L’acte est commis à l’école CEBEC de Njimbam, département du Noun, région de l’Ouest le mercredi 28 septembre 2022.
La crainte et l’inquiétude ont envahi la communauté éducative de la ville de Foumbot le mercredi 28 septembre 2022. Un élève du Cours moyen première année à l’école CEBEC a failli transformer une salle de classe en une case de lamentations. Selon les témoignages, sur commission de son enseignante, l’élève a acheté des bonbons dans une boutique située non loin de l’établissement scolaire. Durant le cours, l’institutrice aura sucé le bonbon et partagé à aux élèves qui répondaient bien aux questions.
Mais, la réaction ne va pas tarder. 12 élèves et l’enseignante présentent des malaises. « Les maux de ventre ne se sont pas faits attendre, les pleurs et cris ont suivi. Ils sont vite internés à l’hôpital pour une prise en charge », informe le journal la gazette du Noun via le réseau social Facebook. Dans la formation sanitaire, ils subissent une cure de désintoxication. Les résultats des analyses permettent de découvrir un empoisonnement au raticide.
Selon le personnel médical, la prise en charge rapide a permis d’écarter le danger. Aucun pronostic vital n’est engagé. Seulement, pour des raisons d’enquête, l’élève qui a acheté des bonbons, présumé auteur de l’empoisonnement, a été placé en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Foumbot.
Deux filles et 3 garçons, tous fils du nommé Alamba, planteur domicilié au village Djemba, qui sont passés de vie à trépas hier soir de suite d’un empoisonnement après avoir consommé du pain au chocolat qui, les serait offert par un ex beau-frère.
L’image fait le tour des réseaux sociaux. Une nouvelle affaire de poison. 5 enfants ont perdu la vie des suites d’empoisonnement. Selon les messages sur la toile, « l’empoisonneur » tue les enfants après que la famille ne lui ai pas accordé la main de celle sur qui, il a « dépensé ».
« Après avoir découvert qu’elle le trompait avec un autre, il décide de passer à l’acte et de terminer avec les jours de ces derniers. Il va leur donner du pain empoisonné ».
Pour sa défense, il a dit avoir trop investi dans cette relation mais la famille de la fille a catégoriquement refusé qu’il l’épouse. Celui-ci se celui-ci se serait donc vengé.
L’autorité administrative informée de la situation ce matin, est descendue au lieu du drame pour s’enquérir de la déplorable situation et ouvrir une enquête afin que le présumé coupable, répondre de ses actes devant le président de tribunal.
Elle a été placée en garde à vue mardi à la brigade de gendarmerie de Nkolouloun.
La nommée Adama a passé sa première nuit en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Nkolouloun, dans la ville de Douala (région du Littoral du Cameroun). Elle y a été conduite hier, mardi 17 avril 2018, après avoir essuyé les youyous des populations de son quartier, Newton Aéroport.
La jeune dame est soupçonnée d’avoir tué son époux. Celui-ci a été conduit à l’hôpital pour de violents maux de ventre après avoir mangé un repas servi par Adama. Il en est mort quelques heures plus tard. Ce décès aurait semblé banal si le chat de la maisonnée n’était pas mort lui aussi. Le chef de cette famille aurait nourri l’animal lorsqu’il mangeait. Ce qui a fait peser des soupçons d’empoisonnement dudit repas sur Adama.
Le domicile du défunt a été pris d’assaut par une foule nombreuse, qui comptait en découdre avec la veuve. Seule l’intervention des gendarmes a permis à Adama d’échapper à la vindicte populaire. Elle a été sortie de sa maison, le visage couvert par un pagne.
Selon certains témoignages, avant ce drame, le couple traversait une période de crise.
D’autres sources affirment qu’il serait victime d’un empoisonnement
André Mba Obame est malade. Victime d’une «sciatique paralysante et hyperalgique», l’état de santé de l’opposant André Mba Obame nécessite une évacuation sanitaire à l’étranger en vue de le faire soigner dans une structure médicale spécialisée. Une requête a été introduite à cet effet par son avocat auprès du Procureur de la République. Sa situation politique n’est cependant pas meilleure: Pour s’être autoproclamé président élu du Gabon, l’homme est sujet à une poursuite judiciaire qui a déjà conduit à la levée de son immunité parlementaire le 5 mai dernier. Examiné par un neurologue, le 13 mai 2011, l’opposant André Mba Obame a été soumis d’urgence à un IRM (Imagerie par Résonance Magnétique). Réalisée le lendemain à la Polyclinique El Rapha de Libreville, cet examen médical, qui étudie avec une grande précision de nombreux organes tels que le cerveau, la colonne vertébrale, les articulations et les tissus mous, a «mis en évidence la présence d’une hernie discale postéro-latérale qui a entrainé une sciatique paralysante et hyperalgique. Le traitement de cette pathologie est chirurgical», selon le rapport lu dans la presse le lundi 30 mai au domicile d’André Mba Obame par un cadre de l’Union nationale (UN).
Selon son médecin personnel, André Mba Obame a été empoisonné, a déclaré lundi 30 mai au soir un proche conseiller de l’opposant gabonais. Souffrant de fortes douleurs, André Mba Obame pensait jusque là être atteint d’une sciatique, que lui avaient diagnostiquée les médecins d’une clinique de Libreville. Cependant, son médecin personnel aurait décelé des signes d’empoisonnement nécessitant son évacuation sanitaire à l’étranger d’urgence. Si les autorités ne le laissent pas s’en aller, il partira clandestinement vers l’Afrique du sud ou la France, nous a affirmé son conseiller. On a pu lire en effet sur le rapport que M. Mba Obame, 54 ans, qui a des antécédents de diabète depuis 2004 et de lombalgie chronique depuis 1994, a été examiné pour douleur lombaire avec irradiation dans le territoire du sciatique poplité externe droit et impotence fonctionnelle. Le document médical conclue que les douleurs sont de plus en plus invalidantes et insomniantes avec aggravation de l’impotence fonctionnelle confinant le patient au fauteuil (.) Au total: Il s’agit d’une sciatique L5 paralysante et hyperalgique. On se souvient en effet que dans la nuit du 19 au 20 mai, lors de l’arrivée du procureur adjoint de la République, Mme Sidonie-Flore Ouwé, au domicile d’André Mba Obame où quatre personnes suspectées avaient été arrêtés par les partisans de l’opposant, celui-ci se déplaçait sur une chaise roulante.
Me Lubin Ntoutoume, avocat du président autoproclamé du Gabon, a introduit, dans la deuxième semaine du mois de mai, une requête auprès du Procureur de la République visant à obtenir l’autorisation de laisser partir son client à l’étranger pour se faire soigner dans une structure spécialisée. A ce jour, la requête n’a pas encore reçu de réponse. L’avocat de l’opposant qui précise qu’il s’agit là d’un «problème de responsabilité», semble optimiste. Certains pensent déjà que, notamment l’hebdomadaire «La Griffe» qui a écrit quelque chose de similaire sans invoquer les raisons de santé, qu’André Mba Obame envisage de s’évader du Gabon pour se soustraire à la procédure judiciaire engagée contre lui. Le pays, notamment sa machine judiciaire, est en tous cas confronté à un véritable problème de droit de l’homme. Le cas d’Ange-Félix Patassé, empêché de sortir de la Centrafrique pour aller se soigner à Malabo en Guinée équatoriale, va-t-il faire école ? De toute façon, en ce moment, monsieur André Mba Obame est uniquement sous traitement palliatif par antalgiques et anti-inflammatoires.
André Mba Obame serait victime d’une «sciatique paralysante et hyperalgique»Google images)/n