Cameroun : recrutement de 150 enseignants pour les universités de Bertoua, Ebolowa et Garoua

C’est l’objet d’un communiqué signé le 2 mars 2023 par le Premier ministre Joseph Dion Ngute en sa qualité de président de la Commission centrale de supervision.

Créées par décrets présidentiels en janvier 2022, les trois nouvelles Universités à savoir Bertoua (région de l’Est), Ebolowa (région du Sud) et Garoua dans le Nord vont bientôt s’enrichir de nouveaux enseignants. C’est à la faveur d’un communiqué portant ouverture de 150 postes pour l’exercice 2023signé le 2 mars par le Premier ministre Joseph Dion Ngute.

D’après le président de la Commission centrale de supervision, chacune de ces Universités d’Etat va recruter 45 enseignants et 15 postes seront réservés au quota de régulation académique, révèle Ecomatin. Le recrutement est ouvert aux Camerounais âgés au plus de 45 ans titulaires du Doctorat du PhD. Après la validation des termes de référence et la publication d’autorisation d’ouverture des postes, le processus va se poursuivre en 10 autres étapes avec pour point culminant, la mise en service des candidats définitivement retenus par les Universités concernées, indique le chronogramme d’activités.

Cette opération fait suite à un recrutement spécial de 450 enseignants autorisé par le président Paul Biya en novembre 2022 pour booster l’effectif famélique de ces 03 nouveaux établissements universitaires pour le compte des années 2023 ; 2024 et 2025.

Pour mémoire, c’est en 2018 que le gouvernement a initié la première phase de recrutement des enseignants dans les Universités d’Etat avec en prime, 2 000 postes ouverts. La deuxième phase a donné l’opportunité à 549 titulaires de doctorat ou Phd de se présenter et 573 pour la troisième phase de l’opération. Calculettes en mains, l’on devrait enregistrer à date, 3129 nouvelles recrues pour les trois phases en dehors des 600 recrutements spéciaux (novembre 2022 et mars 2023) dont 150 sont attendues.

OKALA EBODE: le Pr Minkoa She a confisqué l’avenir d’une centaine de doctorants

Après s’être vu interdit de soutenir sa thèse de doctorat à l’Université de Douala, Okala Ebodé, cadre du MRC, a accordé une interview à JDC TV. Dans cet entretien, il retrace son parcours académique; traite le professeur Minkoa She de « diable » en critiquant sa mauvaise foi; révèle comment les services du Premier ministre ont manœuvré pour l’annulation de sa soutenance alors que, d’après lui, il remplissait tous les critères.

Cameroun/Universités d’Etat: le délai des candidatures pour les titulaires du Doctorat/PhD reporté au 30 juillet 2020

L’opération rentre dans la deuxième année du recrutement spécial des diplômés résidant au Cameroun et ceux de la diaspora dans les universités d’Etat. Cinq cents postes à pourvoir en 2020

 

Le secrétaire général des Services du Premier ministre, président de la Commission centrale de supervision de l’opération de recrutement spécial des titulaires du Doctorat ou du PhD dans les universités d’Etat, a signé un nouveau chronogramme pour la session 2020, rapport un communiqué du ministre de l’Enseignement supérieur (Minesup), Jacques Fame Ndongo.

La date limite de recevabilité des dossiers de candidatures, initialement fixée au 21 mai 2020, est reportée au 30 juillet 2020, selon le nouveau chronogramme. Ce dernier, d’après le Minesup, tient “compte de la stratégie gouvernementale de riposte contre la propagation du Coronavirus”.

Les candidatures sont ouvertes aux diplômés résidant au Cameroun comme à ceux de la diaspora dans les universités, les missions diplomatiques et les postes consulaires du Cameroun.

La publication des listes des candidats définitivement retenus au recrutement est prévue le 13 novembre 2020 et la mise en service de ces derniers dans les universités concernées le 04 janvier 2021.

L’opération fait partie du recrutement spécial de 2 000 enseignants titulaires du Doctorat/PhD dans les universités d’Etat, décidé par le président de la République en novembre 2018.

L’opération s’étale sur une période de trois ans, soit 1000 enseignants pour l’exercice écoulé (2019), 500 enseignants en 2020 et 500 enseignants en 2021.

Ludovic Lado : «Pourquoi distribuer des doctorats «mention très honorable» pour ensuite recruter des profils moins méritants ?»

Excellence, Monsieur le Ministre d’Etat,

Bonne et heureuse année 2020. Je vous écris au sujet de l’affaire des titulaires de doctorats/Ph.D., recalés de la première vague de recrutement pour l’enseignement supérieur, qui campent pacifiquement devant votre ministère depuis le 14 décembre 2019. J’y ai passé, avec eux, dans le froid et en compagnie des moustiques, la nuit du 04 au 05 décembre 2020 et j’ai longuement échangé avec eux sur le sentiment profond d’injustice qui les habite et motive leur démarche. Pourquoi l’annonce d’une seconde vague de recrutement n’est pas la solution, mais pourrait même aggraver le problème ?

Le grief principal, les grévistes l’expriment en termes d’injustices criardes qui auraient émaillé le récent processus de recrutement dans l’enseignement supérieur et dont ils seraient les victimes. Je sais ce que c’est que d’être accusé de favoritisme dans un recrutement pour en avoir fait l’expérience en 2012 quand j’étais vice-doyen de la faculté de sciences sociales et de gestion de l’UCAC de Yaoundé. Dans ma défense à l’époque, j’avais préconisé l’audit des résultats sur lesquels portait le contentieux. Mais comme mes calomniateurs ne s’intéressaient pas à la vérité, ils n’en ont pas fait cas. Aujourd’hui, les titulaires de doctorats/PhD qui campent devant votre ministère relèvent de nombreuses irrégularités et incohérences dans les résultats de la première vague de recrutement publiés le 13 décembre 2019. Ma recommandation principale est la suivante : qu’une commission indépendante soit mise sur pied pour auditer le processus et les résultats dudit recrutement et que les éventuelles injustices soient réparées.

Voici quelques irrégularités épinglés par les plaignants et qui méritent attention

i) Recrutement de titulaires de master aux dépens des PH/D : parmi les recrutés se retrouventdes titulaires de master alors que la note du Chef de l’Etat disait bien que le recrutement ne concernait que les titulaires de doctorat/Ph.D.

ii) Soutenances accélérées et suspectes en moins de quatre mois : en effet, entre février 2019 et le 21 mai 2019, date limite de dépôt de dossiers de recrutement, il y aurait eu environ 1000 soutenances de thèses de doctorat dans les universités camerounaises, au point de faire dire à un doyen d’une des facultés : « en moins de six moins, il y a eu plus de soutenances qu’en dix ans ». En conséquence, beaucoup de nouveaux docteurs ont été recrutés aux dépens des anciens docteurs qui étaient pourtant prioritaires. En effet, ce recrutement, faut-il encore le rappeler, avait été ordonné par le Chef de l’Etat en 2018 en réponse à une démarche collective de la part des titulaires de doctorat produits par les universités camerounaises ces dix dernières années, mais au chômage. Leur nombre, au moment où on lance le recrutement d’une première vague de 2000, est estimé à au plus 800. En fin de compte, certains de leurs étudiants qu’ils avaient eu en TD ont été recrutés, mais pas eux. Parmi les nouveaux docteurs recrutés, certains avaient soutenu leur mémoire de master en 2017. Comment ont-ils fait pour soutenir une thèse de doctorat en 2019 au point d’être recrutés aux dépens des anciens docteurs/PH.D.? D’où le sentiment que les réseaux ont été plus déterminants que le mérite.

iii) Recrutement des gens qui ont soutenu leur thèse après le délai de dépôt : comment cela est-il possible ?

iv) Recrutement des gens qui n’ont même pas postulé : leurs noms ne figuraient pas sur les listes de candidatures rendues publics au niveau des départements.

v) Recrutement des gens dont les dossiers avaient été déclarés non-conformes au stade initial du processus dans les départements et universités.

vi) Certains ont été recrutés sans avoir été auditionnés : comment cela est-il possible ?

vii) Doublons et incohérences : il y en aurait dont les noms se retrouvent dans trois universités différentes, alors qu’on ne pouvait postuler qu’à un poste et dans une seule université de son choix. Un cas est particulièrement intriguant : à l’université de Dschang, il est recruté pour enseigner l’espagnol tandis que dans une autre université, le même figure dans la liste des enseignants d’allemand.

viii) Des Médecins et pharmaciens, sortis pour certains en 2017, auraient été recrutés pour enseigner : comment cela est-il possible ?
ix) Des majors de promotions auraient été laissés au profit des moins méritants : par exemple, le meilleur de la toute première promotion de docteurs en droit de l’université de Douala (Mention très honorable) qui a soutenu en 2012 n’a pas été recruté au profit des jeunes docteurs.

Excellence Monsieur le Ministre d’Etat, si de telles irrégularités sont avérées, et il n’y a qu’un audit indépendant pour nous aider à y voir clair, il est évident que nous sommes confrontés ici à des cas flagrants d’injustice qui contribuent à inscrire la médiocrité au cœur même de notre système universitaire.

On annonce, certes, une seconde vague de recrutements, mais les mêmes causes produisant les mêmes effets, il n’y a aucune garantie qu’elle sera plus transparente et plus juste. Ainsi, convient-il d’auditer et de toiletter les résultats de la première vague, mais surtout de prendre des dispositions pour que la seconde vague soit plus transparente à chaque niveau.

Excellence Monsieur le Ministre d’Etat, d’ailleurs contrairement à ce que croit une certaine opinion, la seconde vague de recrutement n’a pas été lancée pour résoudre le problème des grévistes qui ont élu domicile dans l’enceinte du MINESUP mais parce qu’elle était prévue. Difficile d’ailleurs de comprendre pourquoi ce recrutement a été saucissonné en vagues alors que le nombre de titulaires de doctorats qui postulent est largement en deçà des besoins exprimés.

Pour ma part, je formule les recommandations suivantes pour sortir de cette malheureuse situation qui ternit l’image de l’enseignement supérieur au Cameroun

• Auditer et toiletter, au besoin, les résultats du premier recrutement ;

• Produire une liste additive pour corriger les éventuelles injustices constatées, surtout en ce qui concerne ceux et celles touchés par la limite d’âge ;

• Au pire des cas, reverser les recalés docteurs/Ph.D de la première vague dans la seconde vague sans nouveaux dossiers ou nouvelles audition

• Prendre des dispositions pour garantir la transparence de la seconde vague de recrutement

Excellence Monsieur le Ministre, il est évident qu’au-delà d’éventuels cas d’injustice à réparer, ce qui est en jeu ici est non seulement la valeur d’un doctorat au Cameroun mais aussi la rigueur dans le recrutement des enseignements qui formeront nos enfants demain. Pourquoi distribuer des doctorats « mention très honorable » si c’est pour ensuite recruter des profils moins méritants ? Mes compagnons de nuit grévistes me racontent qu’un enfant de la rue passant devant le Minesup et lisant leur pancarte de revendications s’en est allé en disant : «Je pense que j’ai fait le bon choix », c’est-à-dire celui de la rue. Le Cameroun mérite mieux, Monsieur le Ministre d’Etat.

 

Recrutement dans les universités : des docteurs maintiennent la pression après 12 jours de grève

Des candidats malheureux au recrutement des enseignants dans les universités d’Etat observent une grève de la faim pour réclamer la constitution d’une liste additive.

Les titulaires du Doctorat et du PHD ne décolèrent pas après un recrutement de 1300 enseignants dans les universités dont ils ont été écartés.

 Douze jours après le début d’une grève de la faim qu’ils observent devant le ministère de l’Enseignement supérieur, ces derniers n’entendent pas lâcher du lest jusqu’à ce qu’une liste additive comportant leurs noms soit établie.

Le sujet était à l’ordre du jour d’une concertation avec le ministre Jacques Fame Ndongo jeudi, 27 décembre. Aucune entente n’a pas être trouvée. Les frondeurs ont décidé de poursuivre leur mouvement d’humeur après que le membre du gouvernement ait prétendument tenté de leur faire lever leur mot d’ordre de grève sans accéder à leur demande.

Les frondeurs se plaignent d’avoir été recalés à ce recrutement – qui vise à terme 2000 enseignants – au détriment de jeunes diplômés. Ce, alors qu’ils dispensent des cours dans les universités depuis de nombreuses années.

« Nous demandons qu’on publie une liste additive avec les noms de ceux qui ont été injustement recalés. Mais, face à cette doléance, le ministre a dit qu’il ne pouvait pas à son niveau donner une solution », explique-t-on au sein de ce groupe de 200 personnes.

Jacques Fame Ndongo exige qu’ils recommencent le processus de candidature. Ce à quoi s’exposent les docteurs, arguant qu’ils ont déjà suivi toutes les étapes requises pour l’opération.

La banque islamiste offre 50 bourses de d’études

L’information est du ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Administration du territoire qui appelle les Camerounais à envoyer leurs candidatures

La Banque islamique de dé développement (BID) vient de lancer son programme de bourse de mérite pour le compte de l’année académique 2017-2018. Dans le cadre dudit programme, l’organisme offre 50 bourses d’études aux étudiants chercheurs ressortissants des pays membres de la BID désirant faire un Doctorat ou des recherches doctorales.

Le ministre camerounais de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire (Minepat), Louis Paul Motaze, invite les Camerounais à déposer leurs candidatures. Date limite de dépôt : le 21 janvier 2017.

La bourse d’études de doctorat est d’une durée de trois ans dans les disciplines santé et médecine ; énergie et développement ; infrastructures ; agriculture et production alimentaire et le développement par les TIC.

Elle sera attribuée au mois de Septembre 2017 et couvre les frais de scolarité et de subsistance, la prise en charge médicale et un billet d’avion aller- retour, une indemnité pour la participation aux conférences, une indemnité pour l’achat d’un ordinateur (uniquement pour les doctorants) et une autre pour les membres de la famille (uniquement pour les doctorants)

S’agissant de la bourse pour les recherches doctorales, la bourse de la BID est destinée uniquement aux candidats porteurs d’initiatives innovantes, désireux de réaliser un projet de recherche de six à douze mois portant sur des solutions à des questions qui préoccupent les pays membres de la BID comme le paludisme, l’hydraulique, l’énergie et la production animale.

Le formulaire de candidature, les critères d’éligibilité, les renseignements liés aux avantages et aux facilités qu’offre ledit programme sont disponible sur le site www.isdb.org.


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Cameroun: à 25 ans, il obtient son doctorat/Phd à l’Université de Dschang

Victor Kitio a soutenu sa thèse le 14 juin 2016. Ses travaux portaient sur la croissance économique et les performances du marché du travail au Cameroun de 1960 à 2014

La salle 215 du campus principal de l’Université de Dschang a abrité le mardi 14 juin 2016 à partir de 11h la soutenance de thèse de Doctorat/Phd en Sciences Economiques d’un jeune camerounais, le désormais docteur Victor Kitio. Celui qui aura 26 ans le 27 août 2016 a présenté, devant un jury présidé par le professeur Célestin Chameni Nembua, les résultats de ses travaux sur le thème : « Croissance économique et performances du marché du travail: les leçons de l’expérience camerounaise sur la période 1960-2014 ».

Il s’agit d’une étude rétrospective de la croissance économique au Cameroun de 1960 à 2014. Etude qui lui a permis de déterminer les effets de cette croissance sur les performances du marché du travail notamment sur les indicateurs que sont le niveau de l’emploi, le niveau de la protection sociale et les capacités productives des travailleurs. Il parvient à la conclusion selon laquelle « la croissance économique a une évolution très irrégulière au Cameroun. Ce qui ne permet pas d’avoir des effets soutenus et efficaces sur les indicateurs ». Il est nécessaire, selon le jeune chercheur, de « booster la croissance, de la rendre moins volatile pour qu’elle puisse avoir des effets positifs sur les performances du marché du travail ». Le Dr. Victor Kitio propose dans son travail des recommandations de politique économique qui peuvent être utiles au Cameroun dans la perspective d’une atteinte des objectifs de croissance énoncés dans le Document de Stratégie pour la Croissance et l’Emploi (DSCE).

Dr. Victor Kitio tenant un exemplaire de sa thèse de Doctorat/Phd entre ses mains.
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Un travail produit par celui qui serait, pour le moment, le plus jeune lauréat d’un Doctorat/Phd au Cameroun. Elève officier à l’Ecole Militaire Inter-Armées (Emia) du Cameroun, ce produit de l’Université de Dschang, inscrit dans cette institution en 2007, a accueilli sa performance avec beaucoup de satisfaction. Puisque « mon objectif depuis que je suis au lycée était de soutenir ma thèse de Doctorat à 26 ans » dixit Dr. Victor Kitio.

Pour rappel, la soutenance de ce jeune docteur fait partie d’une série de soutenances de thèse de Doctorat qui se sont tenues à la Faculté des Sciences Economiques et de gestion (FSEG) et à la Faculté des Sciences (FS) de l’Université de Dschang pendant la semaine du 13 au 17 juin 2016. 14 candidats au total sont passés devant les jurys pour défendre leurs travaux. Cet exercice qui est devenu régulier à l’Université de Dschang (Uds) confirme la réforme en cours de l’Ecole Doctorale de cette institution suite à la nouvelle dynamique insufflée par le Recteur, le prof. Roger Tsafack Nanfosso à travers la réorganisation du 11 avril 2016.

Dr. Victor Kitio reçoit les félicitations des membres du jury.
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Cameroun: La dîme et les offrandes selon Paul Bernard Ahanda

Il a soutenu sa thèse de doctorat sur ces pratiques

La dîme et les offrandes contribuent à lutter contre la pauvreté ou plutôt, le paupérisme. C’est un état permanent de pauvreté, d’indigence dans une partie de la société et se caractérise par un pouvoir d’achat extrêmement faible. C’est l’idée défendue par le nouveau Docteur Paul Bernard Ahanda dans une thèse de doctorat soutenue en novembre 2009 dans l’amphithéâtre Immanuel David de l’Université Protestante d’Afrique Centrale. La praxis de la dîme et des offrandes selon lui est le secret du bonheur et de la prospérité. Il a précisé que le théologien, conscient du rôle qui est le sien dans la société, doit s’efforcer d’y apporter une solution concrète à la lumière des sources normatives telles que les Saintes Ecritures, l’histoire de l’Eglise, la culture et la religion. La démonstration a manifestement convaincu le jury qui a décidé d’attribuer au candidat la mention très honorable.

Paul Bernard Ahanda honore ainsi l’Eglise Adventiste en obtenant un doctorat en théologie. Option théologie systématique. Ce d’autant plus qu’il est le premier pasteur adventiste camerounais à obtenir un doctorat en Théologie dans une université non adventiste au Cameroun.

Paul Bernard Ahanda 50 ans, pasteur de l’Eglise Adventiste du 7eme jour est marié et père de 7 enfants. Il a obtenu tour à tour une Licence en science de gestion, option comptabilité et finance à l’Université Adventiste d’Afrique Centrale au Rwanda. Un Master en théologie dogmatique et un Diplôme d’études théologiques approfondies (DETA) à l’Université Protestante d’Afrique Centrale. Aujourd’hui Docteur en théologie, Paul Bernard AHANDA est un serviteur de Dieu dévoué. Il est depuis 4 ans administrateur financier de l’Eglise Adventiste à la Fédération du Centre et Sud Cameroun.

Le Dr. Paul Bernard Ahanda
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