« Biens mal acquis » gabonais : 5 enfants d’Omar Bongo mis en examen en France

Cinq enfants du défunt président gabonais Omar Bongo Ondimba ont été mis en examen à Paris en juin et juillet dans le dossier vieux de quinze ans des « biens mal acquis » gabonais dans l’Hexagone.

Parmi eux figurent Pascaline Bongo, 66 ans, fille aînée et ex-directrice de cabinet de son père, Omar Denis Jr Bongo, 28 ans, également petit-fils du président congolais Denis Sassou Nguesso, Jeanne Matoua, 38 ans, et Joseph Matoua, 40 ans, à précisé à l’AFP la même source, confirmant une information d’Africa Intelligence.

Ils ont été mis en examen pour recel de détournement de fonds publics, de corruption active et passive, de blanchiment et d’abus de biens sociaux, selon la même source.

La justice française soupçonne plusieurs membres de la famille d’avoir « sciemment » bénéficié d’un important patrimoine immobilier « frauduleusement » acquis en France par le patriarche, président du Gabon de 1967 à sa mort en 2009.

La valeur de ces biens a récemment été évaluée par la justice « à au moins 85 millions d’euros ». Pour l’avocate de Pascaline Bongo, Me Corinne Dreyfus-Schmidt, il y a dans cette procédure « un anachronisme tant juridique que factuel ». Avocat d’Omar Denis Jr Bongo, Me Jean-Marie Viala a contesté auprès de l’AFP la mise en examen de son client « sur la base du droit », « non de la morale ».

Entre mars et avril, le juge financier parisien Dominique Blanc avait déjà mis en examen Grâce, Betty, Arthur puis Hermine Bongo, d’autres enfants du défunt président, tous quinquagénaires, qui ont contesté avoir eu connaissance du caractère frauduleux de cette fortune.

« C’est tout un clan familial qui va devoir rendre des comptes », a réagi auprès de l’AFP Me William Bourdon, avocat de Transparency International France, partie civile dans le dossier.

Dans cette enquête déclenchée après une plainte d’ONG en 2007, outre des enfants Bongo et la BNP Paribas, sont poursuivies quatorze autres personnes physiques, dont des membres de la famille du président congolais Denis Sassou Nguesso et plusieurs Français parmi lesquels un avocat, un notaire ou une gérante de société civile immobilière (SCI).

Mise en application des résolutions du Grand dialogue : Paul Biya temporise

Le chef de l’Etat a annoncé ce vendredi qu’un examen des résolutions du dialogue national sera mené aux fins de déterminer celles qui sont réalisables.

Au Cameroun, la haute administration du pays va faire le tri recommandations issues du grand dialogue national à mettre en œuvre. Telle est la quintessence du Tweet du président Paul Biya ce vendredi.

Selon le chef de l’Etat l’examen des conclusions qui aura lieu tiendra compte de leur « opportunité », de leur « faisabilité » et aussi des « capacités » du pays.

Le dialogue national s’est achevé ce vendredi sur la remise du rapport général des travaux au Premier ministre. Huit commissions ont débattu des sujets retenus par le gouvernement afin de résoudre les crises qui affectent le pays.

Les conclusions du dialogue national portent entre autres sur l’octroi d’un statut spécial aux régions frondeuses du Nord-Ouest et du Sud-Ouest ; l’apprentissage dans chaque région d’une langue locale propre à toutes  les populations qui y vivent et en faire une identité ; la reconnaissance de la double nationalité.

Baccalauréat 2018: les délibérations déjà effectives

Les délibérations de l’examen du baccalauréat d’enseignement général pour la session 2018, débutent ce mardi 17 juillet 2018, sur l’ensemble du territoire national.

Dans un communiqué signé le dimanche 15 juillet 2018, le Directeur de l’Office du Baccalauréat, Minkoulou Etienne Roger, invite les acteurs impliqués dans le déroulement de cette opération, à être ponctuels. A cet effet, les chargés de mission, les membres de secrétariat et tous les correcteurs sont invités à y prendre part dans leurs centres respectifs, dès 08 heures précises.

Outre cette recommandation, le chef de l’institution têtière conseille aux délibérants de faire preuve de rigueur dans leur mission. Il dit compter sur le sérieux et le civisme de ses équipes, pour le déroulement important de cette opération.

Un proviseur suspendu pour avoir soustrait des frais d’examen

Le ministre de l’Enseignement secondaire suspend pour une période de quatre mois, le proviseur du lycée de Nguelemendouka.

Mathurin Ayek Mvomo, proviseur du lycée de Nguelemendouka, dans la région de l’Est, est suspendu pour une période de quatre mois pour avoir distrait les frais d’inscription des élèves de première et terminale aux examens de l’Office du Baccalauréat du Cameroun (OBC).

«L’intéressé perd le droit à sa rémunération de base, pendant toute la période de la suspension, mais conserve la totalité de ses allocations familiales», indique le communiqué du ministre des Enseignements secondaires publié ce mercredi, 10 mai 2017.

Mathurin Ayek Mvomo est détenu à Abong Mbang depuis le début du mois suite à un mouvement d’humeur des élèves de troisième, puis de première et terminale, qui avaient soupçonné que le détournement de leurs frais. Le poteau rose est découvert lorsque le sous-préfet de l’arrondissement de Nguelemendouka demande à voir les listes provisoires et se rend compte que les noms de tous les candidats aux examens n’y figurent pas.

Processus législatif: le Senat prêt pour l’examen des projets de loi

L’institution est désormais dotée des neuf commissions générales chargées d’étudier les textes de lois avant leur adoption par l’ensemble des sénateurs camerounais

Les Sénateurs ont mis en place lundi, 21 mars 2016, les neuf commissions chargées d’examiner les projets de loi soumis à l’appréciation de la chambre haute du parlement camerounais. Selon le règlement intérieur de ladite institution, chaque commission doit comporter au moins dix membres.

Il s’agit de la commission des lois constitutionnelles, des droits de l’homme et des libertés, de la justice, de la législation et du règlement, de l’administration ; de celles chargées des finances et du budget, des affaires étrangères et des Commissions de la défense nationale et de la sécurité, des affaires économiques, de la programmation et de l’aménagement du territoire.

Les autres commissions votées lundi sont celles chargées de l’étude des questions relatives à l’éducation, de la formation professionnelle et de la jeunesse ; des affaires culturelles, sociales et familiales ; de la production et des échanges et des Résolutions et des Pétitions.

L’adoption de ces commissions survient près de trois ans après l’élection des premiers sénateurs au Cameroun. Organisé le 14 avril 2013, le scrutin de liste y relatif avait permis aux conseillers municipaux des différentes communes du pays d’élire 70 des 100 sénateurs que compte cette chambre.


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Coopération : Examen des projets avec les pays émergents

Le ministère en charge de l’économie passe en revue les engagements en cours de réalisation dans le cadre des partenariats avec les pays émergents

Le ministère de l’économie, la planification et l’Aménagement du territoire au Cameroun (MINEPAT), a débuté mardi 18 décembre 2012, la revue des différents projets exécutés sur la base de la coopération avec les pays émergents. Il est question pour nous de mesurer les progrès accomplis et les résultats obtenus dans la mise en uvre des projets au cours de l’année 2012 et amender les chronogrammes d’activités pour l’année 2013, a expliqué Charles Assamba Ongodo, le Chef de Division de la Coopération avec les Pays Emergents au MINEPAT. Durant deux jours, les participants vont dégager les difficultés, examiner les progrès réalisés, examiner les niveaux de décaissement de chaque projet et surtout présenter un chronogramme d’activités pour l’année 2013. Nous espérons surtout au terme de nos travaux, mettre en évidence les progressions qui ont été faites vers l’atteinte des différents résultats définis dans les différents documents de projet. Là où il y a encore des contraintes, nous allons formuler des recommandations pour accélérer la progression vers les différents objectifs à atteindre, a indiqué Monsieur Ongodo.

Un point intéressant de l’ordre du jour aura été celui de la mobilisation des fonds de contrepartie dans le cadre du budget programme. C’est un point important à examiner, car, dans la mesure où le budget se présente aujourd’hui sur des programmations trisannuelles, il est important de savoir comment on va faire si survient ente temps un accord de partenariat obligeant le gouvernement à apporter une contrepartie est ce qu’il faut envisager de nouveau crédits, qui en aura la compétence tels sont les questions qu’on se pose, a affirmé un cadre du MINEPAT. Pour les projets dont les conventions de partenariat sont disponibles, les exposants ont fait savoir qu’il ne se posait pas de problème. Ils seront désormais intégrés lors de la préparation du budget dans les programmes des ministères techniques compétents, avec le financement extérieur attendu. Des conférences de programmation des fonds de contrepartie devraient permettre d’encadrer ces inscriptions, a expliqué un expert du Ministère de l’économie.

Dans la logique gouvernementale, le fait de prendre en compte les contreparties du Cameroun dans les projets des ministères permettra de contribuer à la disposition diligente des fonds de contreparties. D’un autre côté, il est admis que la programmation triennale sécurise l’engagement de l’Etat sur une période de trois ans contribuant à apporter un début de solution à l’insuffisance parfois constatée sur ces fonds. La difficulté interviendra lorsque des projets à contrepartie interviendront en plein exercice triennal. Les participants ont proposé que le MINEPAT en assure la gestion dans le cadre du chapitre des « interventions de l’Etat ». Le chemin est encore long et doit faire face à de nombreux défis. Les ministères ont encore du mal à réaliser une bonne programmation des financements extérieurs. Au sein des administrations, la logistique de gestion des projets est parfois très lourde et ne permet pas une prise rapide des décisions. Les réflexions menées sur ce sujet sont d’une importance capitale. Avec le budget programme, les ministères devront se montrer plus efficients dans l’évaluation des apports du gouvernement. Il est difficile de savoir jusqu’à quelle période le MINEPAT accompagnera les ministères qui connaissent des retards. De toute évidence, cette réponse qui n’est que transitoire risque de durer encore longtemps.

Le ministère en charge de l’économie passe en revue les engagements en cours de réalisation dans le cadre des partenariats avec les pays émergents
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Cameroun: 2411 candidats vont reprendre le BEPC dans l’Extrême-Nord

Selon un communiqué officiel, leurs copies déjà corrigées ont été détruites dans un incendie dont les causes n’ont pas encore été identifiées

[c ] Le Ministre de l’Enseignement Secondaire annonce qu’un incendie s’est produit au Lycée de Mora, chef-lieu du département du Mayo Sava dans la soirée du Lundi 18 Juin 2012. Le bloc administratif dudit établissement était entièrement consumé par des flammes ainsi que les copies corrigées de 12 sous centres de BEPC session 2012 de l’Extrême Nord. 2411 candidats à cet examen sont concernés par ce sinistre dont les causes restent à établir. Le Ministre de l’Enseignement Secondaire tient à rassurer toute la communauté éducative qu’une session spéciale de cet examen sera programmée dans les plus brefs délais pour éviter une année blanche aux candidats concernés. [c Communiqué]

2411 élèves de la région de l’Extrême-Nord du Cameroun, vont ainsi devoir repasser l’examen du Brevet d’Etude de Premier Cycle(BEPC) des enseignements secondaires, selon un communiqué du ministère en charge de ce secteur de l’enseignement, et lu sur les ondes de la radio d’Etat (CRTV).

Alain Blaise Bisse Biya, le responsable des examens officiels au sein de ce ministère a apporté des précisions sur ce fait divers. « Ce sont des copies qui étaient déjà corrigés et qui attendaient qu’on reporte juste les notes pour homologation. Il s’agit de 336 candidats du lycée classique de Maroua, qui font Allemand. Toujours pour le même lycée il s’agit des candidats qui font arabe, ils sont 213 », a expliqué le responsable. D’autres sous-centres sont aussi concernés, notamment celui de Soulédé (207 candidats), le sous-centre de Tchatibali, celui de Guéré, Fotokol, Garé, Hroua, Zouhvoul. Le plus gros des candidats qui reviendront seront ceux du lycée bilingue de Maroua, plus de 800 candidats sont concernés.

Les responsables de l’administration n’ont pas été précis sur les causes de l’incendie ni sur l’ampleur des dégâts. La date de la session spéciale organisée reste aussi inconnue, mais ne devrait pouvoir logiquement ne pas se dérouler avant la fin de l’examen de probatoire en cours. Les responsables du ministère n’ont pas aussi dit si l’examen spécial concernait toutes les disciplines pour tous les candidats dont les copies ont été brulées. Les communautés sont appelées à mobiliser les élèves afin qu’ils reprennent ces examens. Une opération difficile, dans une région où chaque effort à l’endroit de l’école porte un coup sérieux à l’épargne déjà très faible des ménages. Remobiliser des candidats qui partent parfois de très loin dans les villages pour venir dans les écoles risque de ne pas être facile.

2411 candidats vont reprendre le BEPC dans l’Extrême-Nord

Examens officiels au Cameroun: Pas de hausse de frais de participation

Un communiqué de l’Office du Baccalauréat du Cameroun apporte un démenti à une information diffusée par un quotidien local

L’Office du Baccalauréat du Cameroun (OBC) a fait savoir dans un communiqué rendu public mardi 1er novembre 2011, qu’elle n’avait pas procédé à l’augmentation des frais des différents examens de l’enseignement secondaire. Les taux d’inscription restent inchangés, conformément aux termes de la circulaire ministérielle du 11 octobre 2011 peut-on lire dans un communiqué de cette institution. Le communiqué rappelle les différents frais à débourser pour la participation aux examens. Pour les probatoires de l’enseignement général (A, C et D) les élèves doivent s’acquitter de 9.500 F chacun. Pareil pour les frais du Baccalauréat et du brevet d’études du premier cycle (BEPC). Un changement, rappelle le communiqué, est à noter pour cette session 2012 et concerne le probatoire B (option économie), qui passe dans la catégorie des probatoires commerciaux et technique, où les candidats payent 3.500 FCFA supplémentaire pour la participation aux épreuves techniques. Au lieu de 9.500 F les candidats à cet examen devraient payer 13.000 F cette année. Vendredi 27 octobre, le quotidien l’Actu informait d’une proposition faite par l’OBC d’augmenter les frais de participation aux différents examens. Une proposition qui selon le quotidien, se justifiait par la situation précaire annoncée des finances de cette structure, face à l’accroissement du nombre d’élèves candidats.

Dans un document de 5 pages, M. Mbatsogo (directeur de l’office du BAC) détaille que le budget prévisionnel des recettes et dépenses de l’Office du baccalauréat pour l’exercice 2011 se chiffre à 5 720 602 000FCFA. Pour le réaliser, nous comptons essentiellement sur les inscriptions et les subventions. Or si les inscriptions, entendues frais d’examen vont crescendo parce que le nombre de candidats aux examens croit sans cesse, tel n’est pas le cas pour les subventions, pouvait-on lire dans le journal. Sur le terrain les parents s’y sont retrouvés parce qu’ils ont du débourser des frais supplémentaires à ceux exigés pour la participation aux examens. Ma fille m’a demandé 2000 FCFA supplémentaires, en plus de ce que j’avais déjà versé et je n’ai rien compris, mais comme d’habitude on présente une ménace d’expulsion si l’enfant ne s’acquitte pas, fait savoir Ibrahim Ndam parent d’élève fréquentant le Lycée Leclerc de Yaoundé. A la délégation départementale des Enseignements secondaires pour le Mfoundi qui couvre Yaoundé, on explique qu’effectivement, aux frais d’examens classiques s’ajoutent des frais de timbre et que cela n’avait pas été bien expliquée au départ. Ce qui aux yeux des parents représente une augmentation quelque soit la forme et la raison. Il n’existe aucune transparence dans la fixation des frais d’examens au Cameroun et ceux qui payent ignorent parfois à quoi sont affectés les sommes dépensées. Une requête auprès de l’Office du Bac pour avoir une réponse à cette question est restée sans réponse jusqu’à présent.

Pas de hausse de frais de participation aux examens officiels au Cameroun

La Fédération Camerounaise de Football organise une session d’examen des agents de joueurs de la FIFA

Ce sera le 31 mars à son siège à Yaoundé

Dossier de candidature
– une demande non timbrée adressée au Président de la FECAFOOT ;
– un extrait du casier judiciaire datant de moins de trois mois ;
– une copie de la carte nationale d’identité ;
– un curriculum vitae ;
– un certificat de domicile ;
– un titre de séjour pour les étrangers ;
– un reçu de versement au service financier du Secrétariat Général de la FECAFOOT d’une somme de 500 000 (cinq cent mille) francs, non remboursable, représentant les frais de participation au concours.

Le programme de l’examen couvrira la règlementation suivante

1) Sur la règlementation FIFA
– Statuts de la FIFA, comme adoptés lors du Congrès tenu le 10 juin 2010 à Johannesburg ;
– Règlement d’application des Statuts de la FIFA, comme adopté lors du Congrès tenu le 3 juin 2009 à Nassau ;
– Règlement du Statut et du Transfert des Joueurs de la FIFA, édition 2010, incluant ses annexes (annexe 1 à annexe 5) ;
– Règlement du Statut et du Transfert des Joueurs de Futsal (annexe 6 du Règlement du Statut et du Transfert des joueurs) :
– Règlement de la FIFA des Agents de Joueurs, édition 2008, incluant ses annexes 1, 2 et 3 ;
– Règlement de la Commission du Statut du Joueur et de la Chambre de Résolution des Litiges, édition 2008 ;
– Code Disciplinaire de la FIFA, édition 2009, titre premier : chapitre premier, section 1 à 6 et chapitre II, section 8.

Les circulaires et annexes suivantes
– n° 792 : Calendrier international des matches coordonnés ;
– n° 1125 : Règlement révisé des Agents de Joueurs de la FIFA ;
– n° 1147 : Eligibilité des joueurs en équipe représentative, articles 15 – 18 du Règlement d’Application des Statuts de la FIFA ;
– n° 1148 : Révision du règlement de la Commission du Statut du Joueur et de la Chambre de Résolution des Litiges ;
– n° 1160 : Règlement révisé des Agents de Joueurs de la FIFA ;
– n° 1190 : Révision du Règlement du Statut et du Transfert des joueurs -protection des mineurs ;
– n° 1200 : Amendements aux Statuts de la FIFA et au Règlement d’Application des Statuts ;
– n° 1206 : Amendements au Règlement du Statut et du Transfert des joueurs – article sur la protection des mineurs ;
– n° 1209 : Protection des mineurs ;
– N° 1223 : Règlement du Statut et du Transfert des Joueurs – Catégorisation des clubs et périodes d’enregistrement ;
– N° 1228 : Calendrier international des matches – modification des dates ;
– N° 1233 : Modification du Règlement du Statut et du Transfert des Joueurs et révision du Règlement de la Commission du Statut du Joueur et de la Chambre de Résolution des Litiges ;
– N° 1249 : Règlement du Statut et du Transfert des Joueurs – indemnités de formation et catégorisation des clubs.
Les circulaires susmentionnées ainsi que les autres documents d’examen peuvent être consultés et téléchargés sur le site de la FIFA, www.FIFA.com

2) Sur la règlementation nationale
– Statuts de la FECAFOOT, comme adoptés lors de l’Assemblée Générale Ordinaire de la FECAFOOT tenue le 10 mars 2007 à Yaoundé ;
– Règlements Généraux de la FECAFOOT, comme adoptés lors de l’Assemblée Générale Ordinaire de la FECAFOOT tenue le 10 mars 2007 à Yaoundé ;
– Code Disciplinaire de la FECAFOOT, comme adopté lors de l’Assemblée Générale Ordinaire de la FECAFOOT tenue le 10 mars 2007 à Yaoundé ;
– Règlement de MTN Elite One, comme adopté lors du Comité Exécutif de la FECAFOOT tenu le 21 août 2010 à Yaoundé ;
– Règlement de MTN Elite Two, comme adopté lors du Comité Exécutif de la FECAFOOT tenu le 21 août 2010 à Yaoundé ;
– Règlement du championnat régional, comme adopté lors du Comité Exécutif de la FECAFOOT tenu le 21 août 2010 à Yaoundé ;
– Règlement du championnat départemental, comme adopté lors du Comité Exécutif de la FECAFOOT tenu le 21 août 2010 à Yaoundé ;
– Règlement de la Coupe du Cameroun 2011, comme adopté lors du Comité Exécutif de la FECAFOOT tenu le 21 août 2010 à Yaoundé ;
– Règlement du Statut et du Transfert des Joueurs des clubs affiliés à la FECAFOOT, comme adopté lors du Comité Exécutif de la FECAFOOT tenu le 16 juillet 2008 à Limbé ;
– Règlement de la Chambre Nationale de Résolution des Litiges, comme adopté lors du Comité Exécutif de la FECAFOOT tenu le 16 juillet 2008 à Limbé.


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Fraudes et fautes à l’examen: Près de 136 personnes sanctionnées au Cameroun

Une liste y relative a été rendue publique ce mardi 15 mars 2011

Moins d’élèves tricheurs, plus de professeurs fautifs
Le ministère des enseignements secondaires a rendu publique mardi 15 mars 2011, la liste des élèves reconnus coupable de fraude au cours de la session des examens 2010. Ces élèves principalement des classes de terminales et de premières font aujourd’hui l’objet de plusieurs sanctions. Parmi les élèves de Terminales, trois encourent des poursuites judicaires, en plus d’avoir écopé d’une suspension de cinq années. Dans les différents cas, ils ont été reconnus coupable de récidive à la fraude, après avoir été suspendus en 2010 pour faux et usage de faux. Les autres faits reprochés sont ceux de la substitution, des cas où des élèves se font aider par des étudiants de l’université. On retrouve aussi pêle-mêle les doubles inscriptions, le marquage de signe distinctif, le port d’appareil de communication miniaturisé, l’usage de documents interdits. Au total, 63 élèves sont concernés. Chez les enseignants, on retrouve des cas de négligence dans la surveillance des candidats, et de la légèreté. Les sanctions varient également. Pour ce qui est des sanctions qui seront appliquées aux coupables, il s’agit essentiellement de retrait de confiance pour les sessions d’examens à venir, allant d’un à trois ans selon la gravité des cas. Certains dont les fautes sont moins lourdes ont reçu des lettres d’observation. Les candidats fraudeurs sont en plus privés de participation aux deux ou trois prochaines sessions d’examens. Six personnes étrangères au corps enseignant, courent le risque de poursuites judiciaires. Il leur est reproché de s’être substituées à de vrais élèves pour composer à leurs places.

L’enseignement général recèle le plus grand nombre de fraudes
La décision du ministre permet de relever que cette année c’est le nombre de professeurs fauteurs qui a augmenté de près de 40%, tandis que le nombre d’élèves fraudeurs lui a baissé dans les même proportions. On remarquera aussi que cette année la part de fraudeurs composant dans les filières littéraire est la plus importante. Ils sont, pour ce qui est de l’enseignement général, ceux qui génèrent le plus grand nombre de fraudeurs, près de 60%. Des experts pensent que l’administration au-delà des sanctions, devrait s’interroger sur cette question. Rapidement les fraudeurs sont stigmatisés et frappés, pourtant, le fait est que selon les cas, les histoires et les faits sont parfois plus complexes. La fraude au bac existe depuis la création de ce diplôme. « L’usurpation d’identité organisée à grande échelle était un des moyens utilisés parce qu’il demeure difficile de contrôler l’identité des individus », expliquent certains acteurs. Aujourd’hui, les nouveaux outils de communication, comme le téléphone portable ont beaucoup transformé les moyens de tricher. De nombreux élèves réussissent malgré tout à passer entre les mailles du filet. Plusieurs personnes avouent avoir triché lors de leur scolarité. Le gros des personnes interrogés avouent avoir plus triché lors de leur passage au secondaire. En revanche, cette pratique reste occasionnelle et se raréfie dans les études supérieures. Utiliser une antisèche (cartouche) est plus fréquent. Et demander ou donner la réponse à un autre étudiant restent les formes « les plus répandues de la fraude ». La pratique est d’autant plus courante que les élèves sont peu informés. Très peu d’entre eux savent qu’on peut, se faire exclure définitivement pour cela.

Les fraudeurs aux examens sont sanctionnés lourdement au Cameroun
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Cameroun: Les statistiques du Baccalauréat général 2010 par régions

Comme à la session 2009, la région du Nord-ouest est en tête avec 65,22% de réussite

D’après les chiffres de l’office du Baccalauréat du Cameroun (OBC), le Baccalauréat de l’enseignement général a réalisé pour la session 2010, un record. 41 444 admis sur 71 396 candidats inscrits toutes séries confondues, pour un total de 58,94% de réussite sur le plan national. Des chiffres en hausse par rapport à ceux de 2009 qui étaient de 55,23%. L’on n’avait pas connu pareils chiffres au Cameroun depuis les 66,16% de 1998 et les 58,99% de 2006, d’où la satisfaction de l’OBC qui relève également que 1078 candidats inscrits n’ont pas pris part à l’examen, seuls 70 318 ont effectivement composé.

Les chiffres par région
Pour la première fois toutes les dix régions du pays ont dépassé les 50%, et comme ce fut le cas en 2009, c’est le Nord-ouest qui vient en tête des régions avec 65,22% de réussite. Elle est suivie par le Sud-ouest qui avec ses 62,72% garde également son rang de l’année dernière. La région du Centre fait un bon de deux places par rapport à 2009 et occupe désormais le troisième rang avec 61,09%, suivie de l’Ouest 59,56% qui perd un rang cette année. A la cinquième marche du podium se trouve le Littoral 59,16% qui perd une place cette session. L’Est avec 58,72% garde sa sixième place glanée l’année dernière, juste devant le Sud qui gagne deux place cette année avec 55,75%. En huitième position se trouve l’Adamaoua 55,11%, le Nord est neuvième avec 52,34% et la dixième position est occupée comme à la session 2010 par la région de l’Extrême-Nord, qui enregistre 50,10%.

L’Office du Baccalauréat du Cameroun note tout de même que ces chiffres sont provisoires, sous réserve d’éventuelles réclamations et vérifications. Par ailleurs, fait savoir l’OBC, les résultats du probatoire de l’enseignement général devraient être connus d’ici la fin de cette semaine.

De nombreux élèves frappent à la porte de l’université au Cameroun
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Yaoundé II Soa: Début des examens du deuxième semestre

Ces examens ont débuté pour certains étudiants, alors que le scandale des faux reçus n’a pas encore été totalement éclairci

Enfin les examens
Certains étudiants de l’université de Yaoundé II Soa ont débuté ce lundi 5 juillet 2010, les examens comptant pour le deuxième semestre de l’année académique en cours. Sont concernés les étudiants de l’Ecole Supérieur des Sciences et techniques de la Communication (ESSTIC). Ceux de la Faculté des sciences juridiques et politiques devraient suivre mercredi prochain. Ces examens interviennent alors que des informations supplémentaires n’ont pas été fournies sur le récent scandale des faux reçus dans cette université. Les responsables de l’université ont indiqué que la procédure de démantèlement du réseau des faussaires reste en cours. Nous avons tenu compte du fait que certains étudiants pourraient avoir obtenu les faux reçus de bonne foi, donc il ne fallait pas par souci de justice et d’équité, empêcher ceux-là de composer a déclaré un responsable de l’université de Soa. Les seuls cas qui feront l’objet d’une attention particulière seront ceux des étudiants qui n’ont pas de carte scolaire. Nous aménagerons des salles de réserves; chaque année nous rencontrons ce genre de difficultés, donc en attendant de tirer la situation au clair, nous faisons composer les étudiants dans la salle de réserve a affirmé le responsable en charge des affaires académiques de la faculté de droit de Soa.

La confusion demeure sur les fonds manquants
Le Recteur Jean Tabi Manga de l’université de Yaoundé II avait annoncé que, jusqu’à ce que le scandale des faux reçus soit tiré au clair, les examens seraient repoussés. Il avait indiqué, que lors de la vérification des comptes, l’on s’est rendu compte que le nombre d’étudiants recensés était plus important que les sommes perçues aux titres des droits universitaires (les frais payés pour bénéficier aux services estudiantins). Un trou financier qui s’élèverait à 100 millions de FCFA et pourrait concerner près de 5000 étudiants. Cela prendra le temps que ça prendra, même à décaler les examens, avait prévenu Jean Tabi Manga. Mais jusqu’ici, aucun cas de faux reçu n’a clairement été présenté au public. Pourtant, tant du côté de la banque partenaire que de l’administration de l’université, l’on affirme que les enquêtes se poursuivent. Pour de nombreux étudiants, c’est le soulagement. Plusieurs d’entre eux craignaient des reports indéfinis des examens. C’est la première fois qu’un tel scandale éclate au grand jour, autour du paiement des droits universitaires au Cameroun. Les observateurs font remarquer que compte tenu de la complexité de la fraude il ne serait pas étonnant que la fraude se soit réalisée à un très haut niveau.

Des étudiants en salle d’examen
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