Quels sont les meubles à absolument avoir dans sa maison ?

Meubler sa maison est un art qui allie fonctionnalité et esthétique, créant ainsi un espace accueillant et pratique. Certains meubles sont indispensables pour y parvenir. Découvrez les pièces essentielles à intégrer dans votre maison pour un intérieur à la fois confortable et stylé.

 

L’essence des meubles à chaussures pour l’organisation

Dans toute maison, un meuble a chaussure est essentiel pour maintenir l’ordre et la propreté. Il offre un espace dédié au rangement des chaussures, évitant ainsi l’encombrement des entrées ou des couloirs. En plus de son aspect pratique, le meuble à chaussures peut devenir un élément décoratif, reflétant le style et l’élégance de la maison.

Choisir un meuble à chaussures adapté à l’espace disponible et au nombre de paires à ranger est important. Certains modèles offrent des fonctionnalités supplémentaires comme des bancs intégrés ou des espaces pour les accessoires, rendant l’utilisation quotidienne plus commode.

Les bahuts : alliance de fonctionnalité et d’élégance

Le bahut est un autre meuble indispensable dans une maison. Traditionnellement utilisé dans la salle à manger ou le salon, il sert à stocker vaisselle, linge de table et autres objets nécessaires. Au-delà de son utilité, le bahut apporte une touche d’élégance et de raffinement à la pièce, tout en offrant une surface supplémentaire pouvant être décorée ou utilisée pour servir des plats lors de réceptions.

Dans le choix des bahuts pour sa maison, la considération de l’espace et du style de la pièce est primordiale. Que ce soit un modèle classique en bois ou un design moderne, le bahut doit s’intégrer harmonieusement avec le reste du mobilier.

Les buffets : versatilité et charme dans le rangement

Les buffets sont des meubles polyvalents, idéaux pour toute maison. Ils offrent un espace de rangement substantiel tout en servant de pièce maîtresse dans une salle à manger, un salon ou même un couloir. Les buffets sont parfaits pour ranger divers objets, allant des ustensiles de cuisine aux documents importants, en passant par les objets décoratifs.

Le choix d’un buffet doit être guidé par la taille de la pièce, le style souhaité et les besoins de rangement spécifiques. Avec une variété de designs disponibles, des buffets traditionnels en bois massif aux versions modernes avec des finitions en verre ou en métal, il est facile de trouver un buffet qui complète l’esthétique de votre maison.

Canapés et fauteuils : confort et convivialité au salon

Au cœur de toute maison, le salon est un espace de détente et de convivialité, et les canapés et fauteuils y jouent un rôle central. Ces meubles ne sont pas seulement des sièges confortables, ils définissent l’atmosphère et le style de la pièce. Un canapé bien choisi invite à la détente, favorise les moments de partage en famille ou entre amis et sert de point focal dans le salon.

Lors de la sélection d’un canapé ou d’un fauteuil, il est important de considérer à la fois le confort et le design. Les canapés doivent offrir un soutien adéquat et être suffisamment spacieux pour accueillir les membres de la famille et les invités. En termes de style, ils doivent s’harmoniser avec le reste du mobilier et refléter le goût personnel.

Les fauteuils, quant à eux, peuvent être choisis pour compléter ou contraster avec le canapé, offrant ainsi une touche personnelle au décor. Ils peuvent également servir de coin lecture ou de détente, offrant une oasis de confort dans le salon. La sélection de ces pièces essentielles contribue grandement à rendre une maison accueillante et confortable.

En conclusion, l’intégration de meubles tels que des meubles à chaussures, des bahuts, des buffets, canapés et fauteuils est cruciale pour créer une maison à la fois fonctionnelle et esthétiquement plaisante. Ces pièces ne sont pas seulement des solutions de rangement, mais aussi des éléments qui définissent le caractère et le style de votre espace de vie.

 

Cameroun : Ayang Luc et ses projets extravagants

Le scandale a éclaté avec la diffusion sur les réseaux sociaux de documents annonçant le financement sur fonds publics de deux projets : voiture 120 millions de F et maison 2 milliards de F.

Ayang Luc, l’inamovible président du Conseil économique social (CES) a le goût du luxe et le fait savoir. Au Cameroun, une polémique sans fin à cours depuis près d’une semaine autour de Luc Ayang, en poste depuis 39 ans au CES. Ce dernier qui veut se doter d’une nouvelle résidence a signé personnellement un appel d’offre pour la construction de sa future somptueuse villa. Coût annoncé : deux milliards de F CFA.

Le deuxième appel d’offre, c’est l’acquisition d’un véhicule d’apparat pour un coût de 120 millions pour un seul et même bénéficiaire, le président du Conseil économique et social : Ayang Luc, quatrième personnalité dans l’ordre protocolaire du pays.

Cette somme astronomique correspond à la phase 2 du projet de construction, laissant supposer que la phase 1 était encore plus coûteuse. Selon l’appel d’offres, les travaux consistent en la construction d’une villa R+1 pour le compte de Luc Ayang. Cette révélation soulève des interrogations quant à la continuité de ce cycle de dépenses extravagantes, qui pourrait s’étendre jusqu’à une hypothétique phase X, engloutissant ainsi des dizaines de milliards de F CFA.

Il n’en fallait pas plus pour déclencher une vague d’indignation autour de ces dépenses jugées « extravagantes » et « somptuaires ». Des dépenses intrigantes aux yeux de ceux qui les critiquent et qui en interrogent  la pertinence au regard du rôle méconnu de cette institution. Ils estiment le Conseil économique et social « inutile, décoratif et moribond ».

Selon Rfi, comment donc justifier une telle gabegie dans un pays qui manque cruellement d’infrastructures de base ?, s’interroge par exemple l’ancien élu SDF Jean Robert Wafo. « Ils n’ont plus peur de rien. Ils n’ont plus honte, il n’y a plus de limite », s’est pour sa part indigné le journaliste Paul Mahel sur une publication sur sa page Facebook. Un vrai torrent de désapprobation qui va des réseaux sociaux aux médias classiques. Mais surtout un sacré coup de pression sur le gouvernement duquel on attend désormais de savoir s’il maintient ces dépenses annoncées ou pas.

Cameroun : l’artiste Maahlox le Viber invite ses fans à lui construire une maison

Le rappeur camerounais aux musiques parfois sujettes de controverses vient à  cet effet de lancer une collecte de fonds auprès des passionnés de ses chansons.

Maahlox le Viber , artiste mondain et activiste, s’appuie sur ses fans pour se bâtir  la maison dont il rêve. Le rappeur invite chacun  à  débourser la somme de 250 FCFA pour dit-il, l’amener à ne plus faire face à sa charge locative.

Ce musicien qui a choisi pour ses chansons de déconstruire les tabous autour de la sexualité et de certaines mœurs qui s’y adossent, compte environ 270 000 abonnés sur sa page Facebook  où il mène notamment  sa campagne  de collecte des fonds.

Ses followers peuvent apprécier le terrain nu sur lequel il souhaite établir sa demeure ainsi que le plan de celle-ci.

Plan de la maison de Maahlox le Viber

L’opération est saluée par certains mais honnis par d’autres. Maahlox le Viber de rétorquer dans son style  « les gars pardon cotisez vous m’offrez la maison ci,  comme les vrais fans qui ne veulent pas voir leur artiste mourir en location. Je vous ai déjà qu’en même trop fait yamo (danser, délirer. Ndlr) Ne me lâchez pas ! C’est ce que je veux pour mon anniversaire en janvier. #je_crois_au_miracle ».

Sangmélima: La CNPS offre une maison aux retraités

Le chantier financé par la Cnps, a coûté près de 232 millions de f.cfa à la structure

Étalé sur plus de 1.000m2 subdivisé en 12 bureaux, un abri pour pensionnés, une zone de guichet et une grande salle de fêtes, l’inauguration de la «Maison des Retraités» a eu lieu hier, 1er octobre dans la ville de Sangmélima. Avec la création des plantations industrielles et l’exploitation forestière, qui constituent des poches d’utilisation d’une main d’ uvre qui peut légitimement aspirer à une couverture sociale, la Cnps veut en implantant cette agence à Sangmélima, résoudre le problème lié à l’éloignement des pensionnés de leur centre de rattachement, qui était jusque-là Ebolowa.

D’ailleurs, le Dg de la Cnps, Noël Alain Olivier Mekoulou Mvondo Akame a prescrit un délai de 15 jours pour le traitement des dossiers complets de pension vieillesse, d’invalidité et de décès; un mois pour boucler les dossiers d’allocations familiales, 45 jours pour les dossiers relatifs aux accidents, 15 jours pour les allocations prénatales et de maternité, 72 heures, voire 24 heures pour l’aboutissement des dossiers d’indemnité journalière de congé de maternité. L’inauguration de ce joyau architectural, dont les travaux ont duré environ huit mois, a été faite par le ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Grégoire Owona, en présence du directeur général de la Cnps, et des retraités de Sangmelima.


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Interview de Pierre Nguepi, promoteur de Selogeraucameroun.com

C’est est un site Internet spécialisé dans la mise en relation des locataires et propriétaires de biens meublés au Cameroun

Présentez-nous votre site Selogeraucameroun.net
Selogeraucameroun.net est un site de mise en relation entre locataires et propriétaires. Toute personne qui souhaite aller en vacances au Cameroun peut venir sur le site consulter les annonces, entrer en contact avec nous et ensuite nous prenons la demande en charge et on fait visiter les logements disponibles jusqu’à ce qu’il trouve son compte.

Ce sont des visites virtuelles?
Il y a des visites virtuelles dans un premier temps via les vidéos sur le site ou bien des photos mais dans un second temps si la personne a un contact sur place on prend contact avec la personne et on se charge sur place de lui faire visiter le logement.

Ce sont des biens immobiliers de courte durée ou de longue durée?
Oui ce sont des biens immobiliers pour l’instant de courte durée et à moyen terme on compte intégrer aussi des logements pour une durée de un an à deux ans, où la personne peut meubler elle-même.

Comment vous est venue l’idée?
D’abord au Cameroun quand je partais passer mes vacances je les passais en famille L’inconvénient de l’hôtel c’est qu’on ne peut rien faire, il faut tout le temps manger dans les restaurants alors que lorsqu’on est au pays on souhaite quand même une autre ambiance. Donc face à ces problèmes, mon père m’avait laissé un petit studio pendant mon séjour et du coup j’ai eu l’idée de lui dire tu peux laisser ton studio tout meublé comme tu me l’a laissé pendant un an je paye le loyer et je comptais à l’époque y aller presque tous les trois mois et au lieu d’attendre qu’on m’aménage un studio quand je suis là. J’ai payé le loyer pour l’année et finalement j’y suis même pas allé et je ne sais pas pourquoi… Un jour quelqu’un m’a demandé si je ne savais pas où il pourrait trouver un logement à Yaoundé, j’ai dit y a mon studio de libre que je n’occupe pas, je l’ai laissé aller il l’a occupé et il était très content du séjour et tout est parti de là. Donc voilà après j’ai décidé de faire d’abord de la pub pour mon père puisque au bout d’un an ne voyant pas que j’y suis allé, j’ai dit garde ton logement, par contre je ne le paye plus et je fais la pub pour te trouver des clients, comme j’étais déjà informaticien, j’ai fait des petites annonces et les gens m’appelaient, m’envoyaient un mail et en fin de compte, au fur et à mesure je me suis posé la question est-ce que je ne connaissais pas un propriétaire à Douala qui a la même chose et à force de me poser la question je me suis mis à rechercher pour les gens en réalité, quand quelqu’un me demandait une information je prenais en compte et je lui disais que j’allais rappeler si je trouve quelque chose. J’allais dans les sites spécialisés et quand je trouvais je recontactais la personne pour lui demander de contacter le propriétaire et j’ai vu que ça marchait. Les gens justement m’appelaient pour me remercier d’où l’idée de fusionner et tout ça et d’avoir mon propre site au Cameroun pour les logements meublés de Cameroun.

Quel est votre bilan à ce jour?
Pour l’année 2009, j’ai fait 53 transactions. Quand je parle de transactions c’est à la semaine. J’ai fixé la barre plus haute en me disant qu’en 2010 fallait que je fasse 153 transactions.

Et comment est-ce que vous faites pour récupérer les informations au Cameroun?
J’ai deux agents sur place : Un qui gère les biens et un autre qui se charge d’accompagner les personnes envoyées par les futurs locataires pour visiter. Quand on a un nouveau propriétaire, il se charge d’aller prendre les vidéos et les photos et à ce moment je fais une validation.

Donc en réalité au Cameroun, il a des gens qui ont des logements meublés et qui ne sont pas habités et qui espèrent avoir des locataires?
Il y a beaucoup de logements meublés, occupés de temps à autre mais pas tout le temps comme on peut le croire.

Qui s’assure de la gestion du site Internet au quotidien ?
La gestion du site au quotidien se fait ici en France, j’ai un informaticien qui travaille pour moi et je suis informaticien de métier, ça fait deux compétences.

Est-ce que vous avez des retours à la fin des séjours ?
Je suis au courant de toutes les transactions qui se passent et en fin de séjour il arrive que les locataires m’appellent pour me remercier ou en tout cas beaucoup m’appellent pour me raconter tous les problèmes qu’ils ont rencontrés afin que le propriétaire améliore. Sur le site aussi, les gens peuvent laisser un commentaire et une notation.

Pierre Nguepi
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La plupart de vos clients viennent toujours d’Europe ou il y en a quelques uns sur place au Cameroun?
J’ai des contacts partout et il y a beaucoup de clients qui viennent de la France, de la Suisse, de la Belgique et de la Norvège, Canada, Etats-Unis mais j’ai aussi des clients qui sont au Cameroun. Des gens me contactent depuis le Cameroun soit parce qu’ils ont un déplacement de deux semaines dans une autre ville du pays et veulent éviter les hôtels.

Comment sont fixés les prix?
Les prix dépendent de la qualité du logement, de l’ameublement, la situation dans le quartier, le confort et la sécurité. Vous savez en Afrique, au Cameroun il y a des zones qui ne sont pas goudronnées et les gens préfèrent être près de la route principale pour éviter par exemple la boue lors de la saison des pluies.

Vous vous situez exactement à quel pourcentage par rapport à une chambre d’hôtel correcte?
C’est très difficile à signifier, en terme de pourcentages. Mais nous laissons les propriétaires fixer les prix et si on estime que c’est trop, on leur propose de baisser un peu.

Quel est le taux de vos commissions?
Lorsqu’un propriétaire collabore avec moi et que nous prenons en charge la clientèle, nous prenons 10% des commissions sur l’ensemble de la transaction.

Sur votre site, les montants sont libellés en euros. Est-ce volontaire?
Au départ le site n’était pas fait pour les gens qui habitent au Cameroun car je supposais que quelqu’un qui habite au Cameroun ne va pas aller habiter un meublé toute sa vie soit il est en location comme je disais tout à l’heure – soit il va louer un logement vide et le meubler lui-même. Par ailleurs nous avons mis l’accent sur le tourisme pour dire aux gens qu’ils n’auront pas de difficulté de logement au Cameroun contrairement à ce qu’ils peuvent penser.

Pour terminer, qui est Pierre Nguepi ?
Pierre Nguepi est un camerounais né au Cameroun, qui a grandit au Cameroun jusqu’à quatorze ans et qui est parti du Cameroun en 1990. Il vit en France et n’oublie pas d’où il vient et qui prend un plaisir fou à rentrer au pays, au village pour s’isoler et oublier tous les problèmes de la vie. J’aime le Cameroun et tout ce qui peut faire que le Cameroun aille de l’avant reste pour moi le plus important.


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Cameroun: Encore des maisons en terre battue dans la capitale!!!

Elles présentent un autre visage de la ville. Images insolites de Yaoundé

La ville de Yaoundé présente aux visiteurs une image féérique à divers endroits. De l’aéroport international de Yaoundé Nsimalen au centre de la ville, le visiteur peut admirer les travaux d’embellissement de la capitale que mène la communauté urbaine de Yaoundé. Des routes refaites des parcs et autres jardins publics sont aménagés ici et là pour donner à Yaoundé un visage nouveau.

Mais Yaoundé a également un autre visage, une face cachée qui mériterait à coup sur l’attention des pouvoirs publiques « Yaoundé » est constituée des quartiers populeux, des « sous quartiers » pour reprendre une expression chère aux camerounais. Même si les engins de la communauté urbaine ont cassé certains habitats précaires comme à Ntaba Nlongkak, Bonamoussadi, Briqueterie, Olezoa etc, d’autres quartiers ont résisté à la furie des hommes et engins de Gilbert Tsimi Evouna, le Délégué du gouvernement auprès de la communauté urbaine de Yaoundé. C’est le cas du quartier Mvog Mbi notamment la zone située entre le grand marché et la compagnie musique de la garde présidentielle. Ici les maisons sont encore en terre battue, et en planches, nous rappelons une autre époque de Yaoundé lorsque la capitale camerounaise n’était encore qu’un simple grand village avec ses champs, ses pistes, sa forêt etc. Les murs de ces maisons sont quasiment fissurés laissant même apparaitre à certains endroits, l’intérieur de la maison. La toiture est couverte autant que faire se peut, par des tôles tordues.

Maison délabrée
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Sur certaines maisons, une espèce d’écaille couvre également la toiture, avec l’appui des grosses pierres qui sont disposées un peu partout. Les toilettes quant à elles sont juste à côté des maisons qui sont presque collées les unes aux autres, laissant la place à une promiscuité ambiante. Le voisin pouvant à partir de chez voir ce qui se passe chez l’autre. Pour avoir accès à cet endroit de la capitale, quelques petites planches servent de ponts, sur la petite rivière qui traverse la piste. Les habitants semblent s’y plaire. Comme Roger, la plupart des habitants du coin sont des autochtones. Nous sommes ici chez nous nous. Je ne vois pas pourquoi on ira louer en ville nous dit-il. Un peu plus loin, une vieille femme s’active à laver des marmites d’un noir bizarre on dirait le village. Les enfants quant à eux jouent dans un coin de la concession pieds nus et torse nus, la fumée des feux de bois arrose presque tout le camp sans que les locataires ne se plaignent, certainement habitués par cette odeur particulière. Ici la vie poursuit son cour normal, loin des jardins et autres décors de rêve que l’on retrouve un peu partout dans d’autres coins de la capitale. Chacun étant fier de vivre dans ces maisons parfois penchées comme si elles allaient s’écrouler. Une situation qui nous rappelle le roman ville cruelle de d’écrivain camerounais Mongo Beti, avec Tanga Nord réservé aux riches et Tanga Sud, la partie de la ville réservée aux pauvres.

Ce petit quartier fait partie des bidons villes que l’on retrouve encore à Yaoundé. Des zones qu’on ne saurait détruire car appartenant à ces fils du terroir qui n’ont pas eu des moyens pour se développer. Les pouvoirs publics notamment la communauté urbaine de Yaoundé, dans son processus d’urbanisation de la cité capitale devra trouver une solution à cette question si l’on veut viabiliser et harmoniser le plan d’urbanisation de la capitale camerounaise. En attendant que cela soit fait, les populations de cette partie de la ville de Yaoundé mènent tranquillement leur vie, faisant régulièrement face aux moustiques, cafards, odeurs nauséabondes, intempéries et à la promiscuité.

Maison en planche
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