Le Cameroun a une nouvelle Miss pour cette année 2023. Issie Princesse qui a représenté le Littoral porte la couronne nationale pour un mandat d’un an.
Julia Samantha Edima Assoumou a fait sa passation de service ce 12 novembre 2022 au Palais des sports de Yaoundé. Elle a remis sa couronne à la jeune Ndoun Issie Princesse, qui représentait la région du Littoral. Un couronnement fait sous le regard bienveillant de la première dame du Cameroun, Chantal Biya.
Ndoun Issie Princesse est désormais la nouvelle reine de beauté du Cameroun. Comme première dauphine c’est Mouketey Monalisa, miss Sud-Ouest et deuxième dauphine, Raïssa Ngueleu, miss Ouest. Sur la toile, le trio fait déjà l’unanimité auprès du public.
La miss remporte une enveloppe de 5 millions de francs CFA des partenaires du COMICA, un véhicule 4*4, un salaire mensuel de 150 000 FCFA et un appartement pendant un an.
Issie Princesse
Le thème de cette année étant « la beauté au service de l’éducation », Issie Princesse a présenté son projet sur l’éducation des jeunes filles et des femmes sur le cancer du sein: « Mon projet est l’éducation de la femme en cancérologie du sein. Nombreuses sont nos sœurs qui ne s’éduquent pas sur cette cellule cancéreuse et aujourd’hui on se retrouve avec plusieurs cas de cancer du sein au Cameroun. Je suis convaincue que si on peut aider sur cette maladie on peut éradiquer le mal. » a-t-elle expliqué. Elle est déjà à la tête d’une association qui milite pour cette cause, « Cameroon Women actions ».
Pendant son mandat, elle s’engage à promouvoir le patrimoine touristique camerounais et à sensibiliser sur l’éducation à la prévention du cancer du sein dès le bas âge. Agée de 22 ans, Issie Princesse, du haut ses 1m81, est étudiante en management, niveau Licence.
Pour la 16ème édition du concours de beauté, le comité d’organisation a décidé de revoir les primes et le nombre de candidates qui les recevront.
La 16ème édition du concours Miss Cameroun se prépare. Pour cette édition, le Comica (Comité d’organisation Miss Cameroun) aura une mission principale. C’est celle de produire une version du concours bien améliorée par rapport aux deux éditions précédentes.
Concernant les prix, cette année le Comica a décidé de récompenser la Miss, la 1ère et la 2ème dauphine.
« Les années précédentes, nous récompensions la Miss et ses cinq dauphines, cette année nous avons décidé de récompenser la Miss, la 1ère et la 2e dauphine. La dotation du prix a été augmentée », a déclaré Ingrid Solange Amougou, présidente du Comica lors de la conférence de presse organisée le 07 juin dernier.
« On est passé de 6 à 3 vainqueurs pour la finale. C’est pour mieux les récompenser et faire en sorte que le Cameroun participe à au moins trois compétitions internationales : Miss Monde, Miss Univers, etc. C’est pourquoi nous avons choisi de récompenser trois gagnantes. Les trois autres sont des réservistes, au cas où les deuxièmes ne seraient pas disponibles. Nous ne voulons plus voir de Miss prendre le dépôt de taxis ou le Bendskin », a-t-elle ajouté.
La Miss recevra désormais une cagnotte de 5 000 000 F CFA, une voiture 4×4, un appartement pendant toute la durée de son mandat, un salaire de 100 000 F par mois, avec d’autres lots offerts par des partenaires.
La première dauphine aura une enveloppe de 1 500 000frs, une citadine Toyota, et des lots offerts par des partenaires.
La seconde quant à elle recevra une prime de 1 000 000frs, une citadine Toyota et des lots offerts par les partenaires.
C’est la ville de Garoua qui ouvrira le bal le 24 juin 2022 avec la grande finale régionale qui réunira les trois régions du nord (Nord, Extrême-Nord et Adamaoua). Le 29 juillet, Bafoussam prendra le relais pour la finale régionale du grand ouest (Ouest et Nord-Ouest).
Le 28 août, ce sera au tour de Douala de dévoiler les reines de beauté du l’aire Sawa (Sud-Ouest et Littoral).
Yaoundé accueillera la finale régionale du grand sud (Centre, Sud et Est), le 24 septembre 2022.
Marie Ange Ndjock prend le contre-pied de la candidate Carelle Ntolo qui allègue que des pratiques occultes sont utilisées contre des prétendantes au prestigieux trône de miss.
Guerre de contradictions entre les candidates déchues de Miss Cameroun cette année. La semaine dernière, la candidate Carelle Ntolo assurait être victime de sorcellerie venant du Comica (Comité d’Organisation Miss Cameroun).
Dans une longue lettre, elle avait révélé s’être réveillée avec le visage complètement noir, sans compter les multiples menaces contre sa vie.
Mais ce weekend, une autre candidate ayant fait le buzz cette année, dément ces allégations. « Qu’on ne vous mente pas! Elle avait déjà le visage déformé à cause de l’usage de faux produits de Make up. Juste qu’elle a douté d’elle et ne s’est pas donné les moyens de continuer. Il n’y a pas eu de sorcellerie » a déclaré Marie Ange Ndjockvia les réseaux sociaux.
Une autre révélation qui surprend le public. Quand on sait que cette dernière avait violemment critiqué le COMICA.
Face à la conviction affichée par Carelle Ntolo concernant ces attaques contre sa personne, et l’opposition d’Ange Marie, l’opinion ne sait plus à quel saint se vouer devant cette histoire.
Carelle Ntolo, candidate N°9 pour la finale régionale de Miss Sud, a démissionné à deux jours de cette étape décisive. Elle a répondu aux questions d’un blog et voici ses raisons.
Ntolo Enama Marthe Carelle (en photo) était sur l’affiche des candidates sélectionnées pour la finale régionale grand centre de Miss Cameroun le weekend dernier. Mais sur le podium samedi, elle n’était pas présente. Annoncée comme démissionnaire, elle décide de rompre le silence pour éclaircir l’affaire.
Elle évoque via le blog Fair play Entertainment, des pratiques de sorcellerie contre sa personne. « Tout d’abord j’ai été contactée par une personne anonyme qui m’a fait comprendre qu’elle pouvait me faire gagner le concours Miss Cameroun si j’adhérais à certains cercles ou si j’acceptais de faire certaines choses (sectes et prostitution). Je les ai toutes refusés… Et ça c’était avant le début du concours que cette personne m’a approché. Durant les préparatifs de Miss grand centre, j’ai appris de sources sûrs (au COMICA) qu’une conspiration était entrain de se préparer contre moi avant la grande finale de Miss grand centre. Mes proches m’ont conseillé de protéger ma vie et de quitter la compétition pour éviter des véritables surprises à long terme. » a-t-elle expliqué.
Mais malgré cette situation inquiétante, la candidate a voulu poursuivre la compétition. Mais un avertissement plus sérieux est arrivé: « La semaine passée mercredi soir, je me suis couchée dans de bonnes conditions. Jeudi matin je me réveille avec le visage complètement noir, c’est à dire que j’avais deux teints sur moi. C’est vendredi que j’ai démissionné car j’ai vu que la situation était très grave. Raison pour laquelle je ne suis pas allée à NOUS CHEZ VOUS à la télévision Canal 2 ce vendredi là. J’ai signalé au membre du COMICA que je ne participerai en toute politesse, mais bizarrement quand j’ai dit à l’un des membres du COMICA mon indisponibilité, il m’a juste répondu »Ok » sans toutefois savoir ce qui m’a poussé à démissionner. » a-t-elle ajouté.
Entre désillusion et peur, Carelle Ntolo a donc décidé de se retirer pour sauver sa peau. Selon elle, il n’y a plus de mérite dans cette compétition: « Je croyais que c’est le mérite qu’on prônait , mais hélas, je me suis trompée . Sachez que toutes ses filles qui sont Miss et Dauphines , certaines ne méritent pas leurs places et ont emprunté certaines voies peu recommandables. Mon but est de toucher le public et que si ça peut s’arrêter ; ce genre d’histoire dans les concours de beauté car c’est de trop. ».
En voilà un scandale de plus auquel doit se résoudre de comité d’organisation du concours Miss Cameroun.
Information du Comité d’organisation du concours national de beauté. Audrey Nabila Monkam toujours titulaire de la couronne
La remplaçante d’Audrey Nabila Monkam (vainqueur de l’édition 2019 de la finale nationale Miss Cameroun) comme reine de beauté de “l’Afrique en miniature” sera connue… peut-être en fin 2021, ont informé mardi le comité d’organisation de l’élection Miss Cameroun (Comica) et le ministère des Arts et de la Culture (Minac) au cours d’une conférence de presse conjointe.
Généralement décrié pour la qualité de l’organisation de l’élection de la plus belle femme du Cameroun, le Comica espère offrir un spectacle de meilleure facture à la 15e édition du concours de beauté, qui se tiendra sous le thème: “la beauté au service de la santé”.
Pour arriver à porter la couronne nationale, les candidates devront d’abord être les meilleures au niveau des régions. Le Comica a organisé le processus de sélection en quatre grandes zones: le Grand Nord, dont la finale régionale est prévue du 25 février au 05 mars 2021 à Garoua; le Grand Ouest, qui gèrera sa finale régionale du 13 au 23 mai 2021 à Dschang; le Grand Littoral, où la finale régionale est prévue à Douala, du 15 au 25 juillet 2021; et le Grand Centre, qui départira ses prétendantes du 16 au 26 septembre 2021 à Yaoundé; avant la finale nationale à Yaoundé le 19 décembre 2021.
Le concours Miss Cameroun, initié par Ingrid Solange Amougou, est soutenu par le gouvernement, et reçoit généralement le parrainage de la Première dame du Cameroun, Chantal Biya.
Le comité d’organisation de Miss Cameroun a officiellement ouvert le concours pour le compte de l’année 2019. Parmi les nouvelles reformes, la prime de la prochaine gagnante passe considérablement à la hausse. Un joli pactole à empocher…
C’est officiel, le Comica a officiellement lancé miss Cameroun 2019, l’annonce a été faite par Solange Ingride Amougou. Cette nouvelle édition du plus prestigieux concours de beauté au Cameroun s’ouvre sous le thème « la beauté au service du sport et de la paix ».
Après avoir essuyé plusieurs polémiques lors de l’édition précédente, quelques petites reformes ont été effectuées afin de relever le niveau de la compétition et booster la motivation des participantes. A en croire le Comica qui a relayé l’information sur sa page Facebook, Miss Cameroun 2019 décrochera un lot de 5 millions de Fcfa, une voiture 4 X 4, un salaire mensuel et un appartement de fonction.
Les années précédentes, excepté sa couronne et hypothétiquement la modique somme d’1 million de Franc CFA la Miss ne gagnait pas grandes choses. Miss Cameroun se positionne ainsi enfin au standard des autres pays d’Afrique. Au Sénégal par exemple, la miss repart avec un salaire d’1 million 300 mille Francs CFA par mois, un véhicule avec chauffeur, 750.000 mille Francs CFA de frais de fonctionnement et un appartement de luxe.
La chambre des référés du Tribunal de première instance de Yaoundé a confirmé, ce 3 juillet, l’élection de Caroline Aimée Nseke comme Miss Cameroun 2017.
La juridiction avait été saisie en début d’année par Caroline Biloa Kounou, candidate malheureuse au concours désignant la plus belle fille camerounaise. Celle-ci demandait à la Cour de suspendre le mandat de la Miss Caroline Aimée Nseke.
Sur ce, la chambre des référés du Tribunal de première instance a jugé insuffisants les éléments de preuves fournies par la plaignante. Elle la condamne par conséquent aux dépens du procès.
Caroline Biloa Kounou avait engagé un procès en procédure d’urgence pour obtenir l’annulation de l’élection Miss Cameroun 2017 tenue le 30 décembre 2017 à Yaoundé. Elle reproche au Comité d’organisation de Miss Cameroun (Comica) de l’avoir enfermée dans les coulisses pour l’empêcher de se faire couronner après l’appel du numéro « 20 » dont elle était détentrice.
A sa place, c’est Caroline Aimée Nseke qui aurait été couronnée. Celle-ci gardera donc sa couronne en attendant l’issue du procès engagé au Tribunal de grande instance du Centre le 8 février. Pour cette autre procédure, Caroline Biloa Kounou demandait, en plus de l’annulation de l’élection Miss Cameroun 2017, un dédommagement pour le préjudice subi.
Chers « standers » qui me soutenez jour et nuit avant même le tournant historique du 30 juillet 2016 ; chères jeunes femmes camerounaises amies du même destin social ; chers jeunes frères camerounais protecteurs de votre nation ; chers ainés dans la construction d’un Cameroun debout et fier ; chers parents qui avez enseigné à vos enfants la dignité, la persévérance et l’innovation ; chers grands parents qui nous ont précédés dans la tanière Camerounaise et qui nous ont légué l’héritage des Lions Indomptables, des Lionnes Indomptables, c’est à chacun de vous que j’adresse cette lettre.
Le 30 juillet 2016, grâce à vos conseils stratégiques, grâce à vos encouragements, grâce à vos votes j’ai eu l’immense honneur d’être élue Miss Cameroun 2016. Une élection que j’ai accueillie avec beaucoup de joie et surtout beaucoup de sérieux car, j’avais compris alors que les Camerounais m’avaient choisi pour un but collectif, voire national et international. Ma seule et modeste personne n’était pas au centre de mon projet, mais c’est le Cameroun, le Grand Cameroun, les enfants et les femmes du Cameroun, c’est eux qui étaient, sont et seront toujours au centre de mon projet. J’ai tellement été honoré par votre élection que je ne pouvais que me donner en retour pour nos enfants, notre jeunesse et nos femmes. Un choix qui ne s’opposait pas aux missions régaliennes d’une Miss selon le «code de conduite» que le Comica m’avait fait signé à la veille du concours. Mais la roublardise juridique et le mensonge médiatique qui se sont tenus ce 26 janvier 2017 montre bien que le club du Comica sert ses propres intérêts et non celui du Grand Cameroun.
Je ne vous écris pas pour relayer ce que je considère comme un non événement. J’aimerai par-dessus tout vous réaffirmer ce que je vous avait promis le 30 juillet 2016 lors de ma prise de parole, ce que j’ai réitéré le 28 novembre 2016 dans mon communiqué de presse : je suis Julie Frankline Cheugueu, Miss Cameroun 2016 ; je ne serai devenue que peu de chose si je m’appuyais sur mon orgueil ; je ne serai devenue que peu de chose si je m’appuyais sur les ambitions mercantiles et immorales du Comica ; mais je suis devenue la femme que je suis parce que je m’appui sur tout un peuple. J’ai été choisi par les votes des Camerounais ; jusqu’à preuve du contraire, le Comica n’a pas démontré de manière irréfutable ce qu’il me reproche au point de me livrer une virulente vendetta et au point de prétendre me destituer d’une légitimité que je dois au peuple Camerounais. Cette attitude du Comica qui dure depuis plus d’une décennie ; cette attitude du Comica qui a emporté plus de cinq Miss Cameroun et de nombreuses dauphines qui, acculées, harcelées et meurtries ont baissé les bras et ont disparu de la face du peuple qui les avait élus ; cette attitude du Comica démontre qu’il existe un «petit Cameroun» et un «Grand Cameroun».
Le petit Cameroun c’est le groupuscule de quelques personnes qui, croyant qu’ils peuvent se jouer du peuple, se réunissent dans une petite salle, avec un petit nombre de personnes et de petites ambitions personnelles, afin de désigner une personne comme leur miss à eux.
Le Grand Cameroun c’est la foule immense des personnes qui ont fait le déplacement du palais de congrès le 30 juillet 2016 ; le Grand Cameroun c’est les millions de Camerounais qui ont voté ce jour-là ; le Grand Cameroun c’est les milliers de Camerounais qui soutiennent et accompagnent mes actions et mes projets au quotidien ; mais par-dessus tout, le Grand Cameroun c’est tout le peuple de Kolofata à Moloundou, de Bamenda à Yokadouma, et ce Grand Cameroun s’est choisi une Miss que personne ne peut lui retirer ; même pas moi-même.
Ainsi, par les man uvres du Comica, le trouble est semé dans notre nation. Je ne voudrais pas que vous soyez troublé, c’est pourquoi je vous dis tout ceci : il y a la miss du petit Cameroun que le Comica utilise comme étiquette commerciale tantôt ici tantôt là-bas pour les intérêts égoïstes de quelques personnes ; et il y a la Miss Grand Cameroun que le peuple appelle, accueille, envoie et soutien comme étendard citoyen et social pour aller jusqu’à Kolofata passer le nouvel an avec les familles victimes des affres de Boko-Haram et leur donner son temps, son amour et les dons du peuple.
Il y a la miss du petit Cameroun nommée par un comité de quelques personnes qui ont pris en otage l’avenir de jeune femme camerounaise, qui prétendent être seules législatrices et comptables de la moralité de la femme camerounaise et qui envoient à leur guise çà-et-là les miss et les dauphines pour des compétitions dont le crédit n’est compté que pour leurs seuls intérêts ; et il y a la Miss Grand Cameroun soutenue par le peuple, couronnée par les sourires et les soutiens du peuple parce qu’elle est une lionne indomptable, image d’une jeunesse camerounaise qui refuse que ses valeurs et son avenir soient confisqués par quelques individus rompus à l’appât du gain.
Il y a la miss du petit Cameroun qui veut simplement être miss pour elle et pour le Comica ; et il y a la Miss Grand Cameroun qui n’est Miss que pour que chaque jeune soit le changement qu’il souhaite, une Miss qui est Miss pour venir en aide aux enfants affaiblis, aux jeunes qui cherchent l’espoir et aux femmes abandonnées.
Et je voudrais vous le dire chers compatriotes, fans, amies de même destin social, frères protecteurs, ainés, parents et grands-parents : je ne lutterai pas pour l’insignifiant titre de miss petit Cameroun, car vous avez fait de moi la Miss Grand Cameroun. L’histoire retiendra que la Miss Cameroun élue le 30 juillet 2016 par le peuple, Julie Frankline Cheugueu, est devenue grâce à vous Miss Grand Cameroun ; couronnée par les soutiens du prend peuple et enveloppée de l’écharpe du Changement.
Le mouvement «Soyons le changement» que je porte a vu ses rangs grandir considérablement ces derniers mois. Cette association a été créée pour que mes compatriotes comprennent que chacun, avec le talent qu’il a peut aider les enfants affaiblis, les jeunes en quête d’avenir et les femmes abandonnées ; moi j’ai mis ma beauté extérieure et intérieure ; chacun peut y mettre le talent qu’il possède. «Soyons le changement» c’est la voix d’une jeunesse qui veut agir avec ses propres moyens et aider le Grand Cameroun à émerger. Cette association est portée par des Camerounais fidèles, courageux, talentueux et surtout humbles. Ils sont auprès de moi ici à Douala, ils sont à Yaoundé, Buea, Bamenda, Dschang, Maroua ; ils sont en Angleterre, au Maroc, aux USA, au Brésil, en Chine et plus encore. Ils ont cru en mois dès le début et se sont fédérés pour m’épauler et travailler avec moi. Nous travaillons en permanence, parfois 24 heures sur 24, pour un seul objectif, pouvoir apporter de l’espoir aux enfants affaiblis, à la jeunesse estudiantine et aux femmes affaiblis. Pour eux et pour vous, je dois continuer mon programme.
Après notre visite à Kolofata qui s’est très bien passé comme vous le savez, nous prévoyons organiser un match de gala à Douala à l’occasion de la journée mondiale du sport féminin ; un moment qui nous permettra également de parler du Cancer dont la lutte se commémore le même jour ; j’espère vous voir nombreuses et nombreux au Petit Terrain de Bonamoussadi, samedi le 04 février 2017 à 13h. Ce match servira aussi de cérémonie de lancement de la caravane de l’entrepreneuriat 2017 que nous préparons depuis décembre 2016 et dont le premier point d’arrêt se fera au cours de la semaine de la jeunesse. D’autres actions et d’autres projets sont déjà au programme et nous vous informerons à travers les médias que je remercie infiniment pour leur appui et la clairvoyance ; vous trouverez également mon agenda et le programme de Soyons le Changement sur ma page Facebook «Julie Frankline Cheugueu, Miss Cameroun 2016». Un site web est actuellement en construction et sera ouvert le 1er février aux adresses www.misscameroun2016.com et www.soyonslechangement.net, les deux pointant convergents vers le même site web.
Chers « standers » qui me soutenez sans relâche depuis le 30 juillet 2016 ; chères jeunes femmes amies du même destin social dans ce pays ; chers jeunes frères camerounais artisans de notre nation ; chers ainés dans la construction de ce Grand Cameroun uni, debout et fier ; chers parents et chers grands parents, pour vous et avec vous je continuerai ce projet de vie. Pour vous et avec vous je m’éloignerai des petites gens pour m’attacher aux grandes personnes que vous êtes toutes.
Femmes au foyer, jeunes assoiffés d’innovation et d’entreprise, Bayam-sellam, fonctionnaires, étudiants, lycéens, cultivateurs, artistes, habitants de nos villes et habitants de nos villages, anglophones et francophones, vous êtes le Grand Cameroun et moi, je continuerai d’être votre Miss.
N’attendons pas le changement, Soyons le Changement, Together we stand.
Fait à Douala le 28 janvier 2017
Julie Frankline Cheugueu, Miss Cameroun 2016
L’information a été révélée par le Comité d’organisation de Miss Cameroun jeudi, durant le lancement de la 13e édition dudit concours
La couronne et l’écharpe de Miss Cameroun 2016 seront désormais arboré par Minkata Akomo Michèle Ange Sandra, initialement sortie quatrième dauphine lors de la phase finale dudit concours tenue le 30 juillet 2016 à Yaoundé. Et pour cause, la gagnante du titre, Julie Cheugueu Nguimfack a été destitué par le Comité d’organisation de Miss Cameroun (Comica).
L’information a été rendue publique jeudi, 26 janvier 2017 par le Comité, durant un point de presse organisé pour le lancement de l’édition 2017 de Miss Cameroun qui se tiendra sous le thème «L’unité nationale au service de la paix et du développement».
«Minkata Akomo Michèle Ange Sandra, Miss Sud-Ouest 2016 et 4e dauphine Miss Cameroun arbore désormais l’écharpe et la couronne 2016, suite à la destitution de Julie Cheugueu Nguimfack», a écrit le Comica sur sa page Facebook.
La destitution de Julie Cheugueu survient quelques mois après une crise qui a divisé la concernée et le Comica suite à «un comportement irrévérencieux» de, l’alors, détentrice du titre Miss Cameroun. L’instance lui reprochait de ne pas tenir les engagements dus à son titre.
«Interpellée dans le cadre des préparatifs de la finale Miss Monde, elle a une fois de plus brillé par son absence au profit de ses occupations personnelles. Notamment, une marche sportive qu’elle préparait à Douala», avait indiqué la présidente du Comica, Ingrid Solange Amougou, dans une note publiée le 28 novembre dernier.
De son côté Julie Cheugueu, 24 ans, avait dénoncé, entre autres, le non-respect des clauses de son contrat.
Selon le Comica, la nouvelle Miss a été désignée du fait de la démission de la première dauphine et de l’indisponibilité des deuxième et troisième dauphines.
Je sais que ce texte est susceptible de déranger le confort intellectuel et la tranquillité mentale de certains mais je n’aurai jamais dit assez tant que la cause des femmes sera à défendre.
A force de vouloir protéger stupidement le Comica, les personnes chargées de la communication de cette structure finiront par étaler lamentablement les limites de cette organisation défaillante et moribonde. A en croire certains dires l’équipe du Comica est visiblement engagé dans une man uvre macabre dans le but de sauver l’image nauséeuse de leur entreprise.
Parlons de l’image du Comica sur le plan ethnique
C’est regrettable de lire çà et là des écrits que je qualifie de puérils de la part de certaines personnes proches de cette structure.
Des personnes mandatées par je ne sais quel diable sont montées au créneau pour nous faire entendre que ce sont les bamiléké qui veulent détruire le Comica en ayant en arrière-plan un certain Grégoire Piwolé ? Le Cameroun n’est pas le seul pays où il y a plusieurs compétitions de MISS, la concurrence encourageant l’excellence, pourquoi ne nous en accommodons pas ? Mais au fait de quelle image parle-t-on ?
Une image souillée par diverses dénonciations de proxénétisme sur mineures.
Une image fanée par des abus de pouvoirs allant jusqu’aux injures.
Une image décolorée par des multiples indignations de violences psychologiques sur mineures.
Une image altérée par des accusations de maltraitances sur mineures.
Une image défraichie par divers scandales de réclamations financières.
Une image noircie de ruptures à polémiques avec des anciennes Miss.
Une image pourrie par des multiples incongruités organisationnelles.
Une image abimée par des irrégularités structurelles et administratives.
Une image délavée par des clivages tribaux et déshonorants d’une structure qui se veut représentative.
Une image dénaturée par une mythomanie caractérisée, l’irresponsabilité et le mépris de la jeune femme.
De qui se moque-t-on à la fin ? Si vous arrivez à payer le silence de certaines personnes, sachez que vous n’allez pas aussi vous payer nos consciences, la conscience collective des jeunes femmes que nous sommes et qui en ont marre de la médiocrité et du chantage psychologique des gens. Vous pouvez enclencher le processus de sabotage contre la personne MICCA. Je milite contre la violence des femmes faites aux femmes. Je vous laisse libre court de dire ce qui vous plait mais sachez que je milite pour la cause de la femme.
L’art n’a pas de parti, vous ne pouvez pas payer ma conscience.
L’art milite pour la vérité, contre les abus, les injustices et les violences de tous genres. Il est très aisé de monter au créneau pour dire que le problème de Comica ce sont les Bamiléké. N’est-ce pas là un oxymore quand nous savons tous que les Bamiléké font partie intégrante de ceux qui sponsorisent cette structure ? Quelle dérision !!! Disons que soit il s’agit d’un mépris envers la Nation, soit alors c’est une analyse sélective.
Quand il faut aller chercher les capitaux à l’Ouest pour dynamiser Comica tout va bien et dès qu’on pointe du doigt de flagrants manquements du Comica l’Ouest devient l’ennemi à battre. Honte à ceux qui le disent, honte à vous.
Nous évoluons dans un contexte comportemental ou personne n’assume jamais ses erreurs, mais nous voulons le changement. Nous voulons le changement mais nous ne devons jamais parler même quand ça pourrit. Arrêtez, je dis stop !!!
Parlons du Comica sur le plan éthique
J’amorcerai ainsi mon propos. De source bien introduite, il semblerait que Comica fait signer des contrats à des mineures sans consulter ni rencontrer leurs parents. Il semble par ailleurs que la Miss 2010 alertait déjà sur le caractère proxénète du Comica et Mme Amougou avait alors confisqué le principal prix (la voiture) parce que la jeune fille avait refusé d’honorer à un rendez-vous qui lui avait été fixé par je ne sais quelle mère maquerelle quelque part dans un lieu lugubre de Yaoundé.
La 1ere dauphine Audrey Aboula a démissionné de ses fonctions, un comité de discrédit a vite fait de prendre la parole pour étouffer ce qu’elle aurait pu dire. Pourtant les signes ne trompent pas. La déchéance au sein du Comica est irréversible. Une banqueroute morale étant difficilement surmontable, le Comica par ces nouveaux scandales offre sa tête à l’échafaud. Ce n’est ni par les menaces ni par le chantage envers ces jeunes femmes courageuses qui ont décidé enfin de rompre le silence qu’on taira les Camerounais sur cet autre scandale de trop qui égratigne notre conscience et empoisonne nos m urs.
La présidente du Comica est venue remettre en question la probité morale d’une MISS qui représente l’image de la jeune femme Camerounaise. J’ai analysé son propos sous trois angle
Premièrement : N’est-ce pas là un aveu d’incompétence de la part du jury ? Je me questionne quand je sais que ces miss sont misent en examen et qu’elles passent des semaines entières avec ce comité avant d’arriver en finale. Le Comica voudrait donc nous faire comprendre qu’il a couronné une jeune fille de moralité ou de mentalité douteuse ? Je n’ai toujours pas su comment interpréter les propos de la présidente Comica. Je ne fais que me questionner, ne m’en voulez pas c’est mon cerveau qui est en intense activité.
Deuxièmement: Si le Comica à qui nous sommes supposé faire confiance, ne fait déjà pas confiance à ses MISS pour quelle raison devons-nous continuer à faire confiance au Comica ? Vous-même vous ne croyez pas en vos produits marketing et vous voulez que la nation vous fasse confiance ? Quelle ironie !!! Voilà à quel prix l’image de la femme camerounaise est vendue sur le marché international par ses propres responsables. Comment êtes-vous étonnés que le visa de France ait été refusé à la précédente MISS ? A un moment il faut se poser les bonnes questions.
Troisièmement: Je me demande s’il était donc plus aisé pour la présidente du Comica de se désengager de toutes responsabilités en livrant la petite Julie Frankline Cheugueu Nguimfack en pâture. Quelle est donc la sécurité et la protection offerte à nos jeunes cadettes si face à la première difficulté elles sont livrées à la vindicte populaire ? La voilà donc malade, puisse le ciel qu’il ne lui arrive rien. S’il arrivait quoi que ce soit à cet enfant le Comica aura des comptes à rendre au peuple Camerounais.
Je ne puis taire ma désolation, de voir les images de la « toute puissante » fille de la présidente du Comica qui au nom de sa mère et du Comica s’offre la liberté d’insulter fièrement le cadavre de la maman d’une compatriote en la comparant avec celle de sa maman qu’elle dit être puissante. Le prix investit dans l’éducation de nos enfants se trouve tout dévoilé. Comment peut-on éduquer un enfant si nous-mêmes manquons d’inculquer des profondes valeurs dans la vie des nôtres. Pathétique !!! Si dans les réseaux sociaux cet enfant peut se permettre de pousser si loin le bouchon je me demande dans le vécu réel ce que vivent les Miss au quotidien.
Bravo, rien à redire, vous êtes à encourager votre travail est juste parfait, les faits parlent d’eux.
La jeunesse est debout et de tout c ur avec ces jeunes femmes qui subissent au quotidien des injustices sans que l’on ne s’en émeuve !
MISS Cameroun ou Cameroon MISS sont des organisations désormais nationales et leur gestion doit être questionnée par l’ensemble des Camerounais.
Non, « le silence on tourne » est terminé et vous serez désormais mis devant l’histoire face à vos actes ! Tenez-le pour dit !
A l’occasion du lancement des activités de la 12e édition, mercredi, le comité d’organisation a annoncé la tenue de la compétition pour le 30 juillet 2016
L’élection de la miss Cameroun 2016 est fixée au 30 juillet 2015. Telle est l’annonce qu’a faite mercredi, 27 janvier 2016, le comité d’organisation dudit concours national. C’était à l’occasion du lancement des activités de la 12e édition de l’évènement culturel national.
Selon le comité d’organisation, il est prévu des présélections régionales sur l’étendue du territoire camerounais. Les premières se dérouleront à Ngaoundéré, le 20 février 2016, pour les régions du Grand-Nord. Ensuite se sera au tour de la région du Littoral de procéder aux présélections, le 20 mai à Buéa, avant que le Centre, Sud, Est ne clos la séance le 29 mai 2016.
Pour participer à cette compétition de la beauté, les camerounaises âgées de 17 à 27 ans devront s’acquitter d’une somme de 10.000 FCFA, représentant les frais d’inscription.
Cette édition est placé sous le thème « l’unité nationale au service de la paix et de la sécurité », à travers lequel, le Comité d’organisation miss Cameroun (Comica) rend hommage aux victimes de la secte Boko Haram.
Jessica Ngoua Nseme, la miss Cameroun 2015Droits réservés)/n
Présente à l’élection de Miss Côte d’ivoire 2011, elle a voulu passer un message de paix à l’endroit des ivoiriens qui sortent de la guerre civile
Miss Cameroun 2011 a invité les ivoiriens à se réconcilier pour reconstruire leur pays dévasté par une longue période guerre civile. « Je demande aux Ivoiriens de s’unir, de s’accepter, d’oublier leurs différences. Car, ce sont leurs différences qui font de la Côte d’Ivoire ce qu’elle est. Et c’est cette différence qui fait de nous Africains, ce que nous sommes » a fait savoir Ngnangouet Sophie Christine (22 ans). Les mêmes v ux elle les a aussi formulés pour une Afrique qui doit aller de l’avant. «Je souhaite que le bonheur, la paix et la réconciliation soient dans votre pays et aussi dans toute l’Afrique. Notre Afrique veut aller de l’avant» a ajouté la jeune camerounaise. Son dernier propos enfin elle l’a adressé à l’endroit des martyrs. «Il y a des martyrs qui meurent pour que la démocratie prenne forme en Afrique. Pour eux, j’aimerais que nous priions pour que leurs âmes reposent en paix à chaque fois que nous invoquerons le nom de Dieu » a-t-elle terminé. Miss Cameroun à prononcé ces phrases dans la salle de la fondation Félix Houphouet Boigny à Yamoussoukro, la capitale politique ivoirienne. Elle répondait à une invitation du comité d’organisation miss Côte d’ivoire. Avec Sophie, étaient présentes, Miss Congo 2010, Togo 2010, Cameroun 2011, Guinée 2011 et Miss Naïades 2010.
L’entraide entre peuples africains, c’est aussi cette raison qu’Ingrid Solange Amougou la promotrice de l’évènement Miss Cameroun a avancé pour justifier ce déplacement. « Spécialement pour cette édition de 2011, nous sommes venues pour soutenir M. Victor Yapobi et par rapport à la crise qu’il y a eu. Parce qu’entre nous, Africains, nous devons nous entraider. Et nous souhaitons que la paix règne et que le peuple oublie ce qui s’est passé. Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire », a-t-elle indiqué au site d’information Abodjanonline.net. C’est au mois d’août que Ngnangouet Sophie Christine 22 ans, a eu le titre de Miss Cameroun 2011. Elle succédait à Marie Barbara Matagnigni qui lui a remis elle-même la couronne. Après son élection, elle avait promis de se battre pour encourager les jeunes camerounais à participer aux élections. Pour l’instant, le bilan de la miss sur le processus des inscriptions n’est pas connu. On l’attendra encore sur le terrain du vote.
Ngnangouet Sophie Christine, miss Cameroun 2011Bonabéri.com)/n
Sophie Christine Ngnangnouet, 2e dauphine de la région de l’ouest, a succédé à Marie Barbara Matagnigni au terme d’une longue soirée de finale
Joies, pleurs, rires, mais aussi beaucoup de politique, le cocktail de l’élection Miss Cameroun 2011 aura été dense. Mais au final, c’est la beauté qui l’a emporté. Pour la deuxième année consécutive, c’est la région de l’ouest qui est à l’honneur. Et pour la deuxième fois consécutive aussi, c’est une deuxième dauphine qui est érigée au plus haut niveau de la beauté camerounaise. Ngnamgouet Sophie Christine était totalement en larmes. Sa victoire est avant tout, l’histoire d’une confusion heureuse. Elle est envoyée sur le podium comme troisième dauphine dans un premier temps. Le jury constate l’erreur en même temps que le public venu très nombreux. On la prie de quitter la scène, mais le meilleur restait à venir. Comme dans un souffle, son nom est prononcé une fois encore, mais cette fois au titre de Miss Cameroun 2011. C’est une grosse explosion de joie pour son fan club venu en grand nombre, et pour Sophie des larmes de bonheur, qu’elle avait du mal à contenir. Je suis pleinement satisfaite mais je dois dire que j’ai bénéficié du travail des meilleurs donc je ne peux qu’être satisfaite ce soir a-t-elle déclaré encore émue. Agée de seulement 22 ans, celle qui représente le nouveau visage de la beauté camerounaise, est étudiante en troisième année de droit à l’université de Dschang, située dans l’Ouest du pays. Elle a été choisie finalement, parmi 27 candidates. Les dauphines de Christine au nombre de quatre, sont de la quatrième à la première, Bengono Edith Thérèse Marie, première dauphine de la région du Sud, Choumkeu Badji Karel, la première dauphine de la région de l’Ouest, Esama Ngono Odile la miss région du Centre et enfin, Djohenda Tosi Raïssa, miss extrême nord.
Les délibérations auront été difficiles. plusieurs fois, Ingrid Solange Amougou, la promotrice du concept, va se rendre à la table du jury. Je voulais leur mettre la pression pour qu’ils se décident vite, il se fait déjà tard, comme vous pouvez le constater, va-t-elle se justifier plus tard. Mais en réalité, les standards d’organisation de ce type d’évènement l’interdisent. Après la désignation des dix finalistes, des contestations se sont fait entendre dans la salle. Certains n’ont pas manqué de crier à la manipulation des résultats. Cela est souvent arrivé, surtout avec Miss Cameroun. La confusion peut être d’autant plus grande que le présentateur de la soirée a annoncé que des personnes avaient eu la possibilité de voter par internet, en suivant soit la radio, soit la télévision. Le résultat des votants par SMS n’a pas été rendu, pas plus que le détail des observations du jury. Mais au-delà de la controverse, Sophie Christine semble s’imposer d’elle-même. Peut-être l’assurance caractéristique des juristes, peut-être alors tout simplement l’héritage génétique de sa beauté. Dans son programme, la jeune Sophie ne manque pas d’ambition. Je souhaite aller dans les coins les plus reculés du Cameroun pour demander aux jeunes de s’inscrire sur les listes électorales, afin qu’ils puissent décider du choix de leur dirigeant a-t-elle déclaré. Un projet que partageait toutes les candidates.
Sophie Christine Ngnangnouet,miss Cameroun (Au milieu)Journalducameroun.com)/n
Le jury de miss Cameroun devra choisir entre 22 candidates ce vendredi 5 août pour remplacer Marie-Barbara Matagnigni, miss Cameroun 2010
Elles sont une vingtaine de candidates qui seront en compétition. L’élégance, le courage, le dynamisme, le naturel, l’intelligence mais surtout la beauté seront les critères de sélection pour ce concours qui s’annonce « très serré». « Jeunesse camerounaise et citoyenneté » tel est le thème de cette édition qui n’a pas été choisi par hasard. La particularité de cette édition est qu’elle intervient en année électorale : La présidentielle, qui est dans notre système politique la « mère » des élections. Cet évènement majeur dans la vie de notre pays a inspiré le thème de miss Cameroun 2011 confie Ingrid Solange Amougou, présidente du Comité d’Organisation de Miss Cameroun (COMICA). Comme innovation, le Comica a initié une chorégraphie baptisée « Passage électoral ». C’est pour sensibiliser les jeunes à éviter la violence après l’élection présidentielle de cette année. En plus, en partenariat avec un sponsor, le public pourra prendre des photos avec la miss Cameroun 2010 et celle de 2011. Un podium est prévue à cet effet et les cartes photos seront remises gratuitement. Une autre particularité qui n’est pas à négliger c’est la sortie d’un single dans lequel on retrouve l’hymne de miss Cameroun. Les artistes, à leur manière ont voulu célébrer la beauté camerounaise en chanson. Ne voulant pas dire avec exactitude les prix que recevront les élues (la miss et ses dauphines) faute de manque de sponsoring, madame Solange Amougou a relevé qu’elle a fait de son mieux, elle souhaite que l’évènement se déroule pour le mieux. Excepté certaines candidates, tout est enfin prêt pour une soirée inédite candidates du Nord ne se sont pas déplacées à cause du ramadan qui a commencé. Certaines ne pouvaient pas tenir à cause du rythme du travail. Nous sommes prêts à 90%. déclare Joli Mike Behalal, le directeur artistique du Comica. Le rendez-vous est donc pris pour ce soir pour savoir qui remplacera Marie-Barbara Matagnigni mais une chose est sûre toutes ces filles ont toutes la même intention: Gagner.
Liste des finalistes.
1. Marcelle Natacha Nambe Adda, 1ère dauphine Est : 1m76, 20 ans, étudiante en 2ème année psychologie à l’Université de Yaoundé I.
2. Sophie Christine Ngnangouet, 2ème dauphine Ouest : 1m75, 22 ans, étudiante en 3ème année droit à l’Université de Dschang.
3. Odile Prudence Essama Ngono, Miss Centre : 1m77, 22 ans, étudiante en master I en relations internationales à l’Iric.
4. Odette Appolonie Amougou Mfegue, prix spécial du jury Centre : 1m72, 27 ans, étudiante en cycle doctorat en droit à l’UCAC (Université Catholique d’Afrique Centrale).
5. Linda Njie Limunga, 1ère dauphine Sud-ouest : 1m70, 18 ans, étudiante en 1ère année droit à l’Université de Buéa.
6. Sandrine Aboh, Miss Nord-ouest : 1m80, 22ans étudiante en DEA droit à l’Université de Yaoundé 2.
7. Edith Thérèse-Marie Bengono, 1ère dauphine Sud : 1m85, 20ans, étudiante en 3ème année au CUSS.
8. Carine Fri Fon, 1ère dauphine Nord-Ouest : 1m78, étudiante en master II en banque et monnaie à l’Iric.
9. Marie Corinne Engando, 2ème dauphine Centre : 1m77, 21ans, étudiante en 1ère année droit à l’Université de Yaoundé II Soa.
10. Mack Louise Mileine Essangui, Miss Littoral : 1m72, élève en classe de terminale A4 espagnol.
11. Elone Cynthia Emode, Miss Sud-ouest : 1m75, 20ans, étudiante en 2ème année Economics à l’Université de Buéa.
12. Marie-Noëlle Houma, 1ère dauphine Adamaoua : 1m72, 24ans, 2ème année sociologie.
13. Jeannine Linda Alima Epee, 2ème dauphine Littoral : 1m72, 20ans, élève en classe de terminale A4 espagnol.
14. Annita Mponge Njume Apang, 1ère dauphine Sud-ouest : 1m75, 20ans, étudiante en 1ère année marketing à l’ESSEC.
15. Elvis Renée Nter Maviane, Miss Sud : 1m75, 24ans, étudiante en 4ème année droit linguistique africaine à l’Université de Yaoundé 1.
16. Karel Choumkeu Bandji, 1ère dauphine Ouest : 1m87, 19ans, étudiante en 2ème année droit, Université de Yaoundé II.
17. Raïssa Djohenda Tosi, Miss Extrême-Nord : 1m83, 21ans, étudiante en 3ème année biologie, Université de Ngaoundéré.
18. Emilie Fotsa Mbouya, Miss Ouest : 1m73, 20 ans, étudiante en 2ème année Marketing à l’UCAC.
19. Dorice Lolita Mboam, Miss Est : 1m76, 20ans, étudiante en 2ème année Allemand à l’Université de Yaoundé I.
20. Blanche Melling Mballa Ndiang, 1ère dauphine Centre : 1m81, 19ans, étudiante 2ème année biologie végétale, Université de Yaoundé I.
21. Larissa Belise Djapa Nkwecheu, 2ème dauphine Sud : 1m77, 21 ans, 2ème année sciences économiques, de l’Université de Yaoundé II.
22. Charlotte Justine Moukouri Ndomé, 1ère dauphine Littoral : 1m72, 20ans, étudiante en 2ème année management à l’Université Catholique de Buéa.
Qui remplacera Marie-Barbara Matagnigni, miss Cameroun 2010?Journalducameroun.com)/n
La grande soirée de finale a lieu ce 10 avril au palais des congrès, 21 candidates sont en compétion
21 filles en compétition
C’est ce samedi 10 avril 2010, à partir de 21 heures au palais des congrès de Yaoundé que débutera la grande soirée finale de l’élection Miss Cameroun malgré de nombreuses difficultés et contretemps. au total 21 candidates, réparties en 7 grands groupes régionaux. Nous avons augmenté le nombre de régions cette année, pour donner plus de chances aux jeunes camerounaises. Et comme cette édition coïncide avec la célébration du Cinquantenaire, nous avons souhaité une représentation la plus large possible affirme Roger Mbouombouo, le Directeur Général du COMICA. Pour la découpe, le comité s’est inspiré des anciennes divisions administratives du Cameroun. 7 grandes régions, le Grand Centre-sud, le grand Nord (Adamaoua, Nord et Extrême nord), l’Est, le Littoral, l’Ouest, le Sud-ouest et le Nord-ouest. Le concours mettra en relief les quatre aspects Classiques. Les candidates défileront en tenues de ville, traditionnelle, olympique et soirée. Elles seront aussi jugées sur leur capacité à s’exprimer dans leurs langues traditionnelles.
Hommage à de nombreuses personnalités
Pour cette édition, le comité a voulu rendre hommage à deux grands noms de la scène internationale. Un premier hommage sera rendu à Michael Jackson, les candidates exécuteront une chorégraphie à la Jackson. Une originalité selon les organisateurs. Toute cérémonie d’envergure qui se respecte devrait rendre hommage à ce grand artiste qui représentait en quelques sorte la diaspora africaine toute entière déclare-t-on du côté du Comica. Le deuxième hommage sera rendu à Marc Vivien Foe. Les candidates effectueront une danse d’hommage sur un fond de musiques urbaines. Marc Vivien a été l’un des premiers parrains de l’élection Miss Cameroun version Comica.
De nombreuses récompenses pour la Miss
Les récompenses pour la futur Miss seront nombreuses. Nous tenons à dire merci à tous nos partenaires, qui continuent de croire en nous, malgré toutes les difficultés. Selon quelques indiscrétions qui ont été données au site Journalducameroun.com, une enveloppe avec une somme considérable sera remise à la gagnante. Autres cadeaux, des billets d’avions, un écran plasma, une année de soin de beauté, un abonnement internet d’un an et un mois en Afrique du sud. «Le monde doit découvrir notre miss et cela tombe bien que la coupe du monde soit cette année » affirme-t-on du côté du COMICA. Mais la question demeure constant qui sera la Miss ? Au Cameroun, ils répondent tous : Ca va se savoir ! c’est depuis 2002 que l’élection Miss Cameroun est gérée par le COMICA.
Qui sera miss Cameroun 2010?Journalducameroun.com)/n
L’élection de samedi dernier est diversement appréciée par le public
La nouvelle Miss Cameroun est connue depuis le samedi 16 mai 2009 au terme d’une élection qui s’est tenue au palais des congrès de Yaoundé. C’est finalement mademoiselle Anne Lucrèce Ntepp qui finira par être élue Miss Cameroun devant les 14 autres candidates. La jeune étudiante en lettres bilingues de l’université de Yaoundé I, originaire de la région du centre Cameroun, devra donc représenter son pays dans divers évènements inscrits dans son agenda. La nouvelle Miss devra entre autres, combattre la frivolité, le mauvais usage de l’internet dans les campus universitaires et les établissements scolaires de son pays, sensibiliser les jeunes contre le phénomène de sponsoring qui minent les milieux des jeunes, surtout les filles. Bref servir de modèle pour la jeunesse camerounaise. La nouvelle Miss Cameroun reçoit comme récompense, un véhicule de fonction offert par l’un des partenaires de cet évènement, un million de francs CFA offert par une banque de la place, 52 semaines de soins de beauté dans un centre de soins de beauté évalué à 25000 francs par séance, un ordinateur portable, un écran plasma deux nuitées dans un grand hôtel de Yaoundé, six mois d’apprentissage en esthétique en côte d’ivoire, dans un centre de beauté offerts par madame Félicité Allou épouse de l’ambassadeur de côte d’ivoire au Cameroun.
Mais il faut dire que la nouvelle Miss n’est pas encore rentrée en possession de tous ces cadeaux. Selon le Comité d’organisation de miss Cameroun(COMICA), tous ces prix et autres avantages seront remis à la Miss et à ses trois dauphines au cours d’une cérémonie prévue dans un délai d’un mois sans aucune autre précision. Depuis ce lundi matin 18 mai 2009, la presse et le public camerounais ont des points de vue divergents sur cette élection qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive. D’abord le retard. Selon nos confrères du quotidien privé Mutations, c’est autour de 2 heures du matin que le public découvre la nouvelle Miss après de longues heures d’attente. L’annonce est ainsi faite par l’épouse de l’ambassadeur de côte d’ivoire au Cameroun choisie par le Comica pour présider le jury de cette édition 2009, pourtant placée sous le haut patronage du ministère de la culture du Cameroun. Par ailleurs l’on a été surpris de voir trois dauphines alors que généralement, la Miss est souvent entourée de deux dauphines. D’autres interrogations sont venues de la communication faite autour de la Miss Cameroun 2009.
L’absence d’une communication efficiente autour de cet évènement national, qui engage l’image de marque du Cameroun, est venue amplifier la polémique. L’âge exact de la Miss prête à confusion. Le Quotidien gouvernemental Cameroon Tribune édition de ce 18 mai 2009, affirme que la jeune Miss est âgée de 21 ans. Au journal télévisé du 17 mai 2009 à 20h30 à la télévision nationale (CRTV) on a parlé de 23 ans. Voilà donc une communication approximative qui risque de ternir l’image d’un évènement qui fait partie du patrimoine culturel national. Déjà au cours de l’édition précédente la présidente du Comité d’organisation de Miss Cameroun, est entrée en guerre contre Miss Cameroun 2008, à qui l’on avait retiré la voiture à lui offerte après son sacre. L’affaire avait fait des vagues dans les médias nationaux. C’est au cours cette soirée du palais des Congrès que l’on apprendra que Mademoiselle Joëlle Audrey Amboagué, Miss Cameroun 2008, a enfin repris les clés de la voiture (Renault Logan) qu’avait confisqué la présidente du Comité d’organisation de Miss Cameroun. On espère que tous ces malheurs ne seront pas vécus par la nouvelle Miss et ses trois dauphines, qui ne savent même pas jusqu’ici quand elles rentreront en possession de tous leurs Cadeaux. Puisque la remise de ceux-ci devrait avoir lieu dans un mois, comme l’écrit notre confrère Sainclair Mezing du quotidien privé Mutations.
Elle devance Damarys Ngambe, Hulde Yanimbong et Ngufor Ethel Ngum, ses trois dauphines.
Son éloquence, sa grâce, son bilinguisme et son naturel ont séduit le jury et le public. Anne Lucrèce Ntep, originaire de Bakélébah dans le département du Nyong-Ekéllé, est à sa première participation dans un concours de beauté. Elle est étudiante en lettres modernes à l’université de Yaoundé I. Elue Miss Centre 2009, son couronnement régional n’avait pas souffert de contradiction et il en sera de même de celui qu’elle a reçu samedi 16 mai dernier au cours de la soirée organisée conjointement par le Comité Miss Cameroun (Comica) et l’Agence Proximity. Le jury était présidé par l’épouse de l’ambassadeur de Côte d’ivoire au Cameroun, madame Allou Biti Wanyou.
En dehors des traditionnels passages en tenue de ville, tenue traditionnelle, maillot de bain, les candidates ont été notées sur leur psychologie, leur beauté, leur intelligence et surtout la culture générale liée à leur domaine.
Agée de 20 ans et originaire de la province de l’Est, Audrey Amboagué, miss Cameroun 2008, est étudiante en 2ème année à la faculté des sciences économiques et de gestion de l’université de Yaoundé 2. Elle avait remporté la couronne face à Solange Ngo Honla (1ère dauphine), Agnès Anita Awana (2ème dauphine, qui quelques mois plus tard remportera le titre de miss naïades 2008) et Dominique Pomboura Ngou, (3ème dauphine).
A titre d’information, sa couronne vaut 1,5 millions de Fcfa.
Ntep Anne Lucrèce, nouvelle miss Camerounmisscameroun.org)/n