Une Assemblée générale constitutive de la Kikot Hydro Power Company (KHPC), l’entreprise chargée de la construction de ce nouveau barrage, s’est tenue le 25 septembre 2023 à Yaoundé.
Après les barrages hydroélectriques de Memvé’élé, de Nachtigal, toujours en construction, un autre barrage, potentiel le plus grand du pays, est annoncé Kikot, sur le fleuve Sanaga. Électricité de France (EDF), représentée par sa Senior Vice-Présidente Africa, Middle East et East Mediterranean, Valérie Levkov, et le gouvernement du Cameroun, représenté par le ministre des Finances, Louis Paul Motaze, ont signé, le 25 septembre à Yaoundé, le pacte d’actionnariat de la société Kikot Mbehe Hydro Power Company (KHPC).
Selon Stopblablacam, cette société, détenue à parts égales par les deux parties, a été créée pour gérer le projet de développement et de construction du barrage hydroélectrique de Kikot, un petit village de la commune de Nyanon, dans le département de la Sanaga-maritime, région du Littoral. Le projet de Kikot doit aboutir à la construction d’une infrastructure hydroélectrique capable de générer une puissance de 500 MW. S’il voit le jour, ce sera le plus grand barrage du genre, devant le barrage de Nachtigal en cours de construction, et qui est prévu pour produire 420 MW.
D’après Valérie Levkov, la vice-présidente chez EDF, l’avant-projet sommaire est terminé. Il contient la définition du design du barrage, de sa position et de la cote sur le fleuve (336 m), de sa puissance. Déjà terminé aussi, l’étude environnementale initiale. « Les populations locales ont été rencontrées, le dialogue est installé, le premier recensement fait. La faune et la flore ont été répertoriées sur une année complète, les espèces à protéger sont identifiées », fait-elle savoir. De plus, « un premier dialogue avec des prêteurs est établi, pour une future coopération sur le financement ». D’après certaines indiscrétions le projet est évalué à plus de 650 milliards de FCFA. La représentante d’EDF annonce le début des travaux pour la fin 2025.
Alamine Ousmane Mey, ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Amenagement du territoire (Minepat) a reçu en audience Valérie LEVKOV, Directrice Afrique, Moyen Orient et Méditerranée Orientale de EDF, accompagnée de Marlene BIESSY Directrice Générale de EDF Cameroun.
Un nouveau projet hydroélectrique à KIKOT dans le bassin de la Sanaga. EDF et le Cameroun travaillent en collaboration pour cette initiative. L’idée, selon le gouvernement c’est que, ce barrage soit un véritable pôle de développement, avec en amont une pratique intensive aquacole pour la valorisation du potentiel de la retenue d’eau et en aval, la mise en place d’agro-industries, tirant les opportunités d’irrigation offertes par le barrage.
Dans une démarche visant à faire de KIKOT un projet intégré, Alamine Ousmane Mey et ses deux hôtes ont noté la nécessité de bitumer la voie d’accès au site du projet, et de développer le réseau routier pour le désenclavement de la zone du barrage. Les parties se donnent pour objectif de mobiliser au profit du barrage de KIKOT, les ressources déjà très expérimentées qui travaillent actuellement à l’achèvement du barrage Hydroélectrique de Nachtigal.
En plus des échanges sur le barrage de Kikot, les deux parties ont revisité la coopération que le Cameroun entretient avec EDF dans le domaine de l’énergie. Une coopération qui se déploie dans le domaine des Partenariats Public Privé (PPP) identifiés dans la SND30 comme étant désormais la modalité privilégiée de réalisation des projets d’infrastructures. Cette coopération a déjà permis de lancer les travaux du barrage de Nachtigal dont l’achèvement est prévu en 2024.
Les autorités camerounaises et la Banque mondiale discutent actuellement de la possibilité de débloquer une enveloppe de 150 milliards F sur des besoins totaux estimés à 655 milliards F
Les autorités camerounaises et la Banque mondiale (BM) discutent actuellement de la possibilité, pour l’institution financière, de débloquer une enveloppe de 150 milliards FCFA pour la construction du barrage hydroélectrique de Nachtigal (Centre) sur des besoins totaux estimés à 655 milliards FCFA, apprend-ton de sources proches du dossier.
La mobilisation des fonds destinés à cet ouvrage, le plus important du pays avec 420 mégawatts attendus, avait pourtant été annoncée comme étant en bonne voie par le département de l’Eau et de l’Energie, qui en début d’année affirmait que 500 milliards FCFA étaient déjà disponibles, le début des travaux étant fixé à fin 2016.
Seulement, apprend-on, Electricité de France (EDF), actionnaire à 40% de l’infrastructure devant l’Etat du Cameroun (30%) et la Société financière internationale (30%), a vu ses bénéfices divisés par trois depuis peu, vu l’entrée dans son capital du chinois Areva NP et se montre de moins en moins enthousiaste sur ses engagements.
Selon les mêmes sources, les pourparlers entre le gouvernement et la BM portent sur les hypothèses de l’apport financier de l’institution de Bretton Woods dans le chantier, objet de la mise en place en juillet dernier de la société de projet dénommée Nachtigal Hydro Power Company (NHPC) et destinée à exploiter le barrage pendant 35 ans.
Selon le calendrier prévisionnel, le début des travaux du barrage devait intervenir en octobre dernier, pour une mise en service de la première machine au 1er semestre 2020 et une mise en service définitive un an plus tard.
L’estimation est venue de la commission d’évaluation, mise sur pied par les autorités camerounaises, dont les études permettront de préparer le décret d’indemnisation des populations concernées
La construction du barrage hydroélectrique de Natchigal dans la région du Centre sur le fleuve Sanaga pourrait avoir un impact sur la vie de près de 2000 riverains qui pourraient être contraints de s’éloigner de ce barrage qui devrait produire 420 Mégawats (MW).
Il s’agit là, d’une estimation faite par la Commission d’évaluation mise sur pied par les autorités, et dont les études serviront à la préparation du décret de classement et d’indemnisation des populations concernées.
En effet, 900 personnes affectées ont été recensées. Parmi elle, 200 seront touchées dès 2017, cinq ménages avec 19 personnes seront déplacés tandis que les déplacements économiques concerneront 856 cultivateurs, 117 pêcheurs et 83 mareyeuses.
Les surfaces cultivées impactées sont de 142 hectares (ha) pour la zone de barrage et de 120 ha pour ligne haute tension.
Pour mettre en uvre le barrage hydroélectrique de Nachtigal, une société anonyme de droit camerounais baptisée «Natchigal Hydro Power Company» (NHPC), a été créée le 7 juillet 2016.
Son capital est détenu à hauteur de 40 pour cent par Electricité de France, (EDF) International, 30 pour cent par l’Etat du Cameroun et 30 pour cent par la Société financière internationale (SFI).
La NHPC sera en charge de la construction de l’aménagement hydroélectrique, la dématérialisation des lignes hautes tensions d’évacuation d’énergie et de l’exploitation du barrage pendant 35 ans.
La mise en service de la première machine est prévue au premier semestre 2020 et celle de l’ensemble de l’infrastructure devrait intervenir au premier semestre 2021 pour plus de 600 milliards de FCFA d’investissement.
La structure en charge de la gestion du barrage de Natchigal a pour actionnaires, l’Etat du Cameroun, la Société financière internationale et Electricité de France
La Nachtigal Hydro Power Company (NHPC) a vu le jour. Le ministre de l’Eau et de l’énergie (Minee), Basile Atangana Kouna, a présidé le jeudi 07 juillet 2016 à Yaoundé, la cérémonie officielle de création de ladite structure.
La Nachtigal Hydro Power Company est une société anonyme détenue à 40% par l’Electricité de France (EDF), à 30% par l’Etat du Cameroun et 30% par la Société financière internationale (SFI-IFC). Elle va exploiter pendant 35 ans le barrage hydroélectrique de 420 MW en projet de construction sur le fleuve Nachtigal, sis en amont du Fleuve Sanaga.
La création de la NHPC permettra la levée de fonds d’un milliard d’euros soit plus de 656 milliards de FCFA nécessaire pour la réalisation du projet cité. Lequel consiste à la construction de la centrale et des lignes de transport de l’énergie.
Les travaux y afférent débuteront en octobre 2016 pour une mise en service à totale en 2021
Le Conseil de d’administration de la NPHC a été installé jeudi. Il est constitué de neuf membres, notamment un président en la personne de Jean Claude Ayem Moger, un directeur général, Olivier Flambard, et son adjoint, Pierre Edimo. L’instance a tenu sa première session ordinaire jeudi.
L’annonce est du chef du projet Natchigal, Olivier Flambart, qui a indiqué que la société française continue de travailler avec ses partenaires pour la décision finale d’investissement
L’annonce du groupe Electricité de France (EDF), relative à une réduction d’environ 1 310 milliards de FCFA (deux milliards d’euros) sur ses investissements ne devrait pas engager la construction du barrage hydroélectrique de Natchigal-amont, dans la région du Centre. C’est ce qu’a indiqué le chef du projet Natchigal, Olivier Flambart, cité dans le quotidien public ce jeudi 28 avril 2016. «Le plan d’action annoncé vendredi (22 avril 2016, ndlr) par EDF vise à sécuriser sa trajectoire financière et à lui permettre d’investir dans des projets compétitifs et bas carbone. A cet égard, le projet Natchigal-amont au Cameroun a pour EDF toute sa pertinence et son importance, et EDF continue de travailler avec ses partenaires, le gouvernement du Cameroun et la Société financière internationale (SFI), en vue de la décision finale d’investissement».
La réduction des investissements annoncée par EDF a pour objectif d’améliorer la situation financière du groupe en augmentant son capital social d’environ 2 620 milliards de FCFA (quatre milliards d’Euros). En attendant, la société et ses partenaires vont procéder dans les prochains jours au recrutement des entreprises chargées de mener les travaux de construction du Barrage de Natchigal.
Les 12 entreprises pré-qualifiées, originaires d’Allemagne, de l’Autriche, de l’Espagne, de la France, du Japon, du Maroc, et du Cameroun ont jusqu’au 30 juin 2016 pour déposer leurs offres au siège du projet sis à Yaoundé.
Les entreprises sélectionnées s’occuperont, entre autres, du terrassement, du génie civil, des équipements des ouvrages d’amont, du canal d’amenée et de la centrale, des ouvrages d’aval, des lignes électriques d’évacuation.
Il s’agit d’une sélection menée conjointement par l’Etat du Cameroun et la firme australo-canadienne Rio Tinto Alcan, la Société financière internationale (SFI) et Electricité de France (EDF)
Douze entreprises étrangères et nationales ont été pré-qualifiées pour la mise en uvre du projet hydroélectrique de Nachtigal dans la région du Centre, suite à l’appel à manifestation lancé en début d’année par le gouvernement camerounais.
Il s’agit d’une sélection menée conjointement par l’Etat du Cameroun et la firme australo-canadienne Rio Tinto Alcan, la Société financière internationale (SFI) et Electricité de France (EDF) qui intervient près de deux ans après la signature de la convention de construction de cette infrastructure énergétique.
Les douze entreprises et groupements pré-qualifiés pour la réalisation de quatre lots viennent de l’Allemagne, de l’Autriche, de l’Espagne, de la France, du Japon et du Maroc, ainsi que des sociétés camerounaises.
Dans les prochains mois, la liste des groupements retenus sera arrêtée, ouvrant la voie au début effectif des travaux dès janvier 2016.
Des travaux qui comprennent notamment, les terrassements généraux, les ouvrages aval, la construction et l’équipement de la centrale ainsi que la construction des lignes électriques d’évacuation.
La construction du barrage hydroélectrique de Nachtigal qui devra coûter 400 milliards de francs CFA pour une capacité de production de 420 Mégawatts (MW) permettra au Cameroun d’augmenter sa capacité installée qui tourne actuellement autour de 1200 MW sur une demande de 3000 MW environ.
Par Jean Baudelaire Belengue, Secrétaire général adjoint du RACE
«. Rio Tinto Alcan a fait connaître au gouvernement du Cameroun ainsi qu’au Conseil d’administration du groupe Alucam, sa décision de quitter l’actionnariat du groupe Alucam au 31 décembre 2014. Nous sommes fiers de notre participation dans le groupe Alucam au cours des dernières décennies. Toutefois il est clair que la pérennité du groupe Alucam repose sur un plan d’affaires qui ne rencontre plus les priorités stratégiques de Rio Tinto Alcan ». Contre toute attente, c’est par ce communiqué laconique que le groupe minier anglo-australien Rio Tinto Alcan a annoncé le 08 octobre 2014, sa ferme intention de quitter le pacte actionnarial dans la compagnie camerounaise d’aluminium (Alucam). Signalons qu’Alucam – unique aluminerie du Cameroun depuis 1958 – est aujourd’hui détenue à part égale par Rio Tinto Alcan et le gouvernement du Cameroun à hauteur de 46,67% chacun. Le reste étant partagé entre l’Agence française de développement (5,6%) et le personnel (1,1%).
Même si cela n’est pas explicitement dit, une analyse objective de l’actualité récente de secteur de l’énergie électrique laisse entrevoir une explication plausible à cette soudaine décision de Rio Tinto Alcan. Ce départ précipité semble être indirectement lié à la signature le 10 juillet 2014, d’un accord entre l’opérateur d’électricité français EDF (Electricité de France) et le gouvernement camerounais, pour la construction de la centrale hydroélectrique de Nachtigal dans la région du Centre. En effet, la réalisation de ce barrage qui sera presqu’entièrement dédié à l’extension de la société Alucam – qui souhaite tripler sa production de 90000 à 300000 tonnes dans un futur proche – a été attribuée à EDF. Cette convention cède effectivement tous les droits pour le développement de ce projet à l’opérateur français, ainsi que la construction d’une portion de ligne de transport d’énergie électrique de 225 KV longue de 50 kilomètres.
D’une capacité de production de 420 MW (soit près de 20% de la production nationale d’électricité), cette centrale, qui sera opérationnelle à partir de 2019 et dont la réalisation était initialement confiée à Alucam, coûtera environ 400 milliards Fcfa. Son financement sera conjointement assuré dans les proportions suivantes : EDF 40%, la Société financière internationale (SFI) 34% et l’Etat du Cameroun 26%.
L’exécution de cet ouvrage par EDF au détriment d’Alucam n’est certainement pas étrangère à cette décision du groupe Rio Tinto Alcan de quitter le Cameroun. Il ne peut en être autrement lorsqu’on connait les intentions que nourrissait, il y a à peine 05 ans encore, ce géant de l’industrie mondiale de l’aluminium pour notre pays. A ce propos voici ce qu’écrivait le magazine Jeune Afrique le 05 août 2009 : «.Le groupe Rio Tinto Alcan va investir, à partir de 2011, 5,5 milliards de dollars (2†500 milliards de F CFA) dans trois grands projets au Cameroun, selon une convention signée le 29 juillet 2009 à Yaoundé avec le gouvernement. Le premier projet concerne la construction d’un barrage hydroélectrique d’une capacité de 930 MW à Song Mbengue, près de la ville d’Edea. Le deuxième consiste à réaliser une usine de production d’aluminium à Kribi d’une capacité de 400†000 tonnes. Le groupe participera aussi au développement du futur port en eau profonde de Kribi. Selon Jean-Philippe Puig, le président du groupe pour l’Europe, l’Afrique et le Moyen-Orient, cet important investissement démarrera fin 2011 pour un début d’exploitation prévu en 2016. 30†000 emplois seront créés durant la construction et 5†000 pour l’exploitation ». Le brusque abandon de cet ambitieux programme d’investissement ne peut qu’être la résultante d’une discorde entre l’Etat du Cameroun et son partenaire, qui ne supporte pas d’avoir été dessaisi de la réalisation de cette importante infrastructure énergétique.
Sans être exactement dans la même configuration, le seul précédent comparable à cette actualité alambiquée est la décision souveraine prise par l’Etat en 2011, de retirer de fait de la concession du 18 juillet 2001 – à travers la nouvelle loi N°2011/022 du 14 décembre 2011 régissant le secteur de l’électricité – l’activité du transport et la future création par l’article 23 d’une entité publique Grt (Gestionnaire du réseau transport). Cet acte régalien des pouvoirs publics a été l’une des raisons inavouées du départ anticipé du Cameroun du groupe américain AES Corporation et la cession de ces actifs dans toutes ses filiales camerounaises au profit du fonds britannique ACTIS.
Nous rappelons qu’avant la construction et la mise en service il y a un peu plus de 02 ans de la centrale à gaz de Kribi (216 MW extensible à 336 MW) – dont la production énergétique lui est également en grande partie dédiée – la société Alucam représentait à elle seule entre 40 et 50% de la consommation d’électricité produite au Cameroun.
Quoiqu’il en soit, au RACE (Réseau Associatif des Consommateur de l’Energie), nous espérons que cet imbroglio aux allures d’une querelle d’intérêts industriels, ne va pas plonger le secteur de l’énergie électrique dans une nouvelle zone de turbulences et d’incertitudes.
L’accès à l’énergie est un droit essentiel et inaliénable!
Fait à Douala, le 12 octobre 2014
Pour le Bureau Exécutif du RACE, Jean Baudelaire Belengue, Secrétaire général adjoint
Elle devra transférer de l’eau du barrage de Lom Pangar à l’Est, vers le site de Nachtigal à Edéa. Objectif: intensifier la production d’aluminium
Electricité de France a reçu le feu vert des autorités camerounaises pour la construction d’une centrale hydroélectrique qui permettra au pays de tripler sa production d’aluminium, a déclaré lundi le ministre camerounais de l’Eau et de l’Energie.
EDF produira 420 mégawatts d’électricité d’ici à 2019, a déclaré Basile Atangana Kouna. Le ministre camerounais et Edouard Dahomé, Directeur Afrique et Accès à l’Energie d’EDF, ont conclu un accord jeudi.
La petite ville d’Edéa, située à quelque 200 kilomètres au sud-ouest de Yaoundé, abrite l’un des principaux centres de production d’électricité du pays et la seule usine d’aluminium (La Compagnie camerounaise d’aluminium, Alucam) gérée par le gouvernement, dont la production est passée de 90.000 tonnes à environ 60.000 tonnes en raison d’un approvisionnement insuffisant en électricité. La quasi totalité de l’aluminium du Cameroun est exporté vers la France.
EDF devra transférer de l’eau du barrage hydroélectrique de Lom Pangar, en cours de construction dans l’est du pays, vers le site de Nachtigal à Edea, où l’entreprise française va construire sa nouvelle centrale.
« Le principal objectif de ce contrat est d’augmenter l’approvisionnement en énergie des entreprises et d’augmenter la production d’aluminium à 300.000 tonnes par an », a déclaré Atangana Kouna.
Il est prévu que le barrage de Lom Pangar contienne 7,25 kilomètres cubes d’eau et produise jusqu’à 1.192 mégawatts d’électricité dans différentes parties du pays d’ici à 2018. Au 17 mai 2014, le barrage hydroélectrique de Lom Pangar était déjà réalisé à 50%. Il prévoit dans sa globalité, la construction d’un barrage de retenue (de 6 milliards de m3 d’eau), d’une centrale hydroélectrique au pied du barrage, et d’une ligne électrique de transport de l’énergie pour l’électrification de la région de l’Est.
La centrale construite par EDF permettra d’améliorer l’alimentation en énergie de l’usine de production d’aluminium d’Edéaapvf.asso.fr)/n