Cameroun : Samuel Eto’o derrière I’interpellation de Parfait Siki

L’ancien secrétaire général de la Fécafoot est placé en garde à vue depuis le 26 octobre 2022, par la police judiciaire.

 

Il fut responsable de la communication de la Fécafoot sous Seidou Mbombo Njoya. Il a, par la suite, occupé le poste de secrétaire général par intérim de la fédération jusqu’à l’arrivée de Samuel Eto’o à la tête de cette instance. Deux mois après la prise de fonction de Samuel Eto’o, Parfait Siki déposa sa lettre de démission.

 

Quelques mois plus tard, comme le rapporte le journal Le jourSamuel Eto’o Fils accuse Parfait Siki, d’avoir gardé en sa possession les procès-verbaux d’une centaine de réunions du comité exécutif de la Fécafoot. Une raison qui a motivé sa convocation le 26 octobre à la direction de la police judiciaire. Ce qui a conduit à sa garde à vue.

Alors qu’il est accusé de « possession d’un document pour le falsifier », Guibai Gatama, membre exclu du comité exécutif de la Fécafoot, affirme selon le journal Haman Mana, « il est évident que ladite réunion n’a jamais eu lieu ». 

Voici les 76 électeurs du nouveau président la Fécafoot

Plus que quelques heures et la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), connaitra  le nom du nouveau dirigeant de cette institution.

 

 

 

Le collège électoral appelé à élire le prochain président de la Fécafoot est connu depuis le 08 novembre dernier. C’est un ensemble de soixante-seize délégués attendus le 11 décembre 2021, jour de l’Assemblée générale élective.

Cette assemblée générale est constituée de 60 délégués élus dans les dix ligues régionales, de 10 délégués des clubs professionnels (six d’Elite 1 et quatre d’Elite 2) et des délégués des corps de métiers avec à chaque fois deux représentants. Notons que ces corps de métier ne sont rien d’autres que l’Association camerounaise des arbitres de football (Acaf ), l’Association camerounaise des entraîneurs et des éducateurs de football (Aceef) et le Syndicat national des footballeurs du Cameroun (Synafoc).

Bon à savoir, certains  candidats tels que Samuel Eto’o, Seïdou Mbombo Njoya, et Jules Denis Onana sont à la base délégués élus à la base.

Ci-dessous la liste complète des 76 électeurs

Délégués des ligues régionales

Région de l’Adamaoua

  1. M. ABBO MOHAMADOU
  2. M. ABOUBAKAR SIDDIKI
  3. M. CHERARAOU SOULEY
  4. M. OUMAROU SANDA FAROUCK
  5. M. OUSMANOU SALI
  6. M. YAYA ISA JACOBIN

Région du Centre

  1. BAPOOH LIPOT ROBERT
  2. EDZOGO GUILLAUME CYRIAQUE
  3. NANA GILBERT
  4. NYASSA NYASSA ROGER
  5. YOKI ONANA JACQUES
  6. M.ZANG LEON AIME

 Région de l’Est

  1. M. ANGAYE NKOAL GHISLAIN RODRIGUE
  2. M. DJAMPIR ARTHUR BEBER
  3. M. ETSIL SIMON GHISLAIN
  4. M. MABAYA BRICE
  5. M. OYAL CHARMANT
  6. M. WADJIRE DOUKA

Région Extrême-Nord

  1. M. HOURAKARI BELLO
  2. GARBA MAHAMAT
  3. M. GUIBAI GATAMA
  4. M. OUMAR BICHAIR
  5. M. OUMAROU
  6. M. YOUSSOUFA

 Région du Littoral

  1. M. BLONGO KINGUE SAMUEL.
  2. M. ETO’O FILS SAMUEL
  3. M. FOKO KAMGA STEPHANE
  4. M. MBBKEK ROBERT LOUIS
  5. M. MONGUE NYAMSI DANIEL
  6. M. NGANGUE TIMBA NOB

 Région du Nord

  1. M. ABOUBAKAR ALIM KONAT
  2. M. ISSA BASSORO
  3. M. MOHAMADOU
  4. M. MOHAMADOU DJOULDE
  5. M, SADOU YAOUBA
  6. Mme. YVONNE ASTA

Région du Nord-Ouest

  1. M. AGHO OLIVIER BAMEJU
  2. M. BLAISE YOYE
  3. M. FAI SALE SHULIKA
  4. Mme FOMUN VICTORINE AGUIM
  5. M. MBIGHA NJAH FELIX
  6. M SOH TCHEJAJOUO MAGLOIRE SIMPLIS

 Région de l’Ouest

  1. M. BOUADEU AGUSTIN
  2. M. KOUEDEM FRANÇOIS
  3. M. MBOMBO SEIDOU NCHOUWAT NJOYA
  4. M. NSANGOU NKOMA MOHAMMA
  5. M. SOMEU HENRI
  6. M. TANGNY ZIADA EMMANUEL

Région du Sud

  1. Mme EKO MENDOMO CELINE
  2. M. IBRAHIMA
  3. M. MONEBOULOU M. SERGES
  4. M. ONDOUA ALAIN G.
  5. MM TCHENTYO ALEX GLENN
  6. M. TCHOUNDE LOUIS

 Région du Sud-Ouest

  1. M. ESSA PUS TABT
  2. M. FELIX TABE TABE
  3. M. HENRY NJALLA QUAN JUNIOR
  4. M. KHAR NANGOH CHARLES
  5. M. MOTANGA ANDRE MONJIMBA
  6. M. NJOMU JONAS BLAISE

II- Délégués des clubs professionnels

Elite One (1ère division)

  1. M. ABUNDE SHU PASCAL
  2. M. ESSIANE ANDRE NOEL
  3. M. XAMDEM INNOCENT
  4. Mme KWEMO SAFIA
  5. M. KOME MAX GEROME
  6. Mme MANGUELE THERESE PAULINE

Elite two (2eme Division)

  1. M. GASPARD ALEXANDRE OWONA 2. M. KUATCHE ANDRE MARIE JOSEPH
  2. M. NKOU MVONDO PROSPER
  3. M. TITA EMMANUEL.

Délégués des corps de métier

Association camerounaise des arbitres de football (ACAF)

  1. M. YAKAM GILBERT
  2. M. NGANDO PETER

Association des entraîneurs et éducateurs de football (ACEEF):

  1. M. KAHAM MICHEL.
  2. M. MAHI MAIRE JACQUES

C- Syndicat national des footballeurs du Cameroun

  1. M. JAMA MBA ROBERT
  2. M. ONANA JULES DENIS

Eto’o remporte le match des alliances entre candidats

Jusqu’à la veille des élections du 11 décembre, les candidats mobilisent les forces extérieures pour les soutenir. Dans ce match qui privilégie les joueurs d’une certaine renommée, Samuel Eto’o Fils et Seidou Mbombo Njoya font figure de favoris.

Depuis quelques semaines, les candidats à la présidence de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) brillent dans le jeu des alliances. Dans cette partie, Samuel Eto’o Fils et Seidou Mbombo Njoya transpirent jusqu’à la dernière minute. Les autres candidats Zacharie Wandja et Jules Denis Onana multiplient des sorties sur les plateaux TV. Objectif, décrocher les meilleurs soutiens pouvant influencer le résultat des urnes. A cet effet, acteurs sportifs, hommes politiques, hommes d’affaires et autres personnalités influentes sont appelés en renfort.

Rapprochement avec les acteurs sportifs

 Au plan national, Samuel Eto’o fils s’appuie sur ses collègues footballeurs. Le quadruple ballon d’or African obtient le ralliement de deux de ses opposants. Il s’agit de l’ancien Lion Maboang Kessack sous l’égide du Syndicat national des footballeurs camerounais (Synafoc). Justin Tagouh, ancien président de Bamboutos de Mbouda et Crépin Nyamsi se sont également alliés à la cause du «Pitchichi». Jusles Denis Onana refuse de faire chorus avec les footballeurs et maintient sa candidature.

Seidou Mbombo Njoya s’appuie sur des délégués régionaux de l’Ouest, de l’Extrême-Nord, du Sud-Ouest, de l’Adamaoua, du Nord, du Centre. Des personnes qui font partie du collège électoral. A celles-ci s’ajoutent les membres des corps de métiers tels que les arbitres Ngando Peter et Yakam Gilbert. En réfutant le poste de premier vice-président de la FECAFOOT sur proposition du président sortant, Samuel Eto’o a dénoncé le potentiel soutien de la FIFA en faveur du fils de feu Ibrahim Mbombo Njoya, 19è roi des Bamoun.

Soutiens politiques et divers

Au début du mois de novembre dernier, les images relayées sur les réseaux sociaux dévoilent les manœuvres des vestiaires. Une photo montre Seidou Mbombo Njoya discutant avec Franck Biya lors de sa visite rendue à Nabil Mbombo Njoya, 20è roi de la dynastie bamoun. Une certaine harmonie entre deux familles qui tiennent le pouvoir au Cameroun.

Les jours suivants, une autre image présente Samuel Eto’o aux côtés du ministre, directeur du Cabinet civil de la présidence de la République, Samuel Mvondo Ayolo. Les deux Samuel apparaissent souriants sur la photo. Pour rappel, en 2018, l’ancien capitaine des Lions déclare au Palais de l’Unité son soutien en faveur de la candidature Paul Biya à la présidentielle. Il attend sans doute un retour sur investissement.

Ce que proposent les quatre candidats pour l’avenir du foot

A quelques heures de l’élection à la présidence de l’instance faitière du football camerounais, Journal du Cameroun présente des candidats. Également l’exquise des différents programmes.

Tous les candidats sont unanimes, le football camerounais se porte mal. « Il y’a urgence à lui apporter une thérapie de choc aussi nécessaire, urgente que appropriée », pense Jules Denis Onana, ancien Lion indomptable. Pour l’ancien défenseur de Canon de Yaoundé, aujourd’hui âgé de 57 ans, il est hors de question de fédérer les énergies avec un autre candidat. Il  évoque ses capacités d’animateur, de manager, d’administrateur, d’éducateur dans son programme.

Le projet du candidat Jules Denis Onana s’articule en trois grands points : « Réorganisation-Structuration-Communication ». C’est sur ce triptyque qu’il entend ressusciter le football camerounais et laisser aux générations avenirs un label, à l’image des stades nouvellement acquis.  « Je mettrai tout en œuvre pour réorganiser tout l’écosystème du football camerounais pour le moderniser et le redynamiser », soutient-il.

Quant à Samuel Eto’o et Seidou Mbombo Njoya, deux anciens alliés, ils ont deux profils et des projets un peu différents. Quelques points d’imbrication dans les programmes des deux candidats tout de même. Les deux hommes sont dans une logique de modernisation du football camerounais. Sauf que le premier cité, Samuel Eto’o, 40 ans, est pour une gestion transparente. Il a d’ailleurs introduit des requêtes pour l’annulation de la candidature de Seidou Mbombo Njoya, pour une affaire de corruption. L’ancien footballeur entend renoncer au salaire de président.

Cet argent sera reversé pour le développement du football amateur. Samuel Eto’o veut restaurer : « le projet signature d’une convention entre la CNPS et la Fecafoot en vue de la protection des joueurs, entraîneurs et arbitres professionnels. » L’ancien capitaine des Lions, annonce enfin la mise en place une DTN adjoint, chargée du football féminin … pour apprêter les futures victoires des Lonnes.

Si Samuel Eto’o est pour rupture, son principal challenger Seidou Mbombo Njoya prône la continuité. Le président intérimaire sortant et candidat à sa propre succession ne lâche pas les ficelles. Le 4e vice-président de la CAF veut continuer son bonhomme de chemin. Notamment, finaliser le chantier de construction du siège de la Fecafoot, poursuivre la reconstruction du football camerounais amorcée le 12 décembre 2018. Et redorer le blason de la Fecafoot en vue d’affirmer le leadership continental du Cameroun en matière de football.

« La Fecafoot recèle donc une incommensurable responsabilité républicaine telle qu’elle laisse peu de place au manque d’expérience et à l’aventure. Dans le respect de nos challengers, pour notre pays et pour ceux qui croient en nous, nous poursuivrons la reconstruction du football camerounais », conclut cet homme de 60 ans. Enfin, très peu de choses ont filtré sur le programme du candidat, Zakaria Wandja.

Les délégués tiennent entre leurs mains le sort du football camerounais

Ils vont voter ce 11 décembre 2021 le « médecin » d’une association malade de sa gestion et de ses hommes. Dans l’isoloir ils devront choisir l’un ou l’autre candidat, sans peut-être tenir compte des promesses (fantaisistes) faites et de la clameur populaire qui entoure cette élection pleine d’enjeux.

Jamais des élections à la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) n’ont suscité autant de passions enflammées. La candidature de Samuel Eto’o y est, à première vue,  la raison principale. La méga star du football mondial en compétition sur un front différent qu’un stade de football où ses exploits restent frais dans les mémoires des fans soucieux l’accompagner dans cette reconversion.

Les 76 délégués à l’Assemblée générale doivent choisir entre Samuel, Seïdou Mbombo Njoya, Zacharie Wandja ou Jules Denis Onana. L’un de ces quatre doit présider aux destinées du football camerounais dans un contexte particulier de son histoire.

A l’horizon se profile la Coupe d’Afrique des nations de football. Compétition sportive la plus huppée du continent dont le Cameroun veut remporter le double challenge organisationnel et sportif. Ces défis aiguisent les appétits des candidats à la présidence de la Fécafoot, mais aussi du public qui veut voir le pays rayonner,  soulever son sixième trophée au soir du 06 février 2022. Pour un cocktail historique.

Les 76 délégués à l’Assemblée générale de la Fécafoot savent que ce mandat se veut historique. Les stades de haut standing construits pour la CAN doivent définitivement changer le visage des championnats amateurs et professionnels. Dans une organisation bien ficelée, le retour du public dans les stades devrait être évident, sous un air de renaissance marqué par l’entrée en scène du  football business.

Par ailleurs, et l’on se saurait l’éluder, ce mandat va s’achever en 2025, année de l’élection présidentielle au Cameroun. Le football étant considéré comme l’opium du peuple, l’état de pratique de la discipline à  l’intérieur du pays et les résultats des sélections nationales à ce moment, pourraient avoir un impact sur  le climat sociopolitique. Le discours politique qualifie très souvent  le sport,  en l’occurrence le football, de ciment de l’unité nationale et de vecteur de la cohésion sociale.

Et l’une des possibles entraves à ce mandat pourrait être avant tout la querelle judiciaire qui oppose nos acteurs du football. Cela dure depuis 2013. La plupart des candidats à l’élection du 11 décembre prônent la réconciliation. Ce qui semble pour l’instant plus facile à dire qu’à faire vu la détermination à tout rompre de certains. Il est peut-être temps que l’Etat, resté trop frileux pour sauver sa CAN, menacée par un motif  d’ingérence dans les affaires de l’association Fécafoot,  frappe définitivement du point sur la table au terme de la grand-messe continentale du football.

Cameroun – élection à la Fécafoot : Samuel Eto’o manque de disqualifier Seïdou Mbombo Njoya

La Commission électorale rejette pour forclusion, le recours introduit devant elle aux fins de suspension du président par intérim de la Fédération et de son adjoint Alium Konate, de toute activité relative au football.

 

 

 

La requête du candidat Samuel Eto’o arrive deux jours après la date de recevabilité des recours. Après la publication de la liste des candidatures, le règlement prévoit un délai de 48 heures pour introduire d’éventuelles contestations.  Or, regrette la Commission électorale, Samuel Eto’o  a déposé  sa requête le 30  novembre 2021. Soit deux jours après la marge de temps consacré.

Eto’o sollicitait la suspension de toute activité relative au football du président par intérim de la Fédération, Seïdou Mbombo Njoya,  et de son vice Alium Konate. Pour des faits entre autres de corruption dans l’affaire Astres de Douala qui avait injustement été relégué en deuxième division et  soudoyé pour lui faire accepter d’évoluer une saison  en Ligue 2.

Après le rejet de son recours, la Commission d’éthique de la Fécafoot doit aussi se prononcer. Dans le même temps, des indiscrétions laissent entendre que sieur Eto’o voudrait saisir la Chambre de conciliation et d’arbitrage du Comité national olympique pour interjeter appel.

Cameroun : on connaît les 76 délégués qui vont élire le prochain président de la Fecafoot

A un mois de la tenue de la prochaine élection à la Fédération camerounaise de Football, la commission électorale vient de rendre publique la liste des personnalités qui apporteront leur vote pour départager les différents aspirants parmi lesquels on retrouve Samuel Eto’o et le président sortant Seidou Mbombo Njoya.

La commission électorale a publié la liste 76 délégués qui vont élire le nouveau président de la Fédération camerounaise de football ainsi que les membres du comité exécutif pour l’intervalle 2021-2026. On y retrouve les six délégués des dix ligues régionales de football du Cameroun, les dix délégués des championnats professionnels d’Elite, les deux représentants de l’Association des arbitres, deux représentants de l’Association des entraîneurs et éducateurs et les deux représentants du Syndicat des footballeurs. La liste des candidats n’est pas encore arrêtée alors que l’élection se tiendra effectivement le 11 décembre prochain.

Voici la liste complète des 76 électeurs

DÉLÉGUÉS DES LIGUES RÉGIONALES

Région de l’Adamaoua

  1. ABBO MOHAMADOU
  2. ABOUBAKAR SIDDIKI
  3. CHERARAOU SOULEY
  4. OUMAROU SANDA FAROUCK
  5. OUSMANOU SALI
  6. YAYA ISA JACOBIN

 Région du Centre

  1. BAPOOH LIPOT ROBERT
  2. EDZOGO GUILLAUME CYRIAQUE
  3. NANA GILBERT
  4. NYASSA NYASSA ROGER
  5. YOKI ONANA JACQUES
  6. M.ZANG LEON AIME

Région de l’Est

  1. ANGAYE NKOAL GHISLAIN RODRIGUE
  2. DJAMPIR ARTHUR BEBER
  3. ETSIL SIMON GHISLAIN
  4. MABAYA BRICE
  5. OYAL CHARMANT
  6. WADJIRE DOUKA

Région de l’Extrême-Nord

  1. HOURAKARI BELLO
  2. GARBA MAHAMAT
  3. GULBAI GATAMA
  4. OUMAR BICHAIR
  5. OUMAROU
  6. YOUSSOUFA

Région du Littoral

  1. BLONGO KINGUE SAMUEL.
  2. ETO’O FILS SAMUEL
  3. FOKO KAMGA STEPHANE
  4. MBBKEK ROBERT LOUIS
  5. MONGUE NYAMSI DANIEL
  6. NGANGUE TIMBA NOB

Région du Nord

  1. ABOUBAKAR ALIM KONATE
  2. ISSA BASSORO
  3. MOHAMADOU
  4. MOHAMADOU DJOULDE
  5. M, SADOU YAOUBA
  6. Mme. YVONNE ASTA

Région du Nord-Ouest

  1. AGHO OLIVIER BAMEJU
  2. BLAISE YOYE
  3. FAI SALE SHULIKA

Mme FOMUN VICTORINE AGUIM

  1. MBIGHA NJAH FELIX
  2. M SOH TCHEJAJOUO MAGLOIRE SIMPLIS

Région de l’Ouest

  1. BOUADEU AGUSTIN
  2. KOUEDEM FRANÇOIS
  3. MBOMBO SEIDOU NCHOUWAT NJOYA
  4. NSANGOU NKOMA MOHAMMA
  5. SOMEU HENRI
  6. TANGNY ZIADA EMMANUEL

Région du Sud

  1. Mme EKO MENDOMO CELINE
  2. M. IBRAHIMA
  3. MONEBOULOU M. SERGES
  4. ONDOUA ALAIN G.
  5. MM TCHENTYO ALEX GLENN
  6. TCHOUNDE LOUIS

Région du Sud-Ouest

  1. ESSA PIUS TABI
  2. FÉLIX TABE TABE
  3. HENRY NJALLA QUAN JUNIOR
  4. KHAR NANGOH CHARLES
  5. MOTANGA ANDRE MONJIMBA
  6. NJOMU JONAS BLAISE

DÉLÉGUÉS DES CLUBS PROFESSIONNEL

Elite One (1ère division)

  1. ABUNDE SHU PASCAL
  2. ESSIANE ANDRE NOEL
  3. XAMDEM INNOCENT
  4. Mme KWEMO SAFIA
  5. KOME MAX GEROME
  6. Mme MANGUELE THERESE PAULINE

ELITE TWO (2eme Division)

  1. GASPARD ALEXANDRE OWONA
  2. KUATCHE ANDRE MARIE JOSEPH
  3. NKOU MVONDO PROSPER
  4. TITA EMMANUEL.

ASSOCIATION CAMEROUNAISE DES ARBITRES DE FOOTBALL (ACAF)

  1. YAKAM GILBERT
  2. NGANDO PETER

ASSOCIATION DES ENTRAINEURS ET EDUCATEuRS DE FOOTBALL (ACEEF)

  1. KAHAM MICHEL.
  2. MAHI MAIRE JACQUES

SYNDICAT NATIONAL DES FOOTBALLEURS DU CAMEROUN

  1. JAMA MBA ROBERT
  2. ONANA JULES DENIS

Cameroun : Parfait Nicolas Siki, nommé SG par intérim de la Fécafoot

Le président de la Fédération camerounaise de football, Seïdou Mbombo Njoya,  vient de le porter à ce poste,  cumulativement avec ses fonctions de Directeur de la communication.

Parfait Nicolas Siki Awono est désormais le plus proche collaborateur du président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), Seïdou Mbombo Njoya. Nommé Secrétaire général de la Fécafoot en lieu et place de Benjamin Didier Banlock, dont les rapports tendus avec le président de la Fécafoot faisaient les choux gras de la presse depuis quelques jours.

« Nous sommes des hommes et nous incarnons une institution. Il existe un problème au sein de l’administration. C’est un problème de procédure administrative qui est en cours et sur laquelle je ne pourrais pas m’étendre », a lancé le président de la Fécafoot lors de l’Assemblée générale extraordinaire tenue samedi, pour justifier l’absence de Benjamin Didier Banlock dans la salle.

Parfait Nicolas Siki Awono, nouveau SG par intérim de la Fécafoot

 Parfait Nicolas Siki connait bien la fonction de secrétaire général, pour l’avoir plusieurs fois occupé lors des indisponibilités de sieur Banlock. Le journaliste passé par les rédactions de l’Action, Repères et du Quotidien de l’économie,  conserve son poste de Directeur de la communication de la Fécafoot.

Il est désormais le personnage central du processus électoral qui a débuté au sein de la fédération. Processus devant aboutir en octobre  à l’élection du prochain président de la Fécafoot.

Cameroun- Fecafoot : les nouveaux textes réglementaires adoptés sont déjà contestés

Après l’adoption des nouveaux textes et statuts ce 13 juillet par l’Assemblée générale extraordinaire, le chronogramme prévoit désormais les élections au sein des ligues départementales puis régionales dans les prochaines semaines.  Mais, certains acteurs s’apprêtent à saisir les juridictions sportives compétentes pour annulation…

C’est par 82 voix pour, 11 voix contre et deux bulletins nuls que les délégués à l’Assemblée générale extraordinaire de la Fécafoot ont adopté les nouveaux statuts, le code électoral, le code éthique, le code disciplinaire et le règlement financierUn événement qui marque le lancement du processus électoral devant aboutir à la mise en place d’un nouvel exécutif à la tête du football camerounais. Le prochain président de la Fécafoot ne pourra faire plus de deux mandats. C’est l’une des principales résolutions prises lors de cette rencontre.

Contrairement aux statuts de 2012, on note l’augmentation de la représentativité du football professionnel. Celui-ci gagne désormais une place supplémentaire en Assemblée générale en passant de cinq à six délégués. Les délégués des régions régressent  de neuf à six. On note également l’introduction des AG virtuelles à côté de celles en présentielles, pandémie du Covid-19 oblige. Aussi, en relation avec le projet de statuts proposés, les délégués ont soulevé la question d’une meilleure représentativité féminine de l’AG de la Fécafoot.

Après la journée de lundi fait de nombreux rebondissements, marquée par le rétropédalage du sous-préfet de Yaoundé II qui avait d’abord annulé le récépissé délivré pour la tenue de l’Assemblée générale extraordinaire de la Fécafoot avant de revenir sur sa décision,  et la volte-face du ministre des Sports et de l’éducation physique qui donnait finalement son onction à la tenue de cette assise, les délégués venus des dix régions du Cameroun se sont bel et bien retrouvés ce mardi 13 juillet 2021 à l’Hôtel Mont Fébé, à Yaoundé.

Les travaux ont été présidés par Seidou Mbombo Njoya président intérimaire  de l’instance faitière du football camerounais. Plusieurs anciens présidents de cette institution ont été conviés à participer, à titre d’observateurs, à ces travaux. Ces assises se sont déroulées sous les regards des représentants de la Confédération africaine de football (CAF) et de la Fédération internationale de football association (FIFA) qui y assistaient par visioconférence. Il s’agit respectivement de Jean Guy Blaise Mayolas, président de la Fédération congolaise de football et de Rolf Tanner, chef du Département de gouvernance des associations membres de la FIFA. Issa Hayatou, ancien président de la Confédération africaine de football et Hamad Kalbaba Malboum, le président du Comité national olympique et sportif du Cameroun (CNOSC) y prenaient également part comme invités de marques.

Cette assemblée générale extraordinaire consacrée à l’adoption des textes réglementaires de la Fécafoot précède le processus devant aboutir à l’élection d’un nouvel exécutif  à la tête de l’instance au mois d’octobre 2021. Un scrutin qui intervient après la sentence du Tribunal arbitral du sport (TAS) qui annulait le 15 janvier 2021 l’élection de 2018 ayant placé Seidou Mbombo Njoya et son exécutif à la tête du football camerounais. « Les conclusions de nos travaux doivent être le socle d’une nouvelle Fécafoot plus dynamique et moderne avec des textes qui assureront à notre Fédération l’harmonie et la sérénité, loin d’interminables conflits. Le football retrouvera ainsi sa place dans les stades, loin des prétoires»,  a espéré le président sortant sur sa page Facebook.

Cependant, plusieurs acteurs du football camerounais s’élèvent déjà pour contester la régularité de cette Assemblée générale extraordinaire et s’apprêteraient d’ailleurs à saisir les juridictions sportives compétentes pour plaider son annulation.

Fédération camerounaise de football : la candidature de Samuel Eto’o en gestation !

La campagne pour l’élection à la présidence de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) est loin d’avoir commencé. Mais en coulisse, les candidats affûtent leurs armes. La légende Samuel Eto’o, autrefois faiseur de roi, travaille désormais pour se tailler le costume de patron. Seul hic,  il n’est pas seul à avoir cette ambition.

La campagne pour la présidence de la Fécafoot va bientôt cristalliser l’attention du microcosme sportif camerounais, très passionné de son sport-roi. Elle  s’annonce électrique. Dans la plus grande discrétion, trois candidats peaufinent déjà les stratégies et les coups bas : Samuel Eto’o Fils, Géremi Njitap et Seidou Mbombo Njoya. Dans les états-majors de ces potentiels candidats, tous travaillent d’arrache-pied pour s’accorder les faveurs des membres de l’Assemblée générale de la Fecafoot, le jour dit.

Les conditions d’éligibilités

Pour pouvoir prétendre à la succession de Seidou Mbombo Njoya, dont tout le processus qui l’a conduit aux affaires a depuis été annulé par le Tribunal arbitral du sport (Tas), les conditions de l’éligibilité ne sont pas aussi simples.  Si pour être candidat à la présidence de la République, il suffit,  entre autres  d’avoir 35 ans,  ne  peut être candidat à la présidence de la Fécafoot, que tout camerounais des deux sexes âgé d’au moins 40 ans révolus, remplissant les conditions générales d’éligibilité prévues par les statuts et qui est, soit délégué à l’Assemblée générale de la Fécafoot, soit parrainé au préalable par huit délégués (des corps de métiers) au moins de ladite Assemblée. Un délégué ne pouvant parrainer plusieurs candidats.

Par ailleurs, le président sortant est autorisé à se présenter comme candidat sans parrainages, sous réserve des conditions d’éligibilité prévues dans les statuts de la Fecafoot. Enfin, tout candidat à la présidence de la Fécafoot doit déposer une caution de deux millions (2.000.000) de F CFA par chèque certifié, libellé à l’ordre de la Fecafoot, au moment du dépôt de la candidature, etc.

Comme Didier Drogba en Côte d’ivoire, Samuel Eto’o a décidé de se jeter dans le grand bain. Il n’a échappé à personne que lors de sa tournée nationale en début d’année 2021, Samuel Eto’o, rusé qu’il est, a surtout rencontré les personnalités issues du monde du football. Seidou Mbombo Njoya, dont Samuel Eto’o ne s’est pas caché pour financer son « élection » a vu d’un mauvais œil la pré-campagne de son parrain d’hier.

Comme en politique, les basses manœuvres ont alors commencé. Il a notamment été demandé au Comité d’éthique de la Fécafoot d’introduire un amendement sur les conditions d’éligibilité qui écarterait tous candidats ayant une double nationalité. Samuel Eto’o qui possède également un passeport espagnol est particulièrement visé. Soupçonnant son secrétaire général Benjamin Didier Banlock d’être de connivence avec le goaleador camerounais, le comité d’urgence de la fédération s’est récemment réuni pour statuer sur son cas. La très probable candidature de Samuel Eto’o a créé une friction au sein de l’instance faitière du football camerounais, pour le dire le moins.  Les plus hauts responsables et surtout  les membres du Comité exécutif  ne se regardent plus qu’en chien de faïence.

La recherche des parrainages

Il y a quelques jours, Seidou Mbombo Njoya, à la recherche des parrainages au sommet de l’Etat, a demandé à être reçu en audience par Ferdinand Ngoh Ngoh, le ministre d’Etat secrétaire général à la présidence de la République. Le très influent Samuel Eto’o qui a les entrées (presque) partout au Cameroun doit néanmoins savoir que son aura et sa puissance financière le rendent insaisissable aux yeux des politiques.

Face à Samuel Eto’o, il y a un autre adversaire de taille : Geremi Njitap, le président du syndicat des footballeurs camerounais. Le président Afrique de la Fédération internationale des associations de footballeurs professionnels (Fifpro) n’a jamais fait mystère de ses ambitions de diriger un jour, le football camerounais.

Une solution cosmétique

Ces deux anciens Lions, avides de pouvoir, ont depuis près d’une dizaine d’années, influencé toutes les batailles juridiques, en cours, à la Fécafoot. En 2015, c’est d’ailleurs pas crainte d’une éventuelle candidature de Geremi  Njitap, que l’âge limite pour être président de la fédération était passé de 35 à 40 ans. Prenant cette disposition avec fair-play, il avait négocié et obtenu la place de 4ème vice-président sous l’ère Tombi à Roko.

En attendant que les candidats soient officiellement déclarés, Seidou Mbombo Njoya, sans fondement juridique, a fait entamer les élections dans les Ligues départementales, puis suivront les régionales. Une situation qui embarrasse la  Confédération africaine de football (Caf), qui se trouve «extrêmement gênée» de voir un homme dont l’élection a été annulée par le Tas  prétendre conduire le processus électoral. La CAF en accord avec la FIFA, tout comme le gouvernement songeraient de nouveau à installer un Comité de normalisation du football camerounais. Une solution cosmétique qui a depuis, montré ses limites au Cameroun et qui viendrait simplement ralentir les appétits des candidats.

Cameroun : Seïdou Mbombo Njoya attendu au tribunal ce 6 mai 2021

Le président par intérim de la Fédération camerounaise de football aurait reçu le 3 mai dernier une convocation du juge Cyprien Onambele du Tribunal de Première Instance de Yaoundé-Centre administratif.

Le patron du football camerounais, Seïdou Mbombo Njoya, attendu au tribunal ce jeudi 6 mai 2021. Il doit se présenter au cabinet d’instruction N° 9 de cette juridiction à 9 heures précises. A la suite de la convocation qui lui a été servie le par le magistrat Cyprien Onambele du Tribunal de Première Instance de Yaoundé-Centre administratif.

La  convocation ne précise cependant pas le motif pour lequel le fils du sultan roi des Bamouns est invité à se présenter. Sa casquette de président par intérim de la fédération camerounaise de football n’est nulle part mentionnée sur le document.

Tout laisse néanmoins supputer qu’il sera interrogé sur sa gestion du football. Quand on sait que certains acteurs lui dénient le droit de parler au nom de la fédération, en raison de  l’annulation de son élection le 15 janvier dernier par une sentence du  Tribunal arbitral du sport. Son Comité exécutif et lui avaient été maintenus bon gré, mal gré, par décision de la Fédération internationale de football association (FIFA). La FIFA a décidé de leur octroyer un statut d’intérimaires.

le 4 mai dernier, les contestataires de cette décision de l’instance faitière mondiale du football,  réunis au sein du Comité exécutif  provisoire de la Fécafoot, installé par quelques acteurs de  l’assemblée  générale de 2009, ont pris la mesure de radier du football pour une durée de cinq ans, une dizaine de membres de l’exécutif déchu, dont Seïdou Mbombo Njoya.

Le timing de cette radiation et la convocation devant le juge, laisse penser qu’il va s’agir demain au tribunal, de légitimité et légalité des dirigeants actuels de la maison du sport roi camerounais.

Cameroun : la Fécafoot annonce le démarrage de la Ligue 1 le 28 février 2021

21 clubs répartis en deux poules sont sur la liste de  départ de la Ligue 1 saison 2020-2021. La Fédération camerounaise de football a réuni ce 16  févier à Yaoundé,  les présidents de clubs pour une concertation en vue démarrage  du tournoi.

Au terme de la rencontre de ce jour au siège de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), où 25 présidents de clubs sur 35 étaient présents selon le communiqué final, l’on retient que le championnat Ligue 2 démarre le 27 février et celui de Ligue 1 le lendemain.

En ce qui concerne principalement la Ligue 1, et compte tenu du retard dans son démarrage, les 21 clubs sur la liste de départ ont été divisés en deux poules. Dans la poule A l’on retrouve  11 équipes :  PWD of Bamenda, Bamboutos FC Mbouda, Djiko FC Bandjoun ;  Fovu club Baham ; Union Sportive Douala ; As Fortuna Mfou ; Stade Renard Melong ; Eding Sport Fc Lekie ; Avion Academy;  Dragon Club Yaounde ; Fc Yaoundé 2 Formation.

La  poule B est occupée par 10 clubs : Coton Sport Fc Garoua, Colombe Sportive ; Yong Sports Academy ; Ums Loum ; Apejes Mfou ; Conon Sportif Yaounde ; Panthere Sportive Nde ; Tkc Yaounde ; New Stars Douala ; Les Astres FC Douala.

Les clubs de Ligue 2  quant à eux ont été scindés en deux poules de sept équipes chacune. La fin de toutes les compétitions est projetée le 30 juin prochain. Au terme desquels une cérémonie des awards aura lieu pour primer les quatre premiers clubs de chaque tournoi, les meilleurs joueurs, entraineurs et arbitres.

Cameroun : Albert Mbida nommé président d’un comité provisoire de gestion de la Fécafoot

Des membres de l’Assemblée générale de la fédération de 2012 réunis en visio-conférence ce 2 février 2021,  ont en effet décidé d’écarter l’exécutif en place suite à la récente sentence du Tribunal arbitral  du sport (Tas) qui annule son élection.

Le Sénateur Albert Mbida est nommé à la tête d’un Comité provisoire de gestion de la Fécafoot. L’acte de sa nomination découle d’une session extraordinaire de l’Assemblée générale de l’instance  de 2012.

Elle  retire toute compétence à Seïdou Mbombo Njoya et aux membres du Comité exécutif élus le 12 décembre 2018. Elle désigne outre le sénateur Albert Mbida,  des membres du Comité provisoire chargé de gérer les affaires courantes de la Fécafoot, réviser les Statuts et le Code électoral,  et organiser un processus électoral.

Il s’agit comme vice-président du : Prince Ndoki Mukete, et comme membres du Dr François Dikoume, du Dr Tado Oumarou, de messieurs  Boudjiko Youkeka Pierre, Lucien Mettomo et Sah Walters.

L’Assemblée générale de la fédération de 2012 réunie en visio-conférence décide par ailleurs de réquisitionner une partie des locaux et du personnel de la Ligue de Football professionnel du Cameroun (LFPC) à mettre à la disposition du Comité exécutif provisoire, « en attendant que le siège de la Fécafoot illégalement occupé soit libéré », précise-t-elle.

L’AG dit fonder sa démarche sur la sentence rendue par le TAS le 15 janvier 2021 qui annule l’ensemble du processus électoral soldé le 12 décembre 2018 par l’élection d’un Comité exécutif présidé par Seïdou Mbombo Njoya.

Il faut dire qu’avant sa tenue, la Fédération camerounaise de football par le biais de ses avocats a signé un communiqué soulignant le caractère illégal de l’AG de ce 2 février. Relevant que l’équipe actuelle reste en place du fait d’une décision du secrétaire général de la FIFA qui l’a maintenue, en lui donnant comme attributions de gérer les affaires courantes,  revoir  les textes et  organier de nouvelles élections.

Cameroun : la FIFA maintient Seïdou Mbombo Njoya à la Fécafoot avec un statut d’intérimaire

Une lettre de Fatma Samoura le SG de la FIFA adressée ce jour à Benjamin Didier Banlock, le secrétaire général de la Fédération camerounaise de football, donne la marche à suivre suite à la sentence du Tribunal arbitral du sport (TAS).

Le 15 janvier 2021, une sentence du TAS a annulé l’élection du président de la Fėcafoot et de tout son comité exécutif. A la suite d’une contestation du club AS Meiganga qui dénonce des irrégularités dans le processus ayant conduit à leur élection.

Informé de la sentence, la FIFA à travers son secrétaire général a écrit ce samedi au SG de la Fėcafoot. « Nous vous informons de ce qui suit : compte tenu des circonstances du cas en question, et pour les motifs retenus par le TAS, la FIFA considere egalement que tant la ratio legis des dispositions applicables que la necessité d’assurer une continuité de service jusqu’aux nouvelles elections à organiser dans les meilleurs délais, justifient de laisser aux organes actuellement en place le soin d’assurer l’interim de la FECAFOOT. La FIFA tient donc à ce que les dècisions du TAS soient exécutées dans les plus brefs delais et n’entend ainsi prendre aucune nouvelle décision en l’état », écrit Fatma Samoura.

Elle tient cependant à préciser que le mandat exceptionnel ainsi accordé aux organes actuellement en place sera strictement encadré par la FlFA. Ce mandat est limité aux taches permettant d’assurer la continuité des affaires courantes et celles liées à la finalisation à brève écheance du processus,  l’adoption des statuts et textes réglementaires requis et l’organisation de nouvelles elections.

Le SG de la FIFAtermine en indiquant que : « les modalités et limites concrètes de ce mandat seront précisées ultérieurement et sous le contrôle de la FIFA, qui devra étre consultée avant toute decision envIsagée qui sortirait potentiellement du cadre des affaires courantes. Une teuille de route sera en outre rapidement présentée a la FIFA permettant de fixer les échéances électorales.»

Cameroun : Seïdou Mbombo Njoya candidat au Comité exécutif de la CAF

La candidature du président de la Fédération camerounaise de football est jugée recevable, cependant, la commission de gouvernance estime que des vérifications complémentaires sont nécessaires avant une décision finale.

Seïdou Mbombo Njoya veut être membre du Comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF). Sa candidature est jugée recevable mais doit subir quelques vérifications, a indiqué  une note de la CAF publiée le 7 janvier 2021.

Deux autres postulants au Comité exécutif de CAF sont en  attentes d’une décision finale après examen. Il s’agit de : Mamadou Antonio Souaré (Guinée) et Arthur De Almeida E. Silva (Angola). « A cet effet, une audition de ces candidats sera organisée au Caire le 28 janvier 2021 », annonce la CAF.

Par contre 13 candidats ont vu leurs candidatures validées par la Commission de gouvernance de la CAF sans besoin de vérifications. Parmi eux, Adoum Djibrine, le  président de la Fédération tchadienne de football.

Au total, seize candidatures ont été déposées pour les postes de membre du Comité Exécutif à pourvoir, et cinq candidatures ont été officiellement enregistrées pour le poste de Président de la CAF. Ahmad Ahmad, président sortant dont la candidature a été jugée inéligible à l’opposé de celles de Me   Augustin Emmanuel Senghor (Sénégal), avocat, 55 ans : président de la Fédération Sénégalaise de Football depuis août 2009 et membre du comité exécutif de la CAF depuis février 2018, et  Jacques Bernard Daniel Anouma (Côte d’ivoire), 69 ans, cadre Financier : ancien membre du comité exécutif de la FIFA, ancien président de la Fédération Ivoirienne de Football et président d’Honneur de la Fédération Ivoirienne de Football.

Les candidatures à la présidence nécessitant des vérifications complémentaires sont celles de  : Ahmed Yahya (Mauritanie), 44 ans, homme d’affaires, président de Fédération mauritanienne de football et Membre du Comité exécutif ; Patrice Tlhopane Motsepe (Afrique du Sud), 58 ans, homme d’affaires, président de Club (Mamelodi Sundowns FC). Une audition de ces candidats sera également organisée au Caire le 28 janvier 2021.

A noter que la CAF élira pour un mandat de quatre ans le successeur d’Ahmad Ahmad lors de la 43eme Assemblée générale ordinaire élective prévue le 12 mars 2021 à Rabat au Maroc.

Cameroun : La FIFA arbitre le conflit Fécafoot LFPC ce 9 novembre 2020

Ce jour par visioconférence, la Fédération internationale de football réunit les dirigeants de la Fédération camerounaise de football et ceux de la Ligue de football professionnel du Cameroun, au sujet du différend qui les oppose.

Une réunion organisée par la FIFA  est en cours pour apporter une solution à la crise qui oppose la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) et son démembrement la Ligue de football professionnelle (LFPC).

Les dirigeants des deux structures sont face à face sous l’arbitrage de la FIFA. Bien que la fédération ait retiré à la LFPC son droit d’organiser les compétitions professionnelles, l’instance faitière mondiale du football pense qu’un compromis est encore possible.

Sarah Solémalé, cadre supérieur de la FIFA, membre de la division en charge du suivi et du contrôle des associations a mobilisé le président Seidou Mbombo Njoya et son secrétaire général Benjamin Banlock. Du côté de la LFPC, le général Pierre Semengue. Comme représentant des clubs, Prospère Nkou Mvondo, président de la l’Assemblée générale du 29 octobre qui a dissout la LFPC.

La Fécafoot s’apprête à lancer le championnat Elite one demain, 10 novembre 2020. Alors que cela avait été fait en tout début de mois par la LFPC avec des arbitres étrangers, en l’absence  de désignation des arbitres locaux par la Fédération.

Cameroun : la LFPC annonce le démarrage du championnat à la date où la Fécafoot projette recycler les arbitres

La Ligue de football professionnel (LFPC) annonce qu’elle va lancer le championnat le 1 er novembre 2020. Un jour où la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) s’apprête plutôt à recycler les abrites pour le même but.

Le dialogue ne passe pas entre Fécafoot et la LFPC. Dans un communiqué publié ce 29 octobre 2020, la Ligue de football professionnel annonce le démarrage du championnat le 1er novembre. Avec à l’affiche un certain Coton sport de Garoua contre Panthère du Ndé.

Or,  un communiqué de la Fécafoot signé du 26 octobre 2020  qui fait le tour des réseaux sociaux  seulement depuis cet après-midi, convoque les arbitres à un regroupement dès  le 2 novembre, en vue, précise la Fécafoot de préparer  le démarrage du championnat. Pourtant, son bras séculier la LFPC annonce qu’il  sera lancé la veille.

Dans le détail,  le communiqué de la Fécafoot invite les arbitres et arbitres assistants des championnats de football féminin du 30 au 1er novembre au Centre technique de la fédération. Ensuite ceux de la Ligue 1 masculine du 2 au 4 novembre dans un hôtel de la Rue Marc Vivien Foé en plein centre-ville de Yaoundé.

Le président de la Ligue a déclaré lors de l’Assemblée générale extraordinaire tenue le 27 octobre dernier, que le gouvernement à travers le ministère des Finances a décaissé une première partie de la subvention publique au football professionnel.  Tandis que la Fécafoot aurait refusé de s’acquitter de sa quotepart.

Cameroun : la Fécafoot aménage le départ à la retraite du général Pierre Semengue

La Fédération camerounaise de football accorde une « dérogation » au président de la Ligue de football professionnelle du Cameroun (LFPC) pour achever son mandat. Elle s’octroie par ailleurs le droit de nommer dorénavant le secrétaire général de la LFPC. Des décisions que n’approuvent pas le général Pierre Semengue, à qui la Fécafoot donne huit mois pour organiser les prochains championnats.

Le mandat du général Pierre Semengue devrait à ce jour  être échu, si la Fécafoot n’avait pas illégalement suspendu la LFPC. La Ligue de football professionnel aujourd’hui réhabilitée par le Tribunal arbitral du sport, son président veut achever les 10 mois du bail qui lui restait. Certains dirigeants de la Fécafoot qui  voulaient s’y opposer ont revu leur position.

L’assemblée générale de ce 25 septembre 2020,  dit accorder à Pierre Semengue (85 ans) une dérogation pour terminer son mandat, en dépit du règlement adopté en juillet 2019 qui fixe la limite d’âge pour être président de la  LFPC à 75 ans.

L’assemblée générale de la Fécafoot s’octroie le droit de nommer le secrétaire général de la LFPC.

Des décisions qui n’arrangent pas le général qui y perçoit un refus d’appliquer les sentences du Tribunal arbitral du sport dans un esprit d’apaisement, tel que l’a d’ailleurs recommandé le ministre des sports le 17 septembre dernier au cour d’une concertation.

La fédération  charge par ailleurs Pierre Semengue d’organiser les championnats élite one et two et de les boucler dans huit mois maximum et  faire place ensuite à de nouvelles élections.

Tout laisse croire que les points d’achoppement vont ouvrir un nouvel épisode du bras de fer entre la Fécafoot et la LFPC.

Cameroun : le torchon brule à nouveau entre Seidou Mbombo Njoya et Pierre Semengue

Nonobstant les sentences du Tas qui demandent la réhabilitation de la Ligue de football professionnel, le président de la Fecafoot a, lors de la réunion du Comité exécutif tenu ce jour, indiqué au général Pierre Semengue que son mandat a échu depuis octobre 2019 et qu’il est atteint par la limite d’âge.

Le match Fécafoot-Ligue de football professionnel du Cameroun (LFPC) est décidément sans fin ! La réunion du Comité exécutif de la Fécafoot, tenu en son siège ce jeudi 24 septembre 2020, censée entériner la sentence du Tribunal arbitral du sport (Tas) en faveur de la LFPC a plutôt mis de l’huile sur le feu.

Pendant que l’opinion publique camerounais s’attendait à une assisse sereine, au vu de la dernière mise en garde du ministre en charge des Sports, le président de la Fécafoot, a, d’entrée de jeu, contre toute attente, ouvert les hostilités en indiquant au général Pierre Semengue (85 ans) que son mandat est arrivé à son terme depuis le 26 juillet 2019. SeÏdou Mbombo Njoya a ajouté que les nouvelles dispositions statutaires de la LFPC disqualifient Pierre Semengue du fait de la limite d’âge.  En guise de réponse, le président de la ligue, a, quant à lui,  brandi la décision du TAS à ses interlocuteurs.

Dans un pays, où il n’y a pas de limite d’âge pour être président de la République, il est qu’en même curieux que la limite d’âge pour être président de la  LFPC soit fixée à 75 ans. A titre de rappel, la Fifa considère la limite de l’âge à tout poste électif comme étant discriminatoire.

Pour mieux comprendre l’attitude du président de la Fécafoot affichée ce jour,  le journaliste Thierry Ndoh explique  : «  Qu’Il s’agit d’un acte que la presse et les réseaux sociaux ont pressenti tout au long de cette semaine, au regard des connivences nocturnes de ces dernières heures entre les responsables de l’actuel exécutif de la Fécafoot et certains irréductibles présidents de clubs réunis sous la bannière du Sycec, qui depuis le 14 septembre dernier, n’ont jamais digéré la pilule amère du TAS, et donc ont décidé de contourner, ou à défaut de saboter la sentence réhabilitant le conseil d’administration de la LFPC dans ses droits à partir du 18 octobre 2019 »

Suspension du Cameroun

Pour ce journaliste de sport : « La manœuvre presque désespérée du président de la Fécafoot, eu égard au caractère irréversible de l’application de ladite décision, et à la suite de la sortie du Minsep le 17 septembre dernier, s’apparente à un dernier coup de poker, pour essayer de sauver les meubles… Car, comment comprendre qu’un mandat suspendu par une décision illégale, puis réhabilité par une décision du TAS a du mal à être digéré par la Fécafoot qui va à l’encontre des dispositions statutaires de la FIFA qui interdit l’immixtion et l’ingérence d’une association à l’égard de ses membres ».

Ce match Fécafoot-LFPC joue les interminables prolongations alors que lors d’une réunion tripartite,  tenue les 14 et 15 septembre dernier, le ministre Narcisse Mouelle Kombi, a, dans un ton conciliateur, sifflé la fin de la récréation : « Je voudrai recommander aux deux parties de s’investir pleinement pour un retour à la normale dans la légalité et sans manœuvre dilatoire au juridisme excessif et contreproductif. Il s’agit par conséquent de faciliter l’application immédiate et sans condition, des sentences prononcées par le Tas les 14 et 15 septembre 2020. L’image du Cameroun, État de droit, s’en trouverait davantage grandie, tout comme le football camerounais qui, hélas, reste plongée, depuis plus d’une décennie dans des crises regrettables ».

En décidant d’entamer un énième bras de fer avec la LFPC, le Comité exécutif de la Fécafoot mesure-t-il toutes les conséquences ? A la veille d’accueillir le Chan et plus tard la Can, comment un comité exécutif peut délibérément décider d’escamoter une sentence de la plus haute juridiction sportive au monde?  Ont-ils pensé un seul instant que leur entêtement peut amener la Fifa, en cas de saisie de la LFPC, conduire à la suspension du Cameroun ? Match à suivre.

Cameroun : la Fécafoot hérite de la gestion du Centre d’excellence de la CAF de Mbankomo

Annonce du président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) au cour de la réunion du comité exécutif qui se tient ce 24 septembre 2020 au siège de la Fécafoot à Yaoundé.

Un gestionnaire pour le Centre d’excellence de la CAF récemment abandonné dans la broussaille. Ce 24 septembre 2020,  la Fédération camerounaise (Fécafoot) annonce qu’elle a été désignée par la Confédération africaine de football pour gérer cette infrastructure multisport.

 « Cette concession arrive au moment où nous allons débuter les travaux de modernisation du Centre Technique d’Odza qui sera non fonctionnel. Le Centre de Mbankomo sera utile pour nos activités: Ce qui nous permettra de réduire les charges liées à l’hébergement mais aussi d’avoir des revenus supplémentaires», s’est réjoui ce jour SeIdou Mbombo Njoya, le patron de la Fécafoot lors de la réunion du Comité exécutif de la fédération.

Les alertes de la presse sur l’état de décrépitude du Centre d’excellence de la CAF avaient amené le 13 août dernier le ministre des Sports Narcisse Mouelle Kombi à se rendre sur les lieux pour évaluer les actions à mener. Fort de la promesse faite par le chef de l’Etat Paul Biya au président de la CAF  Ahmad Ahmad en 2019 de l’acheter comme « cadeau à la jeunesse camerounaise ».

Après que le gouvernement ait pris la décision de réhabiliter ce centre où les Lions indomptables  A prime effectuent en ce moment leur stage,   la CAF choisit de confier sa gestion à la Fédération camerounaise de football. Certainement une manière de mettre plus de pression sur le gouvernement pour son acquisition et sa pleine jouissance.

Cameroun : la FIFA alloue environ 900 millions de FCFA pour soutenir le football affecté par le Covid-19

Le football professionnel et amateur s’en tire avec 550 millions de FCFA et le football féminin avec la moitié.

825 millions de FCFA de la FIFA à partager aux acteurs du football.  550 millions destinés aux organisations professionnelles et amateurs de foot masculin. L’argent leur sera  versé en deux tranches.

Pour la première, chacun des 18 clubs de Ligue 1 recevra 3,5 millions de FCFA. En Ligue 2, la part de chaque club (15) est de 1. 500 000 FCFA. En ligue régionale 500 000 Francs par équipe (189 clubs). Et au niveau des départements (519 clubs) 100 000 FCFA. Les clubs de football jeunes, 372 au total, auront chacun 50 000 FCFA.

A noter que la deuxième tranche sera versée en 2021 après présentation des comptes d’emploi des fonds de la première.

Les charges des Ligues régionales seront financées pour 10 millions de FCFA, tandis-que celles de la Fécafoot à 16 millions.

Les clubs de première division féminine (12)  auront droit chacune à 5 millions et demi de FCFA. Ceux de deuxième division (57)  vont recevoir un million et demi. Et la Ligue de football féminin qui organise leurs activités bénéficiera de 123 millions et de demi de FCFA.

Toutes ces sommes seront versées dès ce mois de juillet. Et comme mentionné, les clubs des hommes percevront leur seconde tranche l’an prochain. C’est ce qui ressort de la session du Comité exécutif de la Fécafoot présidé le 15 juillet 2020 par Seïdou Mbombo Njoya, le patron de la fédération.

Cameroun – Fécafoot : la justice donne raison à Tombi à Roko

L’ancien président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), suspendu à vie par la Commission d’Ethique de la Fecafoot, a eu gain de cause devant le Tribunal de grande instance du Mfoundi.

En juillet 2019, Tombi à Roko a été radié du football camerounais suite à une décision  de la Commission d’Ethique de la Fécafoot. Il lui avait été reproché d’avoir détourné des fonds de près d’un milliard de FCFA, de faux et usage de faux et abus de biens sociaux.

Le condamné avait fait appel auprès du Tribunal de grande instance de Mfoundi. Cette juridiction vient de prendre le contre-pied de la Commission d’Ethique de la Fécafoot, en désavouant sa sentence contre celui qui a géré la fédération entre 2015 et 2017.

Joint au téléphone par journal du Cameroun.com, sieur Tombi confirme l’information et annonce qu’il entend tout mettre en œuvre pour sa réhabilitation par la Fécafoot.

Rappelons qu’en dehors de lui, plusieurs autres cadres de la fédération ont été incriminés. Certains ont connu des verdicts allant des suspensions temporaires accompagnées d’amendes à des acquittements.

Ligue des champions : pourquoi le Cameroun a dit « non » à la Caf

Selon le président  de la Fecafoot, le désistement du Cameroun  pour l’organisation des demi-finales et la finale de la plus prestigieuse des compétitions africaines interclubs est dû à la pandémie de Coronavirus.

Lors d’un point de presse, tenue ce lundi 13 juillet au siège de la Fédération camerounaise de football (Fecafaoot), le patron des lieux Seidou Mbombo Njoya, a fait une déclaration très laconique en rapport avec le désistement du Cameroun à accueillir les demi-finales et la finale de l’édition 2019-2020 de la Ligue des champions africaine.

 «J‘ai fait connaître à la Caf, que le gouvernement n’a pas marqué son accord pour l’accueil par le Cameroun, des demi-finales et finale de cette prestigieuse compétition africaine, en raison des risques sanitaires liés à la pandémie du COVID-19, et des incertitudes sur l’évolution à court terme de cette pandémie», a déclaré Seidou Mbombo Njoya, devant des journalistes camerounais médusés.

En rappel, la Confédération africaine de football (Caf) avait sollicité le Cameroun pour abriter au mois de septembre prochain dans le nouveau stade omnisport de Douala-Japoma (50 000 places), les matches des demi-finales et la finale de l’édition 2019/2020 de la prestigieuse Ligue des Champions africaine.

Le dernier carré de la compétition oppose les clubs égyptiens du Zamalek du Caire et d’Al Ahly de la même ville, et la deuxième affiche, les Marocains du Raja club de Casablanca et du Wydad de Casablanca.

Cameroun : 15 employés de la Fécafoot atteints de Covid-19

Les tests réalisés à la demande du président de la Fédération camerounaise de football a permis de détecter une dizaine de cas positifs.

A la suite de deux récents décès des suites de courtes maladies à la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), le patron des lieux, SeÏdou Mbombo Njoya a sollicité un testing de l’ensemble du personnel.

Des sources bien introduites, lesdits examens vont révéler que 15 agents sont positifs au Covid-19. Les concernés ont été placés en observation à l’effet de recevoir des soins appropriés.

Sans doute, l’objectif est d’arrêter la saignée. L’on sait que la Covid-19 a sévèrement frappé le football camerounais ces dernières semaines. Wembe Samuel, membre du Comité exécutif de la Fécafoot, avait été le premier à subir cette pandémie ravageuse.

Ensuite le Dr Michel Motaze ancien médecin des Lions indomptables, et enfin Mbida Endomba Léopold, le président de Foudre feu du ciel d’Akonolinga,  foudroyé il y a quelques jours par le virus tueur.

Cameroun/Football : à cause du Covid-19 la saison prochaine se jouera à 20 Clubs

C’est l’une des décisions majeures prises ce 12 mai 2020 par le Bureau du Comité Exécutif de la Fécafoot.

La Saison 2020 – 2021 se disputera à 20 clubs. Décision à l’issue des concertations en vidéoconférence entre l’association des présidents de clubs, le Bureau du Comité Exécutif de la Fécafoot et le Comité technique transitoire qui organise les championnats de Ligue 1 et 2.

L’on retient qu’aucun club de Ligue 1 ne club ne sera relégué en division inférieure.  « En dérogation aux dispositions du Règlement du championnat Elite One saison 2019-2020, les clubs relégables et respectivement classés aux 15eme, 16eme, 17eme et 18eme places sont maintenus en championnat Elite One », peut-on lire dans le communiqué qui sanctionne la concertation.

Ainsi le championnat de Ligue 1 se jouera à 20 clubs la saison prochaine. Les 18 clubs seront complétés par deux autres, notamment le champion de la Ligue 2 et son second. « En application des dispositions du Règlement du championnat professionnel Elite Two, saison 2019-2020, les clubs respectivement classées 1er et 2eme dudit championnat, sont promus en championnat professionnel Elite One dès la saison 2020-2021 ».

Rappelons que l’autre mesure phare de la concertation de ce mardi est le sacre de  PWD de Bamenda comme  champion en première division masculine avant la fin de la saison. Tandis que Astre de  Douala remporte le championnat de  Ligue 2 et Louves Minproff est au sommet chez les dames.

Cameroun/Covid-19 : PWD de Bamenda sacré champion du Cameroun avant la fin de la saison

Après concertation avec l’association des présidents de clubs ce 12 mai 2020, le Bureau du Comité Exécutif de la Fécafoot a entre autres pris la décision d’arrêter les championnats professionnels Elite One et Elite Two, et de sacrer  notamment PWD  champion de la saison 2019/2020.

Le Covid-19 cause l’arrêt des championnats locaux de football au Cameroun. C’est la principale décision qui ressort des concertations tenues ce jour  entre les dirigeants de la Fécafoot d’une part, puis entre  les membres du Bureau du Comité Exécutif de la fédération,  d’autre part.

La Fédération camerounaise de football a pris deux mesures importantes. A savoir : l’arrêt définitif des championnats professionnels Elite One et Elite Two, du championnat national de football féminin de première division et des championnats nationaux de football des jeunes de la saison 2019/2020 ; l’annulation des championnats régional, départemental, d’arrondissement et de football féminin deuxième division de la saison 2019-2020.

Ainsi, « en application des dispositions du Règlement du championnat Elite One saison 2019-2020, le club classé 1 er  du championnat professionnel Elite One est déclaré champion 2019-2020 et représentera le Cameroun à la Ligue des clubs champions de la CAF », lit-on dans le communiqué publié par la Fécafoot ce 12 mai.

Ce qui implique que PWD de Bamenda est sacré champion en Ligue 1 masculine, Astre de  Douala en Ligue 2 et Louves Minproff chez les dames.

C’est le deuxième coup de fouet que le Covid-19 assène au football camerounais, après le report du Championnat d’Afrique des nations  prévu en avril dernier.

Cameroun/Covid-19: la Fecafoot compte aussi soutenir le football amateur (Seidou Mbombo Njoya)

Les modalités d’appui aux joueurs des ligues régionales et décentralisées sont à l’étude, selon le président de la Fédération camerounaise de football qui compte aussi sur un concours de la Fondation Samuel Eto’o

 

En contexte de suspension des championnats locaux causée par la pandémie du Covid-19, le président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), Seidou Mbombo Njoya, promet un soutien au football amateur, à travers les ligues régionales et départementales.

“Des concertations sont en cours et vont se poursuivre cette semaine afin de déterminer les modalités de l’appui que la Fécafoot va apporter aux joueurs de nos ligues décentralisées. Avec le concours de la Fondation Samuel Eto’o, un appui en kits de protection sanitaire et des denrées alimentaires est envisagé”, explique le président de la Fecafoot dans une interview accordée à Cameroon Tribune ce 20 avril.

La Fecafoot a annoncé, la semaine dernière, la mise à disposition d’une aide financière d’environ 40 millions de F CFA pour répartir à 25 joueurs et encadreurs de chacun des clubs de D1 et D2 (les championnats professionnels du Cameroun) et 20 joueuses et encadreurs du championnat national de football féminin de première division.

Cameroun-Covid-19 : les Lions indomptables reçoivent du réconfort

Dans une lettre adressée aux joueurs de toutes les catégories de sélections nationales dames et messieurs , le président de la Fédération camerounaise de football encourage et recommande les gestes barrières contre le virus « antisportif ». Le sélectionneur  de l’équipe A masculine, Antonio Conceiçao, dit pour sa part  être  au travail malgré le confinement.

« Le Covid-19 est foncièrement antisportif car il interdit des rassemblements massifs, pourtant la marque de fabrique du football qui n’est jamais aussi beau que quand il est spectaculaire et populaire », écrit SeÏdou Mbombo Njoya aux Lions indomptables.

Le président de la Fécafoot justifie pourquoi toutes les compétitions ont été suspendues, et reconnait l’inconvénient d’une telle décision. « A la suite de la FIFA et de la CAF et en respect des mesures gouvernementales de lutte contre la propagation de la pandémie Covid- 19, la Fécafoot a reporté sine die toutes ses compétitions le 17 mars 2020. Ces mesures, destinées à nous protéger et à protéger nos proches, ont ouvert une difficile période d’inactivité et de confinement quasi-général ».

SeÏdou Mbombo Njoya réconforte ensuite les  Lions indomptables. «  Je vous adresse, au nom du Comité Exécutif, le réconfort de la FECAFOOT et de l’ensemble des acteurs réunis dans la grande famille du football camerounais. Je vous invite surtout à ne point abandonner les gestes barrières contre le Covid-19 édictées par l’OMS et les autorités sanitaires de vos pays de résidence ».

Dans le même temps,  le sélectionneur Antonio Conceiçao  indique ce 10 avril 2020  sur la chaine Youtube de la Fécafoot, qu’il continue à travailler bien qu’étant en confinement. «Nous mettons ce temps à profit pour regarder les matchs et les joueurs de l’équipe nationale du Cameroun. L’objectif est de mieux connaître les caractéristiques des joueurs individuellement et de découvrir de nouveaux joueurs, évidemment avec l’aide des plateformes Instat et Wyscout».

 

Cameroun : un président de club suspendu pour bastonnade d’un joueur

Roger Minala  Noah le président d’AS Fortuna écope d’une suspension de 30 jours  suite aux coups assénés  à  Tombi Alemi, joueur d’UMS de Loum. La sanction pourrait être plus lourde.

La commission d’homologation et de discipline de la Fédération camerounaise de football  s’est réunie ce 10 mars et a décidé de suspendre Roger Minala Noah, président d’AS Fortuna, club camerounais de Ligue 1.  Coupable d’avoir frappé sur  le joueur d’UMS de LoumTombi Alemi à la fin du match qui a opposé le 1er mars 2010, son équipe  à UMS de Loum. Match  comptant pour  la 25ème journée du championnat qui s’est soldé sur le score de parité (2-2).

Seidou Mbombo Njoya,  le président de la Fédération Camerounaise de Football avait porté plainte contre ledit manager de club. Lui brandissant la menace d’une suspension à vie  de toutes activités liées au  football.

Dans la décision rendue ce 10 mars, la commission d’homologation et de discipline laisse égarement présager cette issue. « La durée de la suspension (30 jours) sera imputée d’office sur celle de l’éventuelle sanction définitive prononcée par la commission fédérale et de discipline de la Fécafoot) », peut-on lire dans le communiqué de fin des travaux. Le mis en cause dispose de 48 heures pour interjeter un recours.

Cameroun : l’Etat désamorce la grève des clubs de football

Le Premier ministre a ordonné le décaissement d’une première partie de la subvention de l’Etat à la marche du football professionnel. 350 millions de FCFA qui permettront la reprise des championnats demain 28 janvier.

« Les clubs et la Fécafoot ont discuté et sont tombés d’accord vendredi (24 janvier dernier. Ndlr) de reprendre le championnat. Les accords de la primature ont été donnés pour le virement des 350  millions de FCFA dans les comptes de la Fécafoot », a confié Parfait Siki, patron du département communication, à Journal du Cameroun.com.

Les clubs devraient bientôt passer  à la caisse, percevoir chacun sa quote-part pour disputer la phase retour des championnats Ligue 1 et 2. « J’ignore pour l’instant si ces ressources sont déjà là. Mais la répartition a déjà été faite sur ce que les clubs recevront », explique sans précision  Parfait Siki.

Des informations glanées le 24 janvier au soir de l’assemblée générale de la fédération tenue à Yaoundé,  donne un aperçu de la grille de répartition. « Une partie de cet argent, autrefois réservé au fonctionnement de l’ex Ligue de Football Professionnel va être redistribuée aux clubs. Soit 11 millions de francs pour chaque club de D1 et 5 millions de francs pour chaque club de D2 », a révélé un membre du Comité exécutif de la Fécafoot.

La reprise des championnats, initialement prévue ces 25 et 26 janvier, est reportée aux 28 et 29 de ce même mois.