Par le Frontline Fighters for Citizens Interests (FFCI)
Le FFCI (Frontline Fighters for Citizen’s Interests) lance un appel à mobilisation à la faveur de la journée internationale des droits de l’homme le 10 décembre 2016 et classe cet évènement sous le signe de la manifestation en vue d’attirer l’attention des autorités publiques sur l’état des dégradations dangereuses des chaussées de nos routes, en particulier du tronçon Babadjou – Bamenda complètement défoncé.
Si depuis des années cette route est aussi dangereusement dégradée, cela est du non pas à l’absence de moyens financiers, mais à l’insouciance, à l’incurie et à l’absence de volonté politique des autorités.
L’importance d’une route reliant deux régions n’est plus à démontrer compte tenu des institutions qui, de part et d’autre, prodiguent des services très courus aussi bien dans le domaine de la santé que dans d’autres.
Notre marche ira de Babadjou à Bamenda, à partir de 08h du matin.
Tous les usagers, habituels ou non sont invités à ce grand évènement dont déclaration est ainsi faite.
Date : 10 décembre 2016 Heure : 08h – départ de Babadjou vers Bamenda Heure : 08h – départ de Bamenda vers Babadjou
Par Franklin Mowha, président national du Frontline Fighters for Citizens Interests (FFCI)
Le FFCI (Frontline figthers for citizen’s interests) association de défense des droits humain, vient d’être saisie par Madame Nana Nya Xaverie, d’une situation à très haut risque et invivable dans laquelle, elle a été plongée par un poteau électrique de la société Eneo-Cameroun dans la capitale économique du Cameroun à Douala, au quartier Yassa, zone dite Arie, situé près de la société aquavita il y’a un peu plus d’un mois. Le poteau électrique tombé, traine le câble électrique ravitaillant les riverains sur la toiture de sa modeste maison familiale et de celle ses voisins empêchant ainsi l’accès et la jouissance totale de ceux-ci.
Alertée par cette situation, Frontline figthers for citizen’s interests a effectué une descente inopinée sur le lieu notamment ce jour le 06 Octobre 2016 à 15h12min pour s’enquérir de la gravité de la situation. A notre arrivée, nous constatons un poteau électrique jonchant le sol et trainant un câble électrique connecté au réseau Eneo. Il faut noter que plusieurs domiciles sont en danger permanent d’électrocution et d’incendie depuis plus de 30 jours.
Joint au téléphone, l’un des voisins le plus proche à la personne de Metchinda Serge dit avoir informé Eneo à son agence de Ndogpassi 3 dans la nuit du drame, ainsi que d’autre victime le nommée Tankwa Faustin. Nous constatons ensemble que ceux-ci n’ont dénié épargner ces victimes du danger qui persiste.
Frontline figthers for citizen’s interests s’inquiète de l’insécurité dans lequel nous avons constaté, et demande à l’autorité Camerounaise de prendre des mesures les plus urgentes afin d’épargner sans délais ces malheureux victimes qui vivent la peur dans le ventre et ne sont pas écoutés.
Par Mowha Franklin, président national du Frontline Fighters for Citizens Interests (FFCI)
Nous portons l’attention de l’opinion nationale et internationale que notre organisation, FFCI (Frontline Fighters for Citizen’s Interests), vient une fois de plus d’être victime d’une exaction.
En effet dans la soirée du 28 septembre 2016, aux environs de 21 heures, un de nos membres en la personne de Me Nouayou Edy Michel né le 24 octobre 1979 à Moudjo, a été violemment agressé et poignardé à plusieurs reprises au niveau de l’omoplate gauche au lieu-dit « Montée Boulangerie départementale à Tougang-Ville à Bafoussam » par une personne non identifiée, qui s’est fondu dans la nature juste après son forfait.
Alerté, M. Mowha a pris toutes les dispositions pour conduire l’infortuné aux urgences de l’Hôpital régional de l’Ouest à Bafoussam où il est admis en soins intensifs et devrait subir dans les prochaines heures des examens approfondis afin qu’il soit déterminé la gravité de ses blessures.
Nous sommes autant inquiets que quelques minutes avant cette barbarie perpétrée à l’encontre de ce membre de FFCI, il venait de quitter l’Hôtel Le Président de Bafoussam, où quelques minutes plutôt il était en séance de travail avec le président national de cette organisation.
Par Frontline fighters for Citizen Interests (FFCI)
Frontline fighters for Citizen Interests (FFCI) informe l’opinion publique nationale et internationale qu’en dates des 10, 12 et 18 janvier 2016, la Commission des Droits de l’Homme et des Libertés (CNDHL), par son représentant régional Ouest, M. Paul Tizanou, a rendu visite à son président Mowha Franklin, incarcéré depuis le 6 décembre 2016 à la Prison Centrale de Bafoussam pour six mois fermes, en exécution d’un mandat d’arrêt du TPI de Bafoussam datant de 2012.
Sous haute instruction du Dr Chemua Banda Divine, Président de la CNDHL, un appui financier a été accordé à la famille Mowha pour soutien à la scolarité de ses quatre enfants mineurs, résidant toujours à Bamenda avec leur mère depuis décembre 2013 !
Monsieur le Président, Je viens comme doyen, un titre honorifique que certains détenus ont bien voulu me conférer, agissant en cette qualité pour essayer de faire valoir les intérêts de mes codétenus. Il y a quelques jours, à l’occasion de votre discours de fin d’année aux Camerounais, certes vous vous êtes penchés sur les sujets d’actualités de notre pays, notamment les exactions dans lesquelles nous nous trouvons du fait de la secte Boko Haram, un combat dans lequel vous n’êtes pas seul.
Tous les détenus sont avec vous. Il y a des familles qui ont perdu leur maisons et d’autres êtres chers, et ont été forcés de quitter leur village sans repère fixe. Nous leurs apportons non seulement notre compassion mais également nous nous voulons par cette occasion féliciter les différents comités de vigilance pour le courage dont ils font montre dans cette guerre dont le bilan est aujourd’hui catastrophique.
La remise des peines est, Monsieur le Président, longtemps attendue par les détenus. Pendant ces moments très difficiles en prison, il me plaît d’attirer votre attention sur le souhait des détenus quant à ces remises prévues mais laissées en suspens sans raison valable.
Je vous implore d’intervenir en votre qualité de Président de la République du Cameroun, non pas pour que je sois relaxé de mes peines à cause de mon militantisme en faveur des droits humains à ce jour. Je me charge simplement de faire en sorte que la voix de mes codétenus soit entendue.
Dans cette attente, je vous prie de croire, Monsieur le président, à l’expression de la très haute considération.
Frontline fighters for citizen interests (FFCI) informe l’opinion publique national et internationale que son président national, M. Franklin, est, depuis bientôt quatre semaines, incarcéré à la prison de Bafoussam, en exécution d’un mandat d’arrêt du TPI de Bafoussam pour un jugement rendu en . 2012 ! (N° 1618/Cor du 16/08/2012).
Alors qu’il vaquait à ses occupations habituelles de défenseur des droits humains dans la région Ouest (notamment pour une affaire d’assassinat d’une mineure dans une sordide affaire de trafic d’organes humains à des fin rituelles), le président Mowha s’est vu interpellé par le CSP de Bangangté et transféré 24 heures plus tard au parquet d’instance de Bafoussam puis au centre pénitentiaire de la ville.
Il est reproché au président Mowha le délit de « Violences à fonctionnaire en exercice et rébellion » (sic), ce que l’intéressé ne reconnaît guère jusqu’à présent. Alors que le jugement qui le conduit en prison est « réputé contradictoire », le président Mowha ne cesse de clamer qu’il n’a jamais comparu pour pareille affaire.
En attendant que ses conseils juridiques ne voient un peu plus clair dans cette nouvelle détention (qui survient quelques mois seulement après une précédente de 18 mois particulièrement éprouvante voulue par le tribunal militaire de Bafoussam et dans laquelle la justice militaire s’est bien gardée de mettre au clair le jeu trouble du Chef Supérieur Bangangté dans l’affaire), FFCI s’interroge déjà sur la probabilité élevée d’un nouveau règlement de compte contre son remuant président national.
Pour l’heure, le président Mowha partage la même cellule avec Tenekam Pierre, présumé criminel de l’affaire du meurtre cité en début de ses lignes. On se rappelle qu’au sujet de cette affaire, il avait écrit au Sous-préfet de Bafoussam pour une manifestation publique de dénonciation de crimes rituels récurrents dans la région. Evidemment, la manifestation avait été interdite.
Par Mowha Franklin, Président National du Frontline Fighters for Citizen’s Interest (FFCI)
Excellence Monsieur le Président, au nom de l’organisation FFCI (Frontline Fighters for Citizen’s Interest) dont l’objet est la défense et la sauvegarde des droits citoyens, nous avons l’honneur de porter à votre connaissance les violences et autres exactions subies de façon continue par monsieur Ndjoumegni Vincent et expulsé par le colonel Wankam Marius d’une manière totalement injuste de son domicile qu’il occupe de façon continue et qu’il a acquis par voie successorale.
Monsieur le président,
Monsieur Ndjoumeni occupe un lopin de terre immatriculé à son profit suivant titre foncier N° 2238 délivré le 14 février 2008 par le conservateur foncier de Bangangté. Ce terrain est totalement mis en valeur et a fait l’objet du jugement en sa faveur N°202/COR du 23 juillet 2013 par la cour d’appel de l’Ouest à Bafoussam. Ce jugement a été rendu par:
-Madame Ekambi Patrice, vice-président de céans, Président ;
– Monsieur Kountchou Clément, vice-président de ladite Cour-membre
-Monsieur Tonye Pierre, vice-président de ladite Cour-membre
-En présence de Monsieur Ebia Ndida André substitut au paquet général près la cour d’appel de l’Ouest à Bafoussam, occupant le banc du ministère public; assistés de Maître Metouom Yolande Noel’ Greffière assermentée.
Monsieur Ndjoumegni Vincent né en janvier 1932 à Bamena par Bangangté a fait face à 12 arrestations successives et gardes-à-vue arbitraires dans le but de l’obliger à quitter sa concession héritée de ses parents.
FFCI Frontline Fighters for citizen’s Interest, dénonce avec la plus grande vigueur les exactions subies par Monsieur Ndjoumegni de la part d’un officier supérieur de l’armée Camerounaise avec la complicité des autorités Administratives et Judiciaire de Bangangté.
Monsieur le président,
Alors qu’il apparaît clairement ici que Ndjoumegni Vincent a eu gain de cause devant la cour d’appel de l’Ouest dans l’affaire l’opposant au colonel Wankam MariuS, ce denier a décidé de faire recours au non droit car après le verdict du 23 juillet 2013, il a décidé d’utiliser les voix de fait contre Ndjomegni Vincent et ne cesse de faire usage de ses relations.
Monsieur le président,
FFCI sollicite votre intervention pour abréger les souffrances de ce citoyen démuni et dont on veut faire plier l’épine de résistance face à l’arbitraire.
En vous souhaitant bonne réception de notre correspondance pour laquelle nous souhaitons une suite favorable, Veuillez agréer, Excellence Monsieur le président, l’assurance de notre parfaite considération.