Le Groupe de la Banque africaine de développement et la Corée signent des accords de dons de 28,6 millions de dollars pour soutenir le développement de l’Afrique.
Deux accords de financement ont été signés entre la Banque africaine de développement et le gouvernement de la Corée le 13 septembre 2023, à Busan. L’idée étant de stimuler le programme de développement de l’Afrique d’un montant de 28,6 millions de dollars.
Ce nouveau financement soutiendra principalement l’accès à l’énergie, la transformation agricole et le renforcement des connaissances et des capacités dans un certain nombre de pays africains. Le financement sera déboursé en trois tranches de 4,6 millions de dollars en 2023, 24 millions de dollars en 2024 et 2025 en faveur du Groupe de la Banque africaine de développement.
Le président du Groupe de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina et le vice-Premier ministre et ministre de l’Économie et des Finances de la Corée, Kyungho Choo, ont signé le premier accord d’un montant de 28,6 millions de dollars. Le second accord, conclu entre la Banque africaine de développement et Statistics Korea, renforcera la coopération en matière de statistiques et améliorera la capacité des pays africains à produire des données de qualité. L’économiste en chef et vice-président de la Banque africaine de développement, Kevin Urama, et le commissaire de Statistics Korea, Hyoung il Lee, ont signé l’accord au nom de leurs institutions respectives.
Ce financement vient s’ajouter à un cofinancement de 600 millions de dollars au titre du Cadre d’investissement énergétique Corée-Afrique, conclu avec le gouvernement coréen en 2021. Ce cadre aide les pays africains à renforcer leurs capacités humaines et à développer leur secteur énergétique.
Adesina a déclaré que ce financement supplémentaire de la Corée arrivait à point nommé, au moment même où le pays célèbre le 40e anniversaire de son adhésion à la Banque africaine de développement. Il a salué le gouvernement pour son engagement en faveur d’un partenariat solide entre la Banque africaine de développement et la Corée.
Selon le Dr Bitang à Mafok, à près de cinq mois de fonctionnement, les insolvabilités sont énormes. D’où l’organisation d’une levée de fonds par l’Agence de coopération internationale de la Corée
Elle aura lieu jeudi, 03 décembre 2015, la levée de fonds qu’organise l’Agence de coopération internationale de la Corée en faveur du Centre des urgences de Yaoundé (Cury). Cette action découle des pertes enregistrées par le Centre. Elles s’élèvent à plus de 30 millions de F, les insolvabilités de certains usagers, à près de cinq mois seulement de fonctionnement, précise le directeur de cette structure de santé, Dr Louis Joss Bitang à Mafok.
D’après lui, le Cury n’a pas vocation à faire des bénéfices, mais à sauver des vies. Mais pour cela, il lui faut une autonomie financière pour assurer sa mission principale : lever l’urgence et solliciter le paiement par la suite, explique-t-il, dans le quotidien national, édition du mardi, 01 décembre 2015. Avec ces pertes déjà « énormes », si rien n’est fait en 2016, « l’on en sera à plus de 60 millions ». « Pourtant, poursuit le directeur, l’Etat a mis à la disposition de la structure un fonds de démarrage en termes de médicaments, équipements et consommables. Mais à force de prendre en charge des patients tous les jours, le fonds est en train de s’amenuiser, alors que le renouvellement ne suit pas. Et dans les prochains mois, le Centre ne pourrait même plus s’occuper des personnes qui peuvent payer ».
Sur les 4263 patients reçus ou sauvés au Cury depuis juin 2015, mois de lancement de ses activités, beaucoup sont partis sans régler leur ardoise, rapporte le quotidien. Parmi eux, l’on dénombre des indigents, des accidentés, des victimes de la justice populaire mais aussi des malades de « mauvaise foi » qui disent avoir « entendu que la prise en charge est gratuite, alors qu’elle ne l’est pas ». Le Centre reçoit en priorité les accidentés de la voie publique, les victimes d’accidents vasculaires cérébraux et des infarctus du myocarde. La prise en charge de ces cas coûte cher et tous les patients devraient le savoir, a insisté le directeur. Il lui arrive parfois de faire des réductions, mais « il est impossible de continuer à fonctionner ainsi.
Suite à un appel lancé à l’endroit de ses partenaires, le gouvernement coréen a décidé de soutenir le Centre des urgences de Yaoundé. Durant le point de presse organisé lundi à son siège en présence de tous ses responsables, Dae Young Noh, représentant adjoint de l’Agence de coopération internationale de la Corée (Koica), a annoncé l’organisation d’une levée de fonds. L’évènement qui bénéficie de la collaboration de l’ambassade des Etats-Unis au Cameroun est prévu jeudi au siège de cette agence au quartier Bastos à Yaoundé. Tout le monde y est attendu. Membres du corps diplomatique, du gouvernement, de la société civile et anonymes. La survie du Centre des urgences de Yaoundé en dépend.
Les travaux d’extension et de modernisation dudit port dans le Sud-ouest vont reprendre avec l’implication de la Corée à travers le consortium camerouno-coréen LIPID
Les travaux d’extension et de modernisation du port en eau profonde de Limbé (Sud-ouest) vont reprendre avec l’implication de la Corée à travers le consortium camerouno-coréen LIPID, apprend-t-on, ce jeudi 04 juin 2015, de sources concordantes.
Les travaux qui devraient s’achever en 2017 permettront à cette infrastructure, de faciliter, entre autres, l’exportation des produits agricoles vers le Nigeria voisin, pour plus de 50 000 tonnes par an.
Ce volume des exportations de produits agricoles devrait atteindre 60 000 tonnes à partir de l’année 2020.
Il y a quelques mois, au cours d’une réunion entre le gouvernement camerounais et les responsables de LIPID, le consortium avait proposé de commencer par la construction d’une jetée flottante multifonctionnelle, capable d’accueillir des navires de 20 000 tonnes, pour un coût estimé à 17,5 milliards de francs CFA, une option, devant permettre au port d’être opérationnel au bout de six mois de travaux.
D’un investissement de 300 milliards de francs CFA, le futur port en eau profonde de Limbé, selon le gouvernement, sera prioritairement destiné au transport des produits lourds tels que les hydrocarbures (la seule raffinerie du pays se trouve à Limbé), le ciment, les conteneurs et des produits agricoles.
Le sujet a été à l’ordre du jour de l’Assemblée Générale de l’Association des camerounais de Corée du sud
Convoqués en Assemblée générale extraordinaire, près de cinquante membres de l’Association des Camerounais de Corée du Sud (CAMASKO) se sont réunis à leur siège ce dimanche 28 juillet 2013. Le principal point à l’ordre du jour était la préparation de la visite du Vice Consul honoraire du Cameroun Yong Moon Park dans différents fiefs où vivent les ressortissants camerounais. Monsieur Park devrait aussi visiter les localités d’Ansan et Itaewon deux quartiers populaires et résidentiels des Africains en général et des camerounais en particulier. L’après-midi sera consacré au Match qui opposera la communauté Camerounaise à celle de l’Ouganda suivi d’une séance de travail. Pour mieux préparer cette visite, la CAMASKO autour de son président Martin Songtia a mis sur pied deux grandes commissions; l’une chargée de l’accueil et l’autre de la logistique dans l’ensemble. C’est un très grand moment pour nous. La joie est immense de savoir que nous serons assis sur la même table avec notre consul pour discuter des problèmes que nous rencontrons chaque jour a expliqué monsieur Songtia. Les problèmes de visa, les rapports avec le consulat et l’immigration sont évoqués comme faisant partie du menu de l’échange.
Mais en attendant, l’heure était aux retrouvailles pour la communauté camerounaise. Pendant plusieurs semaines, la quasi-totalité des étudiants avaient observé une pause pour des vacations dans des entreprises question de se ressourcer financièrement avant de reprendre les activités quotidiennes. La réunion du dimanche 28 juillet a servi aussi de cadre pour renouer les contacts et prendre des nouvelles des autres. La rencontre de football contre les ougandais se déroulera au stade de l’université de Wongok et elle compte pour le dernier tour éliminatoire au tournoi des étudiants de huit nations africaines. Au match aller il y a deux semaines, l’équipe estudiantine du Cameroun l’avaient emportée sur le score de deux buts contre un.
Le président Martin Songtia entend profiter de cette visite pour demander aux autorités camerounaises de créer une fois pour toute l’Ambassade du Cameroun en Corée du Sud. Celui qui est Président depuis trois ans à la tête de Camasko, a insisté sur le fait qu’après les études les camerounais devraient s’intéresser a investir et faire des business en Corée du sud pour développer notre pays le Cameroun. La Camasko créée en 2000 est aujourd’hui à sa treizième année. Elle a pour but d’aider les camerounais à mieux étudier et pourquoi pas s’installer sur le sol coréen. Aujourd’hui selon le président Songtia martin, on compte plus de 700 camerounais en Corée du Sud.
Quelques camerounais de Corée du SudJournalducameroun.com)/n
Appelé Public key infrastructure, l’infrastructure à clé publique a été testée ce 22 octobre 2012 au Guichet unique des opérations du commerce extérieur
Avantages
La cérémonie de test et de lancement de cette application sécurisée était présidée par le ministre des Postes et télécommunications (Minpostel), en présence des ministres du Commerce et des Enseignements secondaires. Jean Pierre Biyiti Bi Essam, dans son allocution circonstancielle, est longuement revenu sur les avantages du nouveau système. «Cette application va réduire à 7 jours, la durée d’une opération qui en consomme jusqu’ici 19,5 jours », a fait savoir le Minpostel. «Time is money, le temps c’est de l’argent. On va sauver du temps, donc, on va sauver de l’argent, et travailler avec davantage de sécurité », a enchaîné Biyiti Bi Essam, en énumérant les menaces qui guettent les utilisateurs des Technologies de l’information et de la comunication (TIC). Entre autres, arnaques sur l’Internet, vols d’identités, cyber attaques sur les sites web, envoi de messages non désirés, violation des mots de passe, virus, cyber terrorisme, etc. «Autant d’écueils qu’il faut et qu’il faudra affronter et vaincre ou, à tout le moins réduire car, les chemins vers l’avenir, qui passent par les TIC n’ont pas de voie de secours », a indiqué le Minpostel. Globalement, la sécurisation de la plateforme e-Guce grâce à Pki permet de garantir non seulement la fiabilité des transactions qui s’y opèrent, mais aussi de rassurer toutes les parties prenantes qui vont voir leurs données transiter par ledit système. Bien plus, la Pki facilite la délivrance des certificats numériques, qui permettent d’effectuer des opérations cryptographiques, comme le chiffrement et la signature électronique qui offrent quatre garanties principales lors des transactions électroniques.
Paiement par virement électronique
Il s’agit de la confidentialité, l’authentification, l’intégrité et la non répudiation. La plateforme e-Guce a été sélectionnée par le gouvernement pour être sécurisée par la Pki nationale, reconnue par la justice camerounaise, afin de permettre aux opérateurs économiques et principaux intervenants du commerce extérieur d’y effectuer leurs opérations en toute sécurité. Le Guce a également été désigné comme autorité d’enregistrement pour délivrer les certificats numériques aux citoyens. «Cette délivrance se fait suite à une identification physique », a précisé le directeur général du Guce. Isidore Biyiha, qui a reçu le Minpostel et la batterie de partenaires au siège de sa structure, à Bonanjo, a fait l’économie de cette nouvelle configuration. On retient que la phase pilote s’est effectuée sur la plateforme de paiement semi électronique inaugurée le 5 mars 2012 par le Premier ministre. Le Guce entend généraliser l’utilisation des certificats numériques à tous les services offerts par l’e-Guce, notamment l’accomplissement des formalités du commerce extérieur. « Dans l’immédiat et en partenariat avec le trésor, la douane et les banques membres de l’Apeccam, le module de paiement par virement électronique va être mis à la disposition des gros importateurs et des importateurs sous contrat de performance, afin de leur permettre de payer leurs droits et taxes sans se déplacer », a déclaré Isidore Biyiha.
Certification
L’objectif du Guce étant de réduire les délais inhérents aux files d’attente dans les banques. A moyen terme, le Guce ambitionne de devenir une autorité de certification agréée. Sous la forme juridique d’un Groupement d’intérêt économique crée en 2000, le Guce est une structure mise en place avec pour principal objectif la réduction des coûts et délais de passage des marchandises. Sa mise en place s’est faite en deux phases. Une phase physique ayant consisté à regrouper au sein d’un même bâtiment les principaux intervenants des formalités du commerce extérieur et une phase électronique consistant à automatiser lesdites formalités et interconnecter les systèmes d’informations des différents acteurs du commerce extérieur. Le lancement de l’application sécurisée de paiement en ligne du Guce est le prélude à l’inauguration officielle, la semaine prochaine, à Yaoundé de la Public key infrastructure (Pki). C’est un don gracieux du gouvernement de Corée au Cameroun. Ce don est destiné à la sécurisation des transactions électroniques et, d’une manière générale, à la sécurisation du cyberespace camerounais. « Comme vous le savez, le monde est résolument tourné vers la dématérialisation des procédures administratives et commerciales. Le développement des applications en ligne s’accompagne malheureusement de dangers et de menaces. Conscient de ces menaces qui pèsent sur le cyber espace, le gouvernement a accepté l’offre gracieuse de la Corée qui est l’un des pays leaders au monde dans la promotion des TIC », a commenté le Minpostel. Le gouvernement coréen était représenté ce lundi 22 octobre 2012, par Ra, Kap Chae, représentant résident de l’Agence de coopération internationale de la Corée (Koica), qui a piloté le projet susdit. En dehors du lancement officiel de l’application de la Pki, le Minpostel a ouvert les travaux du séminaire de sensibilisation sur l’utilisation des certificats issus de l’infrastructure nationale à clé publique. Les travaux de ce séminaire vont durer trois jours.
Camerounais et coréens ont laissé éclater leurs divergences sur l’option choisie pour l’exploitation du Yard pétrolier
Dès l’entame de la conférence de presse donnée lundi 23 avril par les dirigeants du Chantier naval et industriel du Cameroun (Cnic), il est facile de deviner la divergence entre la partie camerounaise et les partenaires coréens, ces derniers n’ont pas pris place autour de la table qui a principalement mis face-à-face le Directeur général adjoint du Cnic Antoine Bikoro Alo’o et le Président du conseil d’administration Louis Claude Nyassa d’une part, et les hommes de médias d’autre part. Les quelques coréens présents dans la salle de réunion du Cnic ont choisi de rester debout question certainement de marquer leur désapprobation tout en honorant l’invitation qui leur a été servie par les responsables du Cnic afin de prendre part à cette conférence de presse. D’entrée de jeu, les raisons de la mésentente sont données par les principaux orateurs, il s’agit de la forte divergence sur l’option choisie pour l’exploitation du Yard pétrolier. Le gouvernement de la république a décidé d’en faire un Yard de réparation de bateaux au détriment de l’avis de son partenaire coréen qui souhaite plutôt un Yard de construction de bateaux. Le Pca du Cnic en a profité pour dénoncer et démentir tous les qualificatifs négatifs énoncés à son encontre dans les journaux : j’ai ici tous les journaux qui nous ont traités de fossoyeurs, de détourneurs et de tous les noms d’oiseaux, alors même que nous exprimions notre choix sur l’exploitation du Yard, le débat est donc à présent tranché avec la décision du gouvernement.
Retard sur l’évolution des travaux de construction
L’ambition de construire un Yard pétrolier s’est matérialisée en 2001, l’essentiel des financements ont été recueillis en 2003, c’est à ce moment-là que la volonté de réparer les navires qui accostent dans le golfe de guinée s’est manifestée. Le projet a tenu également compte de la réparation des plates-formes pétrolières logées dans la sous-région. C’est finalement en 2005 que le projet va progressivement être mis en uvre à travers les travaux de dragage de 700m de long effectués au port de Douala. Depuis cette étape, rien n’a bougé. C’est pour éviter de revenir au point de départ que le gouvernement camerounais a opté pour la poursuite de ces travaux, mais là n’est pas le plus dur, il faudra désormais convaincre les bailleurs de fonds afin d’apporter des financements : il faut demander aux bailleurs de fonds que sont principalement la Banque africaine de développement (Bad) et le Fonds d’intervention pour le développement (Fid) de verser leur quote-part de l’avance de démarrage, il faut demander à la Bad la levée de la suspension de financement a indiqué Louis Claude Nyassa citant les mesures à prendre pour relancer les travaux. Sur les 80 milliards de francs Cfa à mobiliser pour voir ce projet définitivement fonctionnel, l’état du Cameroun n’est concerné qu’à hauteur d’1 milliard de Fcfa. En rappel le Yard camerounais va s’étendre sur deux sites, une partie des travaux se fera à Douala et l’autre à Limbé.
Mésentente entre camerounais et coréens autour de l’exploitation du Yard pétroliercameround.com/)/n
Ils arrivent au Cameroun le 3 mai 2009 pour une prospection dans le secteur minier
Le Cameroun est un pays qui regorge de nombreuses ressources naturelles. Le pays de Paul Biya a ainsi un sous sol aux richesses multiples. Ces richesses sont aussi visibles au niveau de l’hydraulique et dans le domaine énergétique. C’est la raison pour laquelle le marché camerounais attire aujourd’hui des nombreux investisseurs, dont les hommes d’affaires de la Corée du sud. Le 23 avril 2009, le Ministre de l’industrie des mines et du développement technologique Badel Ndanga Ndinga, a reçu en audience à son cabinet l’ambassadeur de Corée- du sud au Cameroun son excellence Hosung Lee. Le représentant de la Corée du Sud au Cameroun, et le ministre camerounais ont donc eu un entretien franc et porteur d’espoir pour les deux parties. Aussi, il ressort que la Corée du Sud est très intéressée par les secteurs des mines et de l’énergie du Cameroun. C’est dans cette optique que le 03 mai prochain une délégation de près de douze opérateurs économiques sud -coréens, compte arriver au Cameroun pour une prospection. Il s’agira pour ces hommes d’affaires de mesurer plus encore l’ampleur du riche patrimoine camerounais dans les domaines des mines et de l’énergie. Il faut dire qu’une série de manifestations est prévue à cet effet à Yaoundé. Il est d’ailleurs prévu le 4 mai 2009 à Yaoundé, un forum d’affaires qui n’est pas le premier dans ce domaine. A l’Est Cameroun notamment dans la zone de Betaré- oya, l’entreprise C and K Mining est en activité. L’expérience de cette structure dans le domaine de la petite mine n’est d’ailleurs plus à démonter.
La région de l’Est devra connaitre un développement après la mise en fonctionnement du barrage de Lom-Pangar. Aussi faudra t-il sauver le minimum d’or qu’on y retrouve. Le Ministre Camerounais de l’industrie, des mines et du développement technologique a toujours le même cadre, visité Colomine où une autre entreprise coréen, la Kocam Mining est en chantier. Celle ci fait également montre de professionnalisme et d’expérience en matière de mécanisation dans la petite mine. Dans cette région comme à Garoua Boulai et Betaré-Oya, il est question de favoriser le transfert des technologies en améliorant le cadre de vie des artisans miniers à travers divers investissements sociaux, la mutualisation des activités. Paul Ntep Gweth, le coordonnateur du cadre d’appui et de promotion de l’artisanat minier estime qu’outre les activités d’exploitation de minerais, la Corée du Sud est également impliquée dans d’autres activités les unes aussi importantes que les autres. L’intérêt que porte la Corée du Sud pour le Cameroun, intervient aussi quelques semaines après la convention signée entre les investisseurs chinois et le Cameroun représenté par le ministre Badel Ndanga Ndinga en charge de l’industrie, des mines et du développement technologique. Des actes qui ne peuvent qu’être bénéfiques pour le développement du pays de Paul Biya.