les établissements pilotes de la région. L’application de ce programme est basée sur l’utilisation des kits de projection vidéo pour la diffusion des microprogrammes sur les Ist/Sida. Il y a donc besoin d’intensification de sensibilisation sur ces différents maux auxquels sont exposés les jeunes avec un accent particulier sur la jeune fille. La représentante de Chantal Biya invite les jeunes et les élites politiques de la ville à « faire face aux défis du présent afin d’aborder l’avenir avec sérénité ».

Même si beaucoup d’efforts ont été consentis dans cette perspective, le chemin à parcourir reste encore long. Parmi les défis majeurs figurent en bonne place l’éducation et la protection de la nature, principaux obstacles à l’éclosion d’un corps sain dans un environnement sain. Le Cercle des Amis du Cameroun a procédé également à la remise d’importants matériels aux jeunes de la ville de Ngaoundéré. La visite du Cerac dans la région de l’Adamaoua s’est achevée le 9 février 2013 avec la remise de dons aux habitants du village de Idol situé à 60 km au Sud de Ngaoundéré.

Le Cerac sensibilise les jeunes de l’Adamaoua sur le Vih/Sida, le choléra et le paludisme
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Cameroun: L’école de Mayo Mbororo réhabilitée et équipée par le CERAC

Cela se passe à Tignère dans le département du Faro et Déo sous la conduite du Ministre Youssouf Hadidja Halim, représentante de la première dame

Dix salles de classe et six toilettes réhabilitées, un branchement électrique effectif, 100 tables bancs, du matériel de bureau, des fournitures scolaires, du matériel didactique, 55 actes de naissance établis aux enfants. Voilà, ce que contenait cet important don de matériel que vient d’effectuer le CERAC au département du Faro et Déo, région de l’Adamaoua. Un geste qui a été salué à sa juste valeur par les autorités administratives, politiques, religieuses et traditionnelles qui se sont données rendez-vous à l’école publique du Mayo Mbororo à Tignère. La communauté éducative représentée par la jeune Aïssatou Mounira a non seulement promis d’en faire un bon usage, mais aussi de redoubler d’ardeur au travail afin de mériter la confiance de la première dame du Cameroun.

Le don du CERAC ne s’est d’ailleurs pas limité aux élèves. Pour venir en appui au gouvernement dans sa politique de lutte contre la pauvreté, la donation s’est aussi étendue aux femmes rurales du Faro et Déo qui ont reçu des brouettes, des bottes, des arrosoirs, des machettes, des intrants agricoles. La délégation du CERAC forte de 35 femmes était conduite par le Ministre de l’éducation de base, Youssouf Hadidja Halim, présidente du collège des conseillères du CERAC, par ailleurs représentante de Mme Chantal Biya, la première dame du Cameroun et présidente fondatrice du CERAC.

Mme le ministre de l’éducation de base du Cameroun à Mayo Mbororo
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Pendant leur séjour de deux jours dans le Faro et Déo, les femmes du CERAC ont pu redonner le sourire aux populations de cette partie du pays. Pour témoigner leur gratitude à la première dame, les populations de ce département ont offert une grande fantasia à la délégation de Youssouf Hadidja Halim de la part du lamidat de Tignère. La soirée a été clôturée au centre de promotion de la femme et de la famille sur une «nuit du CERAC», au cours de laquelle un hommage bien mérité a été rendu à Mme Chantal Biya par des sketchs, des poèmes et des chansons.

Un batiment flambant neuf dans la localité de Mayo Mbororo
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