Cameroun: Le n° 172 de l’hebdomadaire Emergence est dans les kiosques

Entre autre sujet d’actualité traité cette semaine, Mandela dans « La dernière leçon de Mandela à l’Afrique »

Le décès du premier président noir d’Afrique de Sud vient donner l’occasion au directeur de publication Magnus Biaga, dans son Editorial, de relever « La dernière leçon de Mandela à l’Afrique ». Alors que le sommet sur la paix et la sécurité se déroulait à Paris, la mort de Nelson Mandela est annoncée, suscitant une pléthore d’hommages, notamment de la part de François Hollande. Le leader charismatique sud-africain, durant toute sa vie, a combattu pour un idéal : que l’Homme Blanc ne domine pas sur l’Homme Noir et vice-versa. Comment Hollande peut-il faire autant d’éloges et de compliments à Nelson Mandela alors que la nature même de sa conférence est en porte-à-faux avec les valeurs pour lesquelles le défunt s’est battu ? Que cela soit clair, aussi bien l’idée que la tenue même de cette conférence ont visé à soutenir la posture d’un François Hollande dominant (le Blanc) sur ses invités (les Noirs). A lire absolument en page 2.

En Politique, Emergence s’intéresse au remaniement ministériel en préparation : « La surprise du siècle ! ». En effet, même les plus proches de Paul Biya vont passer à la guillotine. Car des informations font état de ce que le président de la République est en colère et s’apprête à sévir. A lire absolument en pages 6 et 7.
En Economie, pour votre journal, l’avenir des Pme au Cameroun est mitigé. Si au salon de la Pme qui s’est achevé à Douala, tous les indicateurs laissent songeur, quelques jeunes entrepreneurs et experts du secteur ne démordent pas. A lire en page 4.


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Liberté de la presse au Cameroun: Les journalistes parlent du sit-in organisé à Douala

C’était ce lundi, 03 mai à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse

Nous sommes en deuil
Je suis venu parce que la journée internationale de la presse se célèbre cette année dans un contexte trouble car il y’a quelques jours, l’un de nos confrères a perdu la vie dans des conditions assez particulières et qui de toute manière avait à voir avec sa pratique de journaliste. Nous sommes en deuil, d’autant plus ce journaliste, faisait son métier et je me sens interpellé, parce que je me rends compte que moi-même, de telles choses peuvent m’arriver et je dois en être conscient et rester vigilant. Ça fait longtemps que j’entends parler des pays où les journalistes sont emprisonnés, d’autres assassinés, et si mes souvenirs sont exacts, c’est la première fois qu’un journaliste au Cameroun meurt en prison et il faudrait que ce soit le premier et le dernier cas.

Stéphane Tchakam, journaliste au quotidien Le Jour
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Le journalisme est une force
Nous mettons ce 03 mai 2010 sous le signe d’un nouveau départ pour la corporation parce que cela intervient dans un contexte que tout le monde connaît et on est tout à fait d’accord avec la mobilisation des journalistes pour dire non à ce qui est arrivé au journaliste tant à la prison qu’à la DGSE. Il faut féliciter les journalistes d’avoir pris conscience de ce qu’ils constituent une force et pour ça qu’on s’est mobilisé.

Albert Le doux Yondjeu, rédacteur en chef de radio Equinoxe
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On veut nous faire changer de métier
Je suis venu à ce sit-in parce qu’il y’a un de nos confrères, qui est décédé dans des conditions troubles. On nous dit qu’il y’a une enquête qui est en cours, et pendant ce temps, les officiels annoncent que le monsieur était atteint du virus du sida, comme si être atteint du virus du sida signifiait que vous n’avez pas le droit d’être soigné. Moi, je pense qu’il y’a une nappe de plomb qui est entrain de vouloir s’abattre sur la presse camerounaise. On veut nous empêcher de parler, on veut nous faire changer de métier, qu’on nous dise qu’à partir d’aujourd’hui, on ne veut plus de journalistes dans ce pays et on change de métier. Des procès qui se multiplient, des journalistes en prison… Je pense que la démocratie doit pouvoir s’accompagner d’une liberté d’expression.

Thierry Ngogang, Directeur de l’information de STV2
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La prochaine livraison du magazine Marchés Africains porte sur le Cameroun

Le hors série est disponible dans les kiosques, en Europe comme en Afrique, à partir du 26 avril

Plus de 100 pages où les grands secteurs de productions du pays sont analysés.
– Au sein des télécoms avec CAMTEL prit en tenaille par Orange et MTN qui cherche un second souffle.
– Le secteur des assurances avec un CA en constante évolution depuis ces trois dernières années, deuxième marché d’Afrique subsaharienne, pourrait si sa progression continue détrôner la Côte d’Ivoire.
– Dominique LAFONT, le patron Afrique du Groupe Bolloré, dans une interview exclusive explique l’importance du Cameroun dans sa stratégie africaine pour un groupe qui reste un des premiers employeurs privés du pays
– En matière d’énergie les patrons à la fois de CAMWATER et de la Camerounaise des Eaux, qui expliquent pour l’un comment compte-t-il porter la desserte de l’eau de 35 à plus de 60 % d’ici 2015 ?
Et pour l’autre, comment va-t-il, grâce à son plan d’action faire passer de 220.000 à 550.000 le nombre d’abonnés de l’ex-Snec d’ici à 2016

Mais aussi dans cette édition de Marchés Africains :
-En 2011, le dauphin déclaré de Biya est Paul Biya
-Les grands travaux du nouveau chef du gouvernement Yang Philémon
-A lire également, l’interview exclusive du numéro deux du SDF, principal parti de l’opposition, qui mise sur une coalisation des partis de l’opposition pour tenter de battre Paul Biya en 2011.


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Cemac : L’enseignement supérieur dans un tableau noir

Le dernier hors série du magazine Intégrations est dans les kiosques

Amphithéâtres et campus surpeuplés. Laboratoires et bibliothèques obsolètes. Enseignements surannés. Enseignants à recycler. Recherche à promouvoir. La liste des impairs de l’enseignement supérieur n’est pas exhaustive en zone Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale. Manifestement, la sous – région a mal à son enseignement supérieur. Mal préoccupant au vu du rôle moteur de l’enseignement et de la recherche dans le développement des pays. Mal préoccupant au vu de la forte demande en formation, conséquence d’une poussée démographique vertigineuse. Les solutions sont envisagées à plusieurs niveaux. A côté des efforts – encore insuffisants – des pouvoirs publics dans chaque pays de la Cémac, il y a l’engouement ô combien salutaire de l’initiative privée. L’exemple concret vient du Cameroun. Environ 175 institutions privées de l’enseignement supérieur (Ipes) côtoient actuellement la dizaine d’universités d’Etat, pour une demande évaluée à plus de 100.000 étudiants. Malgré la synergie d’action public- privé, le problème de fond demeure. En effet, les diplômés de l’enseignement supérieur dans la sous – région continuent à grossir les effectifs des sans emplois.


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Ce qui justifie l’option prise pour la professionnalisation des enseignements, à travers la mise en place du système Licence Master Doctorat dans toutes les universités de la Cémac. A l’observation, force est de constater que chaque pays y va de ses moyens et de ses potentialités. Pourtant, la solution concertée est fondamentale. Elle devrait être facilitée par la Commission de la Cémac, à travers son instance spécialisée, en l’occurrence la Conférence des recteurs des universités d’Afrique centrale (Cruror). Malheureusement, cette instance n’a que le pouvoir de proposition auprès de la Commission de la Cémac. Les egos nationalistes des pays membres de la Cémac continuent donc à plomber l’avènement d’une nouvelle politique commune effective de l’enseignement supérieur, capable de tirer la sous – région par le haut. La voie d’une solution concertée est pourtant reconnue comme incontournable, dans un environnement mondialisé très concurrentiel. Il faudra encore attendre un peu, en croisant les doigts pour que la coopération interuniversitaire entre le Cameroun et la RCA fasse tâche d’huile et inspire toute la sous – région.


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Kiosque: Les égéries à la une de Com.News de Novembre 2009

Le mensuel s’interroge sur le positionnement des marques pour la CAN et la Coupe du monde 2010

Dans le dossier du mois, les offres sont certes présentes: Coca cola, Orange, 33 export, Guinness et bien d’autres mais l’originalité est à venir; dans le sens de la créativité, le public reste sur sa faim.
L’association des stars dans la publicité fait l’objet de la rubrique « regard »,par une analyse minutieuse des dernières campagnes publicitaires qu’accompagnent les stars camerounaises notamment Roger Milla avec la carte bancaire de la régionale et Samuel Eto’o avec la société brassicole Guinness. Norbert Eloundou Engama, Corporate Manager Guinness Cameroun et Carole Towo chef de service de la monétique et des salariés de la Régionale justifient leur choix respectivement sur Eto’o et Milla.

« Vie des médias » révèle « ce soir ou jamais », un talk show annoncé sur STV quotidiennement en Access prime time, diffusé du lundi au jeudi de 18h à 19 h avec rediffusion. Eric Christian Nya, présentateur de l’événement et son équipe de chroniqueurs vont interroger leur invité qui fera ainsi l’actualité (confrontant son actualité et sa vie). L’émission s’articulera autour d’informations, musique, et humour. L’acteur de la com est Georges Luc NNA, Directeur général Oricorp promoteur de Village Foot live VIFOLI qui présente sa structure et les opportunités 2010 pour les entreprises.

« Actu Com » annonce le recrutement à la BAT d’une agence en marketing opérationnel. La multinationale basée à Douala veut être accompagnée d’une agence pour lui permettre de se redéployer sur le marché. Cette rubrique met en exergue entre autre l’opération impressionnante de relations publiques qu’entreprend les Etats unis chaque année, opération qui montre aux visiteurs les richesses de ce pays. Thierry Ndong parle de cette opération de son retour des Etats-Unis où il y a participé durant 03 semaines. Enfin, Actu com évoque le recrutement à venir de 75 journalistes au Ministère de la Communication.

Dans « stratégie », le magazine s’attarde sur la loterie Mobigames qui se fait appeler le Farotteur et le Dépanneur, s’interroge sur la périodicité de ce nouveau jeu, sa viabilité dans un contexte où les jeux de hasard pullulent. Parlant de durabilité sur un marché concurrentiel, le fournisseur Internet RINGO célèbre un an de plus et fête avec ses abonnés ; une campagne a été mise sur la réduction des tarifs de communication. Dans Idées et Débats Christian Ngwanza parle de la marque – entreprise et le temps enfin, Haman Mana a lu pour nous, « l’information : un produit comme les autres » de Laurent Laplante et dans humeur, le publicitaire Jean Paul Tchomdou parle de la « pub… du roi Pétaud » dans un humour caustique.


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Revue de presse: Les sujets à la Une cette semaine au Cameroun

Assemblée Générale de l’Onu, maladies professionnelles, Socam et droits d’exécution publique

Le président Camerounais Paul Biya a pris l’avion le 18 Septembre dernier pour rejoindre New York où se déroule la 64e session de l’Assemblée générale des Nations Unies. A ce sujet, le quotidien Cameroon-tribune titre Paul Biya au c ur du débat à New York. Selon le journal, le président de la République commence à New York une intense activité diplomatique. D’après le quotidien national, le Cameroun a le double privilège d’une part d’assurer le vice présidence des travaux de l’assemblée générale et, d’autre part, de voir un de ses ressortissants, Jean Victor Nkolo, assumer la charge de porte-parole du président de cette 64e session, Dr Ali Triki de Lybie. Selon Mutations cette session de l’Assemblée générale des Nations Unies a été marquée par la première sortie de circonstance du chef de l’exécutif américain, Barack Obama, élu à la Maison Blanche en novembre 2008. Réunion mondiale sur les changements climatiques, débat sur le désarmement et la non prolifération nucléaire, mais aussi les conflits, les sources et la manière de les prévenir et la crise financière ont été au centre des discussions des chefs d’Etat et de gouvernements.

Ce n’est pas la sérénité à la société musicale, même si les artistes passent à la caisse
Le 22 Septembre, la société civile camerounaise de l’art a procédé à la répartition des droits d’éxécution publique (Dcp) pour la période allant du 31 Décembre 2008 au 31 Mai 2009. Cameroon-tribune parle de petite poussé de fièvre au siège régional de la Socam. D’après le quotidien, dans une lettre adressée aux artistes membres de la structure par Odile Ngaska Présidente du conseil d’administration de la Socam, Au total, 1161 artistes musiciens ont vu leurs comptes crédités. Cette répartition selon le journal de Marie Claire Nana est juste et équitable et tient compte d’une part de l’exploitation effective des uvres par la Crtv radio en hauteur de 70% d’autre part d’une combinaison ancienneté dans une société de droits d’auteurs et volume de répertoire à hauteur de 30%. Pour le Jour, l’affaire Cmc/Mincult plombe la gestion collective. Ce n’est pas la sérénité à la société musicale. Certes depuis le 22 Septembre 2009 les artistes passent à la caisse, mais la somme est dérisoire, la Crtv étant le seul grand usager à jour des redevances. Le quotidien qui cite Odile Ngaska nous apprend qu’au lieu de payer dans le compte de dépôt spécial les redevances du droit d’auteurs et droits voisin certain, les autres grands usagers préfèrent bloquer les fonds dans les comptes séquestres. La Cmc ne serait pas étrangère à cette confusion selon odile Ngaska. La campagne menée auprès des usagers par la Cmc cause des préjudices énormes dans le recouvrement des redevances. D’après le quotidien, elle accuse la Cmc de percevoir des redevances sur le terrain.

55 nouvelles maladies professionnelles indemnisables
La liste des maladies professionnelles a été élargie mardi dernier, de nouvelles maladies. La nouvelle liste a été rendue publiques le 22 septembre 2009 au cours d’une réunion entre le ministre du travail et de la sécurité sociale Robert nkili et les responsables du ministère de la santé publique. Selon le quotidien le jour, l’hépatite A,B,C,D, le cancer broncho pulmonaire, la polyomélite, les pneumonies d’hypersensibilité, les mycoses cutanées, et autres affections provoquées par le chlorure de sodium dans les mines, sont quelques unes des 55 nouvelles maladies que le gouvernement camerounais vient de reconnaitre. Cet ajout a été favorisé selon Cameroon-Tribune par des plaintes incessantes des travailleurs au sujet de la non prise en charge de certaines maladies liées aux activités professionnelles et des conflits entre médecins au sujet du caractère professionnel de certaines pathologies nées de nouveaux procédés et méthodes de travail. Mais il y a aussi, la modification des conditions de travail et l’avènement de nouveaux métiers. Du point de vue du quotidien Cameroon-Tribune, cette liste va permettre de favoriser le bien être du plus grand nombre de travailleurs quelques soit l’activité exercée.

Kiosque à journaux au Cameroun
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Cameroun: A la découverte de Camerpress.com

Justin Blaise Akono a créé une agence de presse sur la toile!

Précision et concision, deux qualités qu’on exige du journaliste, en plus de la neutralité. A celles-ci, l’agence camerounaise d’informations en a rajouté la sobriété dans le design de son site Web, www.camerpress.com, où le noir et le blanc se fondent en une seule couleur pour un mariage réussi, sans altérer la visibilité du contenu. Un site que son promoteur, Justin Blaise Akono, par ailleurs journaliste au quotidien Mutations, a voulu réactif ; l’une des missions de Camerpress.com étant par ailleurs d’apporter l’information en temps réel au public grâce aux dépêches qui sont quotidiennement mises en ligne.

C’est dans cette perspective qu’une « Newsletter » a été intégrée au site, permettant à l’internaute d’être informé de la dernière actualité nationale ou des dernières mises à jour effectuées dans le site. Ce qui contribue à son dynamisme. Comme toute agence de presse, Camerpress.com se donne pour objectif « d’être le premier à diffuser ou à publier » une information dès qu’elle tombe, souligne son promoteur. Raison pour laquelle des informations de dernière minute défilent en continu sous la rubrique « Flash infos ». Contrairement à l’agence Apanews qui signe ses articles des initiales de l’auteur de celui-ci, un anonymat entoure les auteurs des textes publiés sur Camerpress.com.
Proximité.

Bien que certains articles aient été pris dans d’autres publications, avec référence à la source, la plupart des articles mis en ligne et couvrant des domaines aussi divers que la société, la culture ou le sport, porte la mention « Ecrit par Camerpress ». Un choix que le promoteur dit avoir fait à dessein, calquant son modèle sur celui de l’Agence française de presse (Afp). Mais, à la différence de l’Afp, les informations traitées sur Camerpress.com privilégient avant tout la loi de la proximité. C’est-à-dire qu’ici, les informations, uniquement axées sur le Cameroun, concernent les Camerounais de prime abord, avec une fenêtre ouverte aux Camerounais de l’étranger via la rubrique « Diaspora ». « Les informations relayées par la radio ou la télévision se limitent généralement dans la zone urbaine.

Ceux de la diaspora les reçoivent 24h après, au minimum », affirme M. Akono pour qui il était donc important de mettre une agence de presse sur pied, ce d’autant qu’il n’en existe pas au Cameroun. Si l’on ne trouve rien à redire sur le design du site qui se caractérise aussi par sa simplicité, on déplore toutefois que certaines fonctionnalités soient vides de tout contenu, notamment celles en rapport avec les indications pratiques (Qui sommes-nous ? Nous contacter etc.), donnant l’impression que le site est encore en construction. Un détail qui, affirme le promoteur, sera réglé le moment opportun, l’important étant de « donner l’information aussi vite que possible ». Selon ce dernier, le site, opérationnel depuis le 20 juin dernier, devra être relooké au moins une fois par an. Mais, « pour l’instant, gérer l’information et convaincre les internautes qui ne sont pas tous des Camerounais, est notre but », conclut-il.


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Quelques titres de l’actualité camerounaise cette semaine

Accidents de trains, vacances du président, Jean Baptiste Nguini Effa en prison…

Les pleurs des différents membres de la famille n’y ont rien fait. Vendredi dernier, l’ex directeur de la Société camerounaise des dépôts pétroliers (Scdp), et ses six co-accusés ont été placés à la prison centrale de New-bell c’est ce qu’on pouvait lire dans le quotidien national Cameroon Tribune ce 31 août. Après les formalités d’usage, des sources rapportent que l’ex-Dg de la Scdp, vêtu d’un ensemble costume noir, sera conduit au bloc 1 du quartier spécial 18, le bloc climatisé du pénitencier réservé aux prévenus et détenus VIP précise le quotidien La Nouvelle Expression. Ceci en revenant sur les charges qui pèsent sur les accusés tout comme Cameroon Tribune qui écrit dans les colonnes de son journal:Tous ces ex-responsables de la Scdp, sont soupçonnés de détournement de deniers publics au préjudice de la Scdp, fait commis au moment où ils étaient encore en fonction. Mutations pour sa part revient tout simplement sur l’ambiance qui régnait chez les familles au tribunal de grande instance de Bonandjo. C’est donc une inquiétude et une attention particulière qui ont animé les membres des différentes familles pendant le séjour de leur père ou époux dans les locaux de la PJ et au parquet souligne le quotidien.

Incidents du week-end dernier
Week-end noir à Yaoundé titre à la une le quotidien Mutations. Avant d’ajouter deux déraillements ont fait près de dix morts vendredi et samedi alors qu’un incendie dévastait une partie du marché SHO. En provenance de Douala, des citernes de produits pétroliers quittent la voie et prennent feu. Deux morts, les populations d’Obogobo ont cru vivre un remake de la catastrophe de Nsam survenue en 1998 précise le quotidien national Cameroon Tribune. Alors que les populations de Yaoundé croient la foudre passée, le petit marché de Sho est en flammes comme on peut le voir dans Mutations. Dans le même journal on peut lire un déraillement à l’entrée nord de Yaoundé samedi matin cause 5 décès et des centaines de blessés une sorte de continuité dans les évènements dramatiques de la veille. En ce qui concerne ce déraillement d’Obogobo, Mutations ajoute que le rail était sectionné. Sur le site du drame, l’entaille faite sur le rail est bien visible, et s’étend sur plus d’un demi mètre précise le journal. Un témoin y ajoute d’ailleurs avoir constaté que le rail était coupé vendredi 28 août et l’a signalé au vigile qui en a informé la Direction de Camrail. Mais dans le même journal, Hamadou Sali le président du conseil d’administration précise qu’il n’y a pas eu sabotage. Il ajoute d’ailleurs le train est comme l’avion. Chaque jour un balisage passe pour vérifier s’il y a un problème. Ce matin là un balisage est passé. Dire qu’une semaine à l’avance on avait alerté c’est de la rumeur. Selon des sources bien introduites, le déraillement serait dû à la vétusté du train précisément à un essuie du wagon qui ce serait rompu et qui aurait entraîné avec lui les six autres wagons précise une journaliste du quotidien. Toutefois,Gouvernement, autorités administratives et forces de l’ordre ont vite pris la mesure de la situation et dans les formations sanitaires impliquées, l’engagement du personnel a permis une prise en charge gratuite et rapide des victimes des accidents souligne Cameroon Tribune. Le mardi 1er septembre les incidents revenaient une fois de plus sur la table mais cette foi-ci on pouvait lire il faut revoir le partenariat entre le groupe Bolloré et le Cameroun dans une interview accordé à l’Honorable Bleue Régine Tsoungui. Pour d’autres journaux comme Cameroon Tribune il y a Urgence sur les rails.

Kiosque à journaux au Cameroun
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Le coût des vacances de Paul Biya
Séjour privé : 43 chambres et 42 000 euros par jour pour les vacances de Paul Biya, c’est ce qu’on pouvait lire dans La Nouvelle Expression du 31 août 2009, l’un des journaux camerounais ayant publié l’article écrit par un journaliste français. Un article qualifié comme étant une intox sur les vacances de Paul Biya par le quotidien Cameroon Tribune. Les allégations des trois médias français sur le séjour à la Baule du chef de l’Etat suscitent des réactions indignées poursuit le journal. En effet, les contre vérités énoncées par ces médias ont aussitôt fait sortir de ses gonds, le directeur général du groupe hôtelier où est descendu le Chef de l’Etat précise le journal en ajoutant que le même directeur aurait tenu un droit de réponse démentant formellement les fausses nouvelles publiées. Cependant à France Inter, l’un des médias mis en cause par les autorités camerounaises, des sources internes déclarent n’avoir reçu aucun droit de réponse selon le quotidien Mutations. Pendant ce temps les autorités camerounaises accusent les médias de mentir pour tenir l’image du chef de l’Etat qui serait victime d’un complot médiatique ajoute Mutations. Toujours selon Mutations, de son côté la diaspora donne de la voix. En effet, Le Code et d’autres organisations basés en France ont saisi les autorités hexagonales et européennes pour décrier cette affaire de vacances ajoute le journal. Cameroon tribune tranche en disant que toute cette histoire est tout simplement un triste exemple de la désinformation. Avant de se poser la question Vacances de Paul Biya : et après le menu ?.

Quelques titres de journaux
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Cameroun : Le hors série n°3 d’Intégration bientôt en kiosque

Cette édition de la tribune des régions étrangères va se focaliser sur la problématique du transport aérien dans la sous-région Afrique Centrale

Après deux numéros de hors série, les lecteurs du journal Intégration pourront à nouveau s’informer dans les colonnes de leur journal. Le hors série n°3 d’Intégration sera dans les kiosques à partir du mois de juin prochain. Ce nouveau numéro mettra en lumière un sujet sensible qu’est la problématique du transport aérien dans la sous-région Afrique Centrale-Cemac. Une problématique d’actualité, qui va remettre au goût du jour le débat sur la circulation des biens et des personnes en zone Cemac. Cette circulation est loin d’être effective par la route. Qu’en est-il des airs ?, s’interroge la rédaction du journal Intégration. La troisième livraison d’Intégration tente de nous apporter des pistes de solutions. Notamment, des données actualisées et chiffrées dans les domaines comme les infrastructures aéroportuaires, les compagnies aériennes, les chiffres d’affaires, la sécurité aérienne, les spécificités et curiosités, les défis. Egalement, des reportages de terrain, les analyses et commentaires des actions porteuses de valeurs d’intégration par les airs dans la sous-région.

Les objectifs de cette édition d’après le rédaction du journal sont entre autres de mettre en valeur et en lumière le potentiel aéronautique sous – régional, de valoriser les compétences de la sous – région en matière d’aéronautique, de promouvoir les entreprises aériennes desservant la sous – région, de provoquer l’électrochoc nécessaire à la création d’un climat de saine émulation dans la zone Cemac, de renforcer les liens d’amitié, de fraternité et de solidarité entre les peuples de la sous région, de promouvoir les acquis et richesses économiques des pays membres et de susciter l’esprit de libre entreprise et de dynamisme dans la sous – région. Mettant ainsi en valeur la promotion de l’excellence individuelle et collective, l’ouverture aux autres, l’adaptation au milieu de vie, l’inculturation, l’enrichissement culturel mutuel, la valorisation de la citoyenneté sous -régionale et partant mondiale.

Intégration est un tabloïd de 32 pages en couleur, diffusé au Cameroun, dans la sous-région Afrique centrale et dans le monde entier à travers internet. Intégration appartient au groupe Global Communication Group (Globcom), qui a une équipe de rédaction, disséminée à travers le monde (Paris, Bruxelles, Brazzaville, New York, Cameroun.). Le tout premier hors série de cette tribune des régions étrangères a été publié en septembre 2008, avec à la Une, La Cemac dans tous ses Etats. Puis, est intervenu le second hors série en février 2009. La Une de ce deuxième numéro qui est très apprécié de par sa qualité met en exergue le fabuleux destin d’un Camerounais au sommet d’une préfecture française. Le hors série, Intégration qui a pour directeur de publication Thierry Ndong, est une production de Globcom qui détient également l’agence de Communication Exploration. Le hors série n° 003 sera dans les kiosques à partir du mois de juin 2009, au prix de 1000Fcfa.


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Cameroun: Le hors série N°2 d’Intégrations est en kiosque!

Edité par Globcom, Intégration est la tribune des communautés étrangères.

Lorsque vous rencontrez Thierry Ndong – ce jeune journaliste qui a eu le courage de partir d’un quotidien de la trempe du « Messager » pour fonder son propre journal – et qu’il vous parle de son projet, vous êtes forcément admiratif. Tant le directeur de publication du bihebdomadaire « Intégration » est passionné par les activités actuelles et à venir du Global Communication Group, une structure qu’il a mis sur pied, il y a tout juste un an, avec l’aide de quelques amis et partenaires.

Au départ, mon projet prend corps lorsque sur la base d’un accord avec mon frère Richard Touna (de regrettée mémoire, Ndlr), Intégration est inséré comme encart dans l’hebdomadaire Repères.
Thierry Ndong, directeur général Global Communication Group

L’objectif de Thierry N. est clair : servir de tribune aux communautés étrangères qui vivent au Cameroun. Notamment celles de l’Afrique Centrale – Cemac. En juin 2008, la première « Intégration est encartée » dans un journal qui lui-même faisait ses premiers pas puisque lancé en décembre 2007. Les débuts ne sont pas faciles. Il faut aller à la rencontre d’une communauté qui, il y a quelque temps, n’avait aucun interlocuteur direct au sein de la presse nationale. L’équation de la recherche des annonceurs, donc du financement, n’est pas plus aisée. La jeune équipe de rédaction, disséminée de par le monde (Paris, Bruxelles, Brazzaville, New York, Cameroun.) tient la route, bon an mal an.

Puis intervient un hors – série, le tout premier, en septembre 2008. Thierry Ndong et son équipe, titrent à la Une : « La Cemac dans tous ses Etats ». Occasion pour l’équipe de revisiter l’environnement institutionnel des réformes au sein de la Cemac. A la faveur du sommet des chefs d’Etat à Yaoundé. L’arrivée du hors-série N° 002 fait l’effet d’une bombe, tant la qualité (physique) tranche avec le premier, et avec les éditions « ordinaires ». De format intermédiaire entre un tabloïd et un magazine classiques, « pour rompre avec ce qui se fait aujourd’hui sur le plan local et international », le journal de Thierry Ndong, 32 pages, est entièrement imprimé en quadri (quatre couleurs) sur papier glacé.

Comme pour mieux illustrer la vision qu’il a de l’intégration, la Une – le fabuleux destin d’un Camerounais au sommet d’une préfecture française– d’ « Intégration » actuellement dans les kiosques présente Pierre Ngahane, un Camerounais d’origine né au Congo Brazzaville et nommé Préfet des Alpes-de-Haute-Provence le 12 novembre 2008.
Les cinq rubriques qui constituent le journal (libre propos, Aujourd’hui, Évènement, Demain, conjoncture) sont différentes et pourtant réitèrent un ensemble de mouvements qui illustrent parfaitement ce vent d’intégration qu’ils souhaitent dynamique dans la sous-région. L’énigme Ibni Oumar Mahamat Salch, le secrétaire général du parti pour les libertés et le développement porté disparu en février 2008, les «sept vies» de Idriss Déby Itno, le parcours de Gilbert Tsimi Evouna, l’homme qui dégaine plus vite que l’ombre du développement de la capitale camerounaise, le Happy end qui a sanctionné l’affaire Bakassi sont autant de sujets que la Rédaction de « Intégration » explorent.
Un grand magazine en somme, édité par un jeune et tout petit groupe qui fait partie des documents poignants spécialisés que l’on retrouve dans les kiosques.