Étiquette : fillette
Cameroun : une fillette de 12 mois dévorée par un porc
L’animal s’est échappé de la porcherie de son propriétaire avant de se servir de la main d’un bébé pour assouvir sa faim.
Les images d’un reportage diffusé sur la chaîne de télévision LTM, se propagent sur les réseaux sociaux. Elles relatent un fait inhabituel vécu par les populations de Bamessingue, près de la morgue de l’hôpital de Mbouda, région de l’Ouest-Cameroun. Un porc de trois mois a dévoré la main d’une fillette âgée de 12 mois pendant que sa maman s’occupait de ses travaux ménagers.
Selon les témoignages de la jeune maman, l’enfant était couché dans sa baignoire à l’intérieur de la maison. La maman elle, est allée puiser de l’eau avant de revenir poursuivre ses travaux ménagers. Après quelque temps, ce sont les autres enfants qui déclenchent l’alerte. « Ils sont venus me dire le porc le porc le porc… mais je ne comprenais pas ce qu’ils voulaient me dire », relate la génitrice en pleurs.
Lorsqu’elle s’en va du côté où elle a laissé sa fille, elle la trouve dehors, sa bassine aussi. Le porc qui l’a confondue à son petit déjeuner, l’a portée, traînée à l’extérieur, sans qu’elle ne manifeste sa détresse par les cris ou les pleurs. A l’instant, dit la maman, l’animal a déjà « mangé toute sa main ». Et l’enfant « saignait à gauche et à droite », ajoute son oncle, propriétaire du porc.
Selon ce dernier, son porc acheté il y a trois mois et gardé dans la porcherie ne cesse de s’échapper pour aller commettre des dégâts. Il y a quelques jours, il s’est échappé et l’une de ses pattes a été cassée quelque part. Le propriétaire l’a de nouveau enfermé. Il est encore sorti, cette fois la veille de son assaut sur le bébé. Le propriétaire qui se préparait à l’attraper une fois de plus pour l’enfermer, a très tôt été appelé par la maman de la victime pour constater les dégâts.
Au final, plus de peur que de mal. Conduit à l’hôpital de district de Mbouda pour la prise en charge, l’enfant serait hors danger.
Crime rituel à Bafoussam, un homme d’affaires pointé du doigt!
Joseph Tenekam, 64 ans, est soupçonné d’être à l’origine de l’assassinat d’une fillette, âgée de 11 ans, pour des pratiques obscures
L’assassinat de la jeune Emmanuelle, 11 ans, élève en classe de 6ème dans un lycée de Bafoussam à l’Ouest-Cameroun, remonte au samedi 27 juin dernier. Selon les informations publiées sur le site du quotidien national ce vendredi, les bourreaux de la fillette ont crevé ses yeux, son cou, cisaillé son ventre et ses parties génitales. Après leur forfait, ils ont balancé son corps en pleine nuit dans un puits au quartier Kouongouo dans l’arrondissement de Bafoussam III.
Le bruit a alerté les populations qui sont sorties découvrir du sang à côté du puits. L’intervention des sapeurs-pompiers a permis d’extraire le corps totalement mutilé de la fillette du puits. Les parents de l’enfant n’avaient pas encore été identifiés lorsque les meurtriers, qui seraient au nombre de deux, sont revenus sur les lieux du crime. Ils y ont déposé un papier donnant tous les renseignements sur la victime, ses parents et leur domicile.
Les meurtriers indiquent également les mobiles du crime en affirmant que c’est l’homme d’affaires Joseph Tenekam, 64 ans, qui leur a demandé de lui apporter 1,5 litres de sang d’une jeune fille contre une récompense de 700 000 Fcfa. Mais après la livraison de la commande, ils n’ont pas été payés par le commanditaire. Dans leur lettre, les meurtriers demandent également pardon aux parents de la victime et à Dieu pour ce crime, mentionnant qu’ils accomplissaient simplement leur travail.
L’homme d’affaires interpellé et déferré lundi dernier devant le parquet pour répondre des chefs d’accusation d’assassinat et de complicité d’assassinat a nié les faits, mais la police judiciaire a ouvert une enquête pour retrouver les assassins. Le corps d’Emmanuelle a été déposé à la morgue de l’hôpital régional de Bafoussam.

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